Le phénomène du « Double SIM » au Congo-Brazzaville, ou « l’art de vendre son rectum » : un fléau social dévastateur au même titre que la lèpre ou le choléra.

Toute personne a le droit de disposer de son corps comme il l’entend, et d’en décider une orientation sexuelle de son choix.

Mais au Congo, cette libre disposition de soi, qui renvoie aux libertés fondamentales, a été dévoyée au profit des pratiques sexuelles dégradantes, de la part des dignitaires du pouvoir de Brazzaville.
En effet, ministres, députés, directeurs, officiers de l’armée, bref, toute la haute classe sociale congolaise, se livre à des pratiques sodominales, pour répondre aux exigences de leurs obédiences sataniques.

Et pour s’y conformer, la jeunesse congolaise, vulnérable par nature, en est le public cible de ces affiliés du pouvoir, prêts à toutes interversions susceptibles de leur garantir le pouvoir et l’argent.

Ainsi, des jeunes hommes congolais, désireux de rattraper le train de la réussite sociale, ou de faire partie de cette caste bourgeoise funeste, n’hésite pas à offrir leur masculité, en échange des sommes d’argent miroitantes, mais au détriment de leur dignité et de leur intégrité physique.

Ces derniers sont malheureusement à la merci de multiples pathologies graves, telles que le cancer du rectum, et « l’hernie discale », un mal de dos dû également à des pratiques anales dangereuses, aux conséquences pathologiques insoupçonnées.

Certains d’entre eux ont même vu leur couple se disloquer, lorsque finalement leurs épouses se sont aperçues de ces pratiques sexuelles cachées, auxquelles se livrent leurs maris, sans leur consentement.
Au Congo, la crise économique et sociale a donné libre cours à ces pratiques sexuelles débridées, et donc à un licenciement des valeurs morales qui, désormais s’exprime sans restriction.

À vouloir comprendre ce changement de paradigme sociétale, il y a lieu de penser que, le Congo-Brazzaville, serait devenu le lieu de résidence de Lucifer, le prince du monde des ténèbres.

Et finalement, ces pratiques sexuelles dégradantes et destructrices, gage de mobilité sociale pour ces milliers de jeunes en panne de repères, demeurent la principale offre d’emploi offerte par les pouvoirs publics congolais, en manque de solutions et d’idées novatrices.
Nous y voilà !

Au congo, le calice du mal a été bu jusqu’à la lie par les prosélytes de l’horreur; l’argent, le nerf de la guerre a pris le pas sur la raison et l’humanité.

Désormais, pour ne pas vivre l’épouvante sociale imposée par le régime cruel de Brazzaville, plusieurs jeunes congolais, n’ont plus pour seule alternative que d’offrir leur rectum à des sodomistes, des adeptes du coït anal, qui ont pour ultime mission : la désolation de tout un pays.
Oui, l’argent, le pouvoir, les biens matériels; voilà en substance les causes possibles de ce déclin civilisationnel.

Hasta la victoria siempre !

# Pipal Freddy

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