La diaspora congolaise de Paris peu- t -elle retrouver sa dignité et son souffle d’antan dans le combat de la restauration de la démocratie au Congo , qui devient quasiment une fiction ?
En effet, après la démission des intellectualos-politiques et l’instauration de la distraction identitaire entretenue , par les uns et les autres en manque d’imagination dans ce sacerdoce, le constat est très amer et ne présage aucun résultat positif, pour une diaspora qui a optée comme tendon d’Achille le tribalisme.
Le devant de l’espace politique de la diaspora est occupé par une parentèle, des tortues à doubles carapaces, des démagogues venus droit du pouvoir de Brazzaville , dont les motivations sont sujet à cautions et dominées par des règlements de comptes entre eux , en lieu et place du véritable combat .
Cet écran de fumée laisse pantois et fait planer un doute des motivations qui animent ces derniers , il devient insupportable car ses opposaillants et opposaillantes , ont réussi à occuper massivement le devant de la scène avec l’aide des vidéos qui circulent dans les réseaux sociaux , permettant à étaler leurs querelles à deux balles , qui déshonorent totalement le combat politique sur la toile.
Cela pour juste emmerder la parentèle d’en face celle du pouvoir avec laquelle ils sont tombés en disgrâce à l’instar des caprices d’enfants gâtés et faire ombrage aux véritables militants qui sont pour la restauration de la justice , de la paix et de l’équité sans distinction ethnique.
Hier , ce combat était mené avec convictions même s’il était pris en otage par les militants de l’UPADS , ce dans le souci de voir le Congo aspirer au changement dans le respect et la dignité .
Mais , malheureusement nombreux sont ces activistes qui battaient le pavé sur la place de Paris , ont été accusé de traîtrise sans preuve aucune , afin de mieux les discréditer et les mettre hors- jeu , par les groupuscules politiques de l’UPADS , et l’ineptie de certains intellectuels.
Cette stratégie a fait ses émules et donnée libre cours aux pantins qui finalement , ont réussi à les supplanter par une solidarité parentèle qui s’impose actuellement au devant de la scène .
Qui croyait prendre est pris.
L’insoutenable légèreté et immaturité politique qui règne dans la diaspora, sont les leviers des nouveaux activistes , elles s’apparentent à la politique de l’autruche dont on ne peut attendre aucun résultats probants.
D’ ou la question suivante aux congolais de la diaspora, qui nourrissent encore un espoir de voir les choses changer au Congo.
Comment peut-on faire pour redorer le blason de la diaspora et redonner un nouveau souffle au combat politique face à la politique de diversion qui gangrène la résistance et qui a transformée la place de Paris en une Comedia d’el Arte ?
YA LUBU NINI NWETA NWETA , IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT.