SASSOU-NGUESSO , vient de réussir un coup KO , avec l’aide de ses réseaux maffieux à l’encontre de la diaspora militante , qui souffre d’un déficit criard de solidarité , et championne en stratégie foireuse.
Le manque de stratégies( ce grain de sel qui à manqué à la diaspora ) pour mener à bien le combat contre le régime criminel de Brazzaville , plonge la diaspora dans une bérézina totale face au verdict , qui condamne les jeunes activistes Eugène Maître GAMBIA , Bram MANDELA, qui n’ont jamais reçu un KOPEC comme soutien de cette diaspora contrairement à FAYE MONAMA, grand exécutant des manipulateurs de la diaspora dont il s’est fait le porte parole , moyennant le trafic de sa conscience pour aller au casse-pipe, à deux ans de sursis probatoire assortis de 30.000 EUROS, chacun
En effet le conflit entre les autorités du Congo et la diaspora débuta lors du pseudo référendum pour le changement de la constitution avec la bénédiction du Président français de l’époque François HOLLANDE en Avril 2013 , a pris fin.
La cause est donc bonne et légitime , sauf que les outils ont failli faute de mise en musique dans le cadre d’une stratégie assermentée.
La diaspora congolaise va -t-elle assistée ou laisser ces activistes qui avaient agi au nom des opprimés congolais seul en face de leur sort ou prendra – t-elle la main en les aidant à payer les dommages et intérêts , pour au moins alléger l’épée de Damoclès suspendue sur leurs têtes ?
La solidarité de la diaspora est mise à rude épreuve .
Tel donc, un coup de tonnerre dans le ciel, la justice est tombée , laissant se désemparer les troupes dans les rangs de la diaspora . La débandade qu’occasionne la lourde et sévère décision du tribunal cloue au pilori les derniers espoirs que l’on pouvait encore nourrir pour la lutte , jamais le coup n’a été aussi fatale, rude que de voir pareilles condamnations .
Tout ressemble désormais à un champs de bataille après une irréversible défaite à l’image de celle de NAPOLEON et ses troupes à Bérézina .
Cette épisode tragique de l’épopée Napoléenniene , est tellement légendaire qu’on en vient à l’emprunter pour mieux peindre la déconvenue de la Diaspora Congolaise en France .
Qui l’aurait cru , qui aurait cru que nous prendrions une déculottée pareille!
90 000 euros de dommages et intérêts à verser à SASSOU et ses sbires , soit une bagatelle de 30 000 euros pour chacun des condamnés .
Ceci ressemble à une crucification , pour encore mieux définir les choses . Hier , on cultivait l’espoir , voilà que l’on coupe l’herbe sous le pied à cette diaspora , pourtant vaillante , combattante mais désorganisée. mal structurée.
A qui la faute , bien sur aux condamnés , qui paient le prix de leur erreur de jeunesse.
Car , voulant trop bien faire et se laissant aveuglés, la jeunesse a pris le chemin étroit de la brutalité , de la violence et donnant du grain à moudre à la partie adverse , qui , pourtant , ne cesse de filer du mauvais coton , avec les Pandora Papers. .
La faute est amputable à ces derniers , certes mais on saurait dispenser ceux , qui les ont conduit dans cette situation, ces ainés qui ont joué la partition de la division et donc de l’immobilisme .
Or la nature à peur du vide. N’est ce pas eux qui, par leur » conneries » ont poussé les jeunes à se prendre en charge ?
Et ont fini à se jeter dans la gueule du loup !
Honte à eux , car les jeunes ont manqué de l’encadrement des gens capables de les guider, de servir de modèle .
Tel ne fut pas le cas à l’orée de cette débandade .
C’est donc de l’illusion perdue, faute de conscience affirmée pouvant et Devant servir de lanterne .
Ou sont les TOUNGAMANI Benjamin ,MIAYOUKOU Alexis ,NDOBA Magloire, Marcel ABIGNA ,OUABARI MARIOTTI Joseph ,Eugene Fernand LOUBELO, Benoit KOUKEBENE, John Binith DZABA, Godefroy, KARANDA , MAWA WA MA KIESSE , Simon MOUSSOUNDA, Ferdinand MOUNKALA ,Jean TRILLAND Claude SANGOU, qui ont disparu comme du brouillard !!
Maintenant que la calebasse est cassée et que l’on a le dos au mur , va-t-on laisser ces jeunes candides porter seuls leurs croix ?
Ou va -t- on faire jouer la solidarité.
La solidarité de la diaspora est mise à l’ épreuve.
Quand le bateau coule, les rats quittent le navire, est- ce que c’est le cas maintenant face au drame , qui vivra verra !
Aux jeunes activistes un lion ne meurt jamais, il s’endort seulement.
YA LUBU NINI NWETA NWETA , IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT.