Dans le combat politique , 1+1 = 2 et le nombre fait la force , car en voulant faire seul Donald IMPERATOR se cassa la figure .
Du haut d’un rocher il tomba par terre , que d’énergies perdues , alors que s’il avait joué avec les synergies il serait entrain de capitaliser les forces de ses concitoyens qui malheureusement ne s’y sont plus reconnus .
A force de zigzaguer entre le Congo et le Panafricanisme et ce dans un flou artistique , l’homme s’est retrouvé quasiment seul avec son micro entrain d’ aboyer dans le métro en s’adressant à des gens dont les préoccupations sont ailleurs .
Ce mélange à la fois de Che -GUEVARA , Kwamé NKRUMAH , Thomas SANKARA, Patrice LUMUMBA , MODIBO KEÏTA, MATSOUA, Simon KIMBANGU , du KINGOUNZA , laisse planer un doute sur la cohérence et la pertinence de la vision qu’il prône dans un combat dont on ne peut déterminer avec certitude les ressorts au point de se demander si l’homme n’est pas entrain de faire un saut vers l’inconnu.
Qu’on sera -t- il finalement ?
Il lui revient à lui et à lui tout seul d’apporter un éclairage sur les vrais déterminants de son combat afin que les soutiens ou les rejets se fassent de façon responsable, car la lutte politique se mène à l’image d’une équipe de football qui lorsque elle est sur un terrain déploie son jeu par rapport à une stratégie
Quelle est alors celle de notre clone de Che-GEUVARA , qui commence à faiblir au moment où il ne le faut pas , en mettant en exergue sur la place public sa désillusion , son amateurisme, ses limites , qui laissent pantois plus d’un observateur.
Finalement , l’homme au treillis militaire et aux costumes croisés comme l’autre là , donnerait l’impression de s’être rendu compte que la soustraction en politique peut être fatale surtout face à un adversaire redoutable et tentaculaire.
A qui la faute ?
YA LUBU NIN NWETA NWETA ,IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT.