NZOÏSME :MODESTE BOUKADIA OU LE THEÂTRE BOUVARD.

WA WUNA YOKELA , dit souvent le vieux sage Korobo Matsouaniste.

En écoutant monsieur BOUKADIA MODESTE dans EBAKA -SHOW, on se croirait au théâtre  Bouvard

Ce grand théâtre Parisien où Philipe Bouvard aimait à amuser la galerie .

MODESTE BOUKADIA  , est- il donc ce bouffon ,  ce personnage qui est en charge de divertir un prince par ses plaisanteries à l’instar de Jean Baptiste POQUELIN alias Molière ?

Car ,  BOUKADIA , par son passage à la case prison lui a prétendument donné l’onction de vite devenir célèbre et donc rendre captif son discours.

Il se trouve qu’il n’est que une   personne    niaise et ridicule , quand il considère que SASSOU -NGUESSO , doit de son propre gré, de sa propre volonté se convier à une table ronde  , en comptant sur l’appui de ses amis extérieurs.

Ces bêtises en  énervant excitent les gens à rire , car il y à là quelque chose de grotesque et d’un peu fou.

Certes ,on peut dire que monsieur SASSOU- NGUESSO  ment , mais dire que BOUKADIA ne ment pas ,quand il sait sauter d’une branche à une autre tel un singe, sait se tromper lourdement .

« Le dossier sur la conférence internationale du Congo, est sur le bureau du FMI » aimait il à dire et  marteler pour convaincre les plus  naïfs !

Le voilà subrepticement parler de table ronde  et compter sur la seule volonté de monsieur SASSOU , qui a de nombreux amis à l’étranger.

Tournant sa veste sur l’idée de la conférence internationale qu’il avait tant miroité au peuple congolais (zéka tsombé za kéla Mbaku) littéralement en vain.

De deux chose l’une , soit il joue les amuseurs publics en pensant que monsieur SASSOU -NGUESSO, peu de sa seule volonté abdiquer de sa constitution actuelle  , pour revenir à celle de 1992 qu’il à écraser  du pied !

Soit alors,  il est dans le jeu malsain  d’être le ver dans le fruit de la résistance en France en vendant du vent et toutes les illusions qui vont avec .

Nous attendons toujours que monsieur BOUKADIA justifie de  sa présence dans une des  photos de SASSOU-NGUESSO , lors de sa victoire militaire en octobre 1997 .

Car,  l’idée de conférence internationale,  il l’a trouve en sortant de prison sur le terrain de la diaspora en France; idée qu’il finit par phagocyter ,

L’idée s’est retrouvée  étouffer dans l’œuf, en s’en accaparant comme Harpagon , et devenant faussement la figure de proue ,

Il en écartera le Ministre Jean Luc MALEKAT , une autre figure de proue  ,  qui animait le même thème avec toute son équipe , avec qui  , il aurait du pourtant  former un bon tandem , si seulement  sincérité il y avait.

L’idée de conférence internationale se trouve ruinée.

MODESTE BOUKADIA , s’est tué de lui même par sa fourberie , son narcissisme  grégaire , en voulant tout ramener  à sa personne .

Alors , qu’il ne connaissait ni les tenants,  ni les aboutissants de ce dossier.

Quelle honte !

Tel un loup chassant en meute ,il entrainât avec lui nombre de congolais de la diaspora dans son égarement .

Or, seul un rapport de force compte en politique , et le rapport de force se construit . il est le produit d’une imagination fertile  des gens acquis à la cause.

C’est la capacité à mettre en place une dynamique ,  capable d’inverser la tendance.

Le rapport de force pour ainsi dire est une capacité de nuisance , qui permet  d ‘infléchir l’autre ,  de le voir abdiquer  ou de concéder des parts entières de concessions. c’est ce qu’on appelle le compromis historique lorsque il y a ni vainqueur , ni vaincu.

Les accords d’Évian entre l’Algérie et la France sont là pour nous instruire sur ce que peut être un compromis historique.

Or, monsieur Modeste BOUKADIA ,vient galvauder ce que signifie le contenu intrinsèque du compromis historique d’ ou l’idée de théâtralisation

Le rapport de force n’est donc pas le verbiage éhonté  , qu’on écume dans un média alternatif, surtout de la part d’un prêtre défroqué.

Modeste BOUKADIA est bien  le personnage qu’évoquait Jean Paul Sartre dans une de ses nombreuses citations  » Je déteste les victimes quand elles respectent leurs bourreaux »

Nous ne sommes pas encore sorti de l’auberge avec des personnages si lugubres.

YA LUBU NINI NWETA NWETA ,IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT.

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