Le NZOÏSME ne critique pas pour convertir qui que ce soit ,il critique plutôt pour éclairer les masses paysannes et son élite. Qui souffle sur le feu se prend la cendre dans les yeux renchérit le vieux sage Korobo Matsouaniste.
La confusion entre le citoyen révolté et le militant politique jette un véritable flou dans le combat .
Le combat politique étant un combat qu’on met au service de la cause du peuple et non d’un homme, il est aussi permis au citoyen révolté surtout quand il devient la proie d’un régime prédateur et oppressif d’exprimer son mécontentement autrement dit son ressentiment .
Mais , cela ne fait pas de lui un militant politique , parce que il n’est pas un homme d’appareil.
Le citoyen révolté est un électron libre, libre de ses mouvements et de ses pensées , et donc mu par la défense de ses propres intérêts
Quels sont ses intérêts ?
c est la satisfaction des besoins fondamentaux , le nourrir le vêtir, la liberté de s’exprimer de se mouvoir et d’ acceder à des activités culturelles , donc l’éducation de soi même et de sa progéniture , ce trait distinctif l’éloigne du militant politique dont la ferveur est fondée essentiellement sur l’adhésion à une doctrine de parti.
Car, dans le parti politique il existe une doctrine, une règle de conduite et donc une vision des choses obéissant à une direction imposée.
Alors que le citoyen révolté agit en totale liberté, le militant politique agit dans un cadre qui lui est défini.
Le dogmatisme empêche le militant souvent de voir plus loin que son bout de nez .
le prototype du militant politique est le militant du PCT . dont l’aspiration est d’avaler tout ce qui lui parvient du sommet.
Mais toutefois , il faut reconnaitre la nécessité d’avoir des partis politique, car il faut les reconnaitre comme des excellents instruments de conquête du pouvoir politique.
Une base militante est donc nécessaire , car elle est le reliât naturel pour la transmission des idées , mais aussi pour faire la connexion avec les larges masses populaires par le biais des meetings et autres lieux d’échanges.
Autrement dit un parti sans militant est à l’image d’un corps sans veines et artères devant irriguer ce même corps du sang.
Fort est de constater que l’espace politique est rempli des partis imaginaires et joncher des leaders qui n’ont pour militant que leur seul personne , au mieux une dizaine des parents.
Dans cette mêlée confuse ou tout le monde s’improvise leader, en dépit d’un déficit évident des militants.
Le tintamarre de la diaspora donne le sentiment d’une scène de théâtre à la Molière, surtout que cette dernière est amnésique hostile , rétive à toute idée de rassemblement.
Elle n’y voit dans son égoïsme primaire que la seule manière de survivre.
Prête aux invectives , minable dans son essence , elle trouve des ressources nécessaires , pour aboyer et indexer le pouvoir , mais totalement incapable de s’assumer dans le cadre d’un rassemblement efficient.
C’est la malédiction des congolais, toujours introuvable là ou on les attend.
Avec cette multitude d’associations , il s’agit en réalité d’un concours d’épine de prestidigitateurs , au mieux d’ égo sinon de la bêtise humaine. trés opposé à l’esprit plutôt constructif des militants politiques de l’Afrique de L’ ouest et pour lesquels nous sommes prêts à tresser les lauriers.
La révulsion des congolais pour le rassemblement n’a d égal que leur addiction , à écrire tout et n’importe quoi sur les réseaux sociaux .
Alors que le combat des congolais ne mériterait pas plus que les poubelles de l’histoire.
N’est-ce pas de la bêtise :A vous de répondre chers messieurs :
Modeste BOUKADIA, Dominique KOUNKOU , Marcel GUITOUKOULOU, Tony MOUDILOU , Jean Luc MALEKACT Cicéron MASSAMBA, Joseph OUABARRI, Alexis MIAYOUKOU, NGANGA Nicodème, Benjamin TOUNGAMANI, Adrien HOUABALOUKOU, Raphael GOMA, Marcel TOUANGA, Magloire NDOBA,TIASSE MASSENGO, Sylvestre ITOUA, MAWAWA KIESSE, NGANGA Amedé, Théodore MALONGA et bien d’autres ….
La responsabilité vous incombe car vous êtes les chiens pouvant tirer les tréteaux.
Que Dieu vous bénisse !
YA LUBU NINI NWETA NWETA , IL PIQUE MÊME LE PRESIDENT.