EDMOND N’ZEZA N’LANDU

CET HOMME Edmond N’ZEZA-N’LANDU  avait dans ses dossiers en mains et dans ses actes le DÉVELOPPEMENT RAPIDE de la RDC .

Président-Fondateur  de l’Association des Bakongo ABAKO en 1950 pour la protection et la défense de la langue kikongo et de sa culture.

Culturelle l’ABAKO l’était mais elle n’organisait pas des danses folkloriques ethniques au Parc De Bock à Léopoldville. Par contre elle ranimait clandestinement la conscience politique couvant comme un feu sous les cendres chez les Bakongo depuis KIMPA VITA (1706) et, surtout en passant par  Simon KIMBANGU (1921)

Concrètement, NZEZA-N’LANDU se lança :

– dans les activités de coopératives agricoles avec la création de la COBAKWA (Coopérative du Bas-Congo du Kwango et de Kwilu)

Cet activisme le mena à entrer en contact avec les organisations syndicales agricoles européennes dont les allemandes. Cela l’amènera plus tard de nouer les relations avec le milieu industriel allemand et plus tard nippon

– dans les activités d’Edition an créant le Journal « KONGO dia NGUNGA » ou « KONGO DES CLOCHES », édité en langue kikongo.

Je commençais à lire et feu mon père m’obligeait de le lui lire prétextant que sa vue diminuait…et j’avis vite compris qu’il tenait à ce qua je sache lire et écrire bine le kikongo (avant de commencer la langue française)

Cette dernière activité le mènera toujours en collaboration industrielle avec les Allemands à être le premier Congolais à s’installer industriellement dans le Quartier Industriel à LIMETE  comme partie prenante des établissements de la distribution des véhicules MAGIRUS et de l’installation  des Rotatives CONCORDIA qui imprimeront  sous la Direction de Pascal KAPELLA le Journal l’ETOILE du CONGO.

– dans la gestion des bourses d’Etudes.
Oui; l’ABAKO culturelle d’Edmond N’ZEZA-NLANDU avait constitué une cagnotte de  bourses d’Etudes pour envoyer les jeunes doués Bakongo aux études en Europe.

Entre 1953 et 1954, se sentant débordé , le Fondateur de l’ABAKO chercha à quitter la présidence de l’Association.

L’on organisa l’élection et c’était Michel COLIN, un journaliste qui sortit vainqueur de l’élection alors qu’il n’avait pas posé sa candidature.
Michel COLIN accepta mais uniquement pour assurer l’interim.

A l’élection définitive, Joseph KASA-VUBU sortit vainqueur de l’élection.

En 1954 Joseph KASA-VUBU, (Secrétaire Général de l’ADAPS (Association des Anciens Elèves des Pères de SCHEUTS) que présidait Jean BOLIKANGO) il  porta publiquement le combat politique de la lutte pour  l’indépendance du Congo-Belge.

De Culturelle, l’ABAKO devint ouvertement politique avec dénomination de  « l’ALLIANCE des BAKONGO »
Et les Bakongo suivirent en masse de Léopoldville jusqu’à Muanda.

Joseph Kasa-Vubu se retrouvait sur un terrain déjà tâté avec son pamphlet intitulé « LE DROIT DU PREMIER HABITANT » (1946) qui mêla l’éloge du matriarcat et les terres ancestrales comme fondement de l’unicité organisationnelle  des BAKONGO.

Les Colons belges dressèrent un contre-feu en accusant L’ABAKO, Kasa-Vubu et les Bakongo de vouloir restaurer le Royaume du Kongo.

Une énormité qui détériora les relations  ô combien fraternelles qui ont toujours existé à Léopoldville entre les indigènes du Congo-Belge.

Fort heureusement l’idée pour l’indépendance du Congo-Belge finit par gagner nos compatriotes.

NZEZA-N’LANDU est un de ces »HÉROS MUETS » comme le sont nombreux dans les rang des Ne KONGO.

Ses qualités humaines les plus remarquables sont ce qu’il s’effaçait très facilement soit en se déchargeant d’une  fonction enviable (l’abandon de la présidence de l’ABAKO culturelle)  soit en déclinant une fonction officielle (PE LUMUMBA le voulait un Grand Ministre de l’Industrie), pour préserver l’unicité tant organisationnelle de l’ABAKO que des BAKONGO.

Et quad il abandonnait ou  déclinait l’offre, c’était pour faire autre chose encore plus importante pour la RDC, souevnt industrielle..

A; KISUKIDI

———————-
PS : A partir de la decennie 1950, les colons belges songèrent à favoriser l’éclosion de la classe moyenne. A Léopoldville deux quartiers, celui des « Manuels » au Quartier Artisanal de la Commune de Dendale (l’actuelle KASA-VUBU), celui des « SERVICES » au Quartier Renkin/Matonge.
Beaucoup de jeunes ‘entreprenants indigènes congolais dont en très grande majorité des Bakongo y sautèrent dessus
Et en plus s’était mis en place le Quartier Industriel  et résidentiel de LIMETE, mais c’était pour les investisseurs européens.
Edmond Nzeza-N’landu fut un des premiers Congolais à y avoir lui aussi une activité industrielle.

Yala Nadia Kisukidi  Caucus de Kasangulu  Roger Nzeza Nlandu Marie-Thérèse Nlandu Justine Kasa-Vubu M’Poyo

Président-Fondateur  de l’Association des Bakongo ABAKO en 1950 pour la protection et la défense de la langue kikongo et de sa culture.

Culturelle l’ABAKO l’était mais elle n’organisait pas des danses folkloriques ethniques au Parc De Bock à Léopoldville. Par contre elle ranimait clandestinement la conscience politique couvant comme un feu sous les cendres chez les Bakongo depuis KIMPA VITA (1706) et, surtout en passant par  Simon KIMBANGU (1921)

Concrètement, NZEZA-N’LANDU se lança :

– dans les activités de coopératives agricoles avec la création de la COBAKWA (Coopérative du Bas-Congo du Kwango et de Kwilu)

Cet activisme le mena à entrer en contact avec les organisations syndicales agricoles européennes dont les allemandes. Cela l’amènera plus tard de nouer les relations avec le milieu industriel allemand et plus tard nippon

– dans les activités d’Edition an créant le Journal « KONGO dia NGUNGA » ou « KONGO DES CLOCHES », édité en langue kikongo.

Je commençais à lire et feu mon père m’obligeait de le lui lire prétextant que sa vue diminuait…et j’avis vite compris qu’il tenait à ce qua je sache lire et écrire bine le kikongo (avant de commencer la langue française)

Cette dernière activité le mènera toujours en collaboration industrielle avec les Allemands à être le premier Congolais à s’installer industriellement dans le Quartier Industriel à LIMETE  comme partie prenante des établissements de la distribution des véhicules MAGIRUS et de l’installation  des Rotatives CONCORDIA qui imprimeront  sous la Direction de Pascal KAPELLA le Journal l’ETOILE du CONGO.

– dans la gestion des bourses d’Etudes.
Oui; l’ABAKO culturelle d’Edmond N’ZEZA-NLANDU avait constitué une cagnotte de  bourses d’Etudes pour envoyer les jeunes doués Bakongo aux études en Europe.

Entre 1953 et 1954, se sentant débordé , le Fondateur de l’ABAKO chercha à quitter la présidence de l’Association.

L’on organisa l’élection et c’était Michel COLIN, un journaliste qui sortit vainqueur de l’élection alors qu’il n’avait pas posé sa candidature.
Michel COLIN accepta mais uniquement pour assurer l’interim.

A l’élection définitive, Joseph KASA-VUBU sortit vainqueur de l’élection.

En 1954 Joseph KASA-VUBU, (Secrétaire Général de l’ADAPS (Association des Anciens Elèves des Pères de SCHEUTS) que présidait Jean BOLIKANGO) il  porta publiquement le combat politique de la lutte pour  l’indépendance du Congo-Belge.

De Culturelle, l’ABAKO devint ouvertement politique avec dénomination de  « l’ALLIANCE des BAKONGO »
Et les Bakongo suivirent en masse de Léopoldville jusqu’à Muanda.

Joseph Kasa-Vubu se retrouvait sur un terrain déjà tâté avec son pamphlet intitulé « LE DROIT DU PREMIER HABITANT » (1946) qui mêla l’éloge du matriarcat et les terres ancestrales comme fondement de l’unicité organisationnelle  des BAKONGO.

Les Colons belges dressèrent un contre-feu en accusant L’ABAKO, Kasa-Vubu et les Bakongo de vouloir restaurer le Royaume du Kongo.

Une énormité qui détériora les relations  ô combien fraternelles qui ont toujours existé à Léopoldville entre les indigènes du Congo-Belge.

Fort heureusement l’idée pour l’indépendance du Congo-Belge finit par gagner nos compatriotes.

NZEZA-N’LANDU est un de ces »HÉROS MUETS » comme le sont nombreux dans les rang des Ne KONGO.

Ses qualités humaines les plus remarquables sont ce qu’il s’effaçait très facilement soit en se déchargeant d’une  fonction enviable (l’abandon de la présidence de l’ABAKO culturelle)  soit en déclinant une fonction officielle (PE LUMUMBA le voulait un Grand Ministre de l’Industrie), pour préserver l’unicité tant organisationnelle de l’ABAKO que des BAKONGO.

Et quad il abandonnait ou  déclinait l’offre, c’était pour faire autre chose encore plus importante pour la RDC, souevnt industrielle..

A; KISUKIDI

———————-
PS : A partir de la decennie 1950, les colons belges songèrent à favoriser l’éclosion de la classe moyenne. A Léopoldville deux quartiers, celui des « Manuels » au Quartier Artisanal de la Commune de Dendale (l’actuelle KASA-VUBU), celui des « SERVICES » au Quartier Renkin/Matonge.
Beaucoup de jeunes ‘entreprenants indigènes congolais dont en très grande majorité des Bakongo y sautèrent dessus
Et en plus s’était mis en place le Quartier Industriel  et résidentiel de LIMETE, mais c’était pour les investisseurs européens.
Edmond Nzeza-N’landu fut un des premiers Congolais à y avoir lui aussi une activité industrielle.

Yala Nadia Kisukidi  Caucus de Kasangulu  Roger Nzeza Nlandu Marie-Thérèse Nlandu Justine Kasa-Vubu M’Poyo

YA LUBU NINI NWETA NWETA, IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT

NZO NI NZO KWUA

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