LA BOULE PUANTE DU GABON.

A défaut d’avoir été éclaircie dés le début ,  l’affaire du Gabon est devenue une nébuleuse , et à  tout jamais une  boule puante .

Suite aux hostilités ouvertes par Maître Dominique KOUNKOU à l’endroit  du docteur- colonel Marcel GUITOUKOULOU  , dans les réseaux sociaux  l’empoignade à désormais  pris corps  sur la place publique  .

Car , s’y ajoute le tintamarre d’un audio d’une dame se constituant en défense du docteur GUITOUKOULOU ,  égratignant Dominique KOUNKOU .

Cette   polémique n’en est   qu’a ces débuts à en croire la violence des échanges.

Simple animosité d’hommes ou rivalité politique?

Les rivalités politiques semblent battre leur plein dans le sillage de la disparition de Guy Brice Parfait KOLELA.

Les propos  de Maître Dominique NKOUNKOU , et la réponse par personne interposée donné par le Docteur GUITOUKOULOU , par la voix de son porte parole Maître kéza ; Nous instruit sur le sujet de la querelle et nous invites à se poser des bonnes questions.

Cette lugubre affaire sur les présumés fonds du Gabon qu’avaient reçu  GUITOUKOULOU  ,  pose La question de l’éthique en politique, elle résume à elle seule la douloureuse problématique qui est celle de la morale.

Puisqu’Il est le seul  élément factuel  déterminant  , pour se voir décerné le brevet de vertu et ou  le certificat d’honorabilité à quiconque veut faire la politique actuellement au Congo et  se rendre audible , faute de quoi on est dans l’imposture.

Que se passe -t-il donc dans cette affaire  ou l’on retrouve Benjamin TOUNGAMANI , Patrick  KIMBINZA et Cicéron MASSAMBA ?

L’affaire du GABON est comme une épine au pied de ceux qui s’y étaient  rendus  et parmi ceux-ci  et donc détenteur de la vérité se trouvait le journaliste Patrick  KIMBINZA , ce dernier est à l’image de Justin LEKOUNDZOU  , qui connu la vérité sur la mort de Marien NGOUABI !

TOUNGAMANI et Cicéron ne sont que  des figures à l’image d’un miroir renversé.

Car, leur citation dans cette affaire fait partie du cercle élargi , de ceux qui sont partis sans avoir effectuer ce voyage.

Peut on dire que GUITOUKOULOU  , à réellement reçu de l’argent . Et peut-on dire que ce pactole provenait de SASSOU-NGUESSO via BONGO -ODIMBA ?

On peu en douter puisque BONGO était en froid avec SASSOU entre autre sur le problème d’EDITH  , toutefois on peut affirmer qu’il y a eu un problème de loyauté au centre des protagonistes qui s’étaient rendus au GABON.

C’est ce qui est à l’origine de la querelle et de la dispute .

Il y’ a eu une histoire de répartition du butin.

Les protagonistes ont été piégés par leur absence de loyauté des uns à l’égard des autres  à leur retour du Gabon .

Tel des chasseurs revenant dune partie de chasse et qui commencent à se disputer le butin.

On peut comprendre désormais l’amertume de Patrick KIMBINZA pour n’avoir pas eu sa part suffisante du butin ;N’avait-il pas lâché  à ce sujet  » je tiens GUITOUKOULOU par les couilles » .

Cette situation poussa Patrick KIMBINZA , dans une colère noire au point de vouloir asséner un coup de poing à MASSAMBA Ciceron , à la sortie de la plus grande rencontre de l’opposition dans son ensemble à la porte de Charenton dans le 12éme arrondissements ; MASSAMBA Cicéron  , plutôt cherchant à faire la médiation entre les deux frères .

Le doute persistant donc ,   pouvait-on rencontrer le Président BONGO sans bénéficier des NGUIRIS ?

Les réponses à cette question sont aussi variantes et variées  que les versions rapportées par les protagonistes eux-mêmes.

On peu légitimement se demander pourquoi Patrick KIMBINZA, était- il dans ses états d’âmes?

Pour son séjour au Gabon GUITOUKOULOU  n’avait-il pas voulu plutôt  tirer les marrons du feu , des tensions qui existaient entre SASSOU ET BONGO ?

Seul Patrick KIMBINZA, pourra l’expliquer .

Comment  , alors comprendre  la persistance de l’aigreur de ce dernier , s’il n’ y’avait pas  eu un problème de redistribution du butin?

Bien qu’il soit plutôt difficile d’y voir la main noire de SASSOU, on peut d’ores et déjà croire à l’existence d’un problème en lien avec la sincérité réciproque sinon  de morale  , pour ceux qui s’étaient rendus au GABON.

Y’a-t- il eu des victimes collatérales ?

Evidement oui , puisque TOUNGAMANI et Ciceron MASSAMBA , nommément cités dans cette affaire n’ont aucune once de responsabilité pour ne s’être jamais rendu au GABON.

Le voyage se passa  à leur insu.

En conclusion  , l’affaire du Gabon est une aporie .

Elle ne trouvera jamais de réponse claire parce que les éléments du départs sont faux.

Le seul qui aurait pu décliner la vérité Grand V  , c’était le défunt  président BONGO -ONDIMBA , 

YA LUBU NINI NWETA NWETA ,IL PIQUE MÊME SON PRESIDENT.

 

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