Entre sacrifices humains, inceste et pratiques sexuelles infamantes, le pouvoir de Brazzaville est l’incarnation de la cruauté luciférienne à son apogée.

 

C’est un secret de polichinelle pour beaucoup, le pouvoir de Brazzaville est le succédané du règne de Lucifer, il incarne la cruauté luciférienne dans sa forme la plus aboutie.

En effet, le deal conclu entre le régime carnassier du Congo, et tous ceux qui ont choisi de faire allégeance au diable, est simple : sacrifier les membres de leurs familles, entretenir des relations sexuelles avec leurs filles ou proches parents et s’adonner à des rapports sodominales.

Ce sont là, des obligations de fidélité et d’obéissance, qui incombent à tous les adeptes du mal ayant prêté serment devant l’ange de la mort, au sein des différentes loges sataniques implantées au Congo-Brazzaville.

Les dernières images relayées récemment sur les réseaux sociaux, mettant à mal certains dignitaires du pouvoir de Brazzaville, n’ont fait que ôter le voile sur les turpitudes, et les pratiques méphistophéliques existantes dans l’intimité de ce régime luciférien.

À ce titre, beaucoup de familles, au Congo-Brazzaville, se sont désarticulées, à cause d’innombrables sacrifices humains, perpétrés par les apparatchiks d’un système connu pour son pouvoir maléfique, et son caractère mortifère.

Ceci dit, les décès à ne plus en finir s’amoncèlent dans les familles, pour répondre aux commandes de sang humain exigés au sommet de l’État, de manière à affermir un pouvoir créer pour détruire.

Désormais, oncles et neveux, tantes et nièces, frères et sœurs s’évitent dans les rues de Brazzaville et de Pointe-Noire, ou se regardent en chien de faïence lors des réunions de familles, conscients de la menace mortelle permanente qui plane sur eux.

Et pour appâter leurs poissons, les dignitaires de ce régime cruel, se servent d’une générosité fallacieuse, qui consiste à rendre service à leurs potentiels victimes.

Ainsi, argent, travail, vêtements et autres nécessités sont offerts aux parents vulnérables vivant dans le dénuement, par les thuriféraires de la chapelle des châtiments, de façon à les attirer inexorablement à la catastrophe.

En sus, et au-delà des pratiques sexuelles sodominales, ces adeptes de l’immoralité vont jusqu’à entretenir des relations sexuelles avec leurs propres filles, voire leurs proches parents, au grand dam de leurs épouses, désabusées par ces pratiques d’une saleté repoussante, qui dénotent une misère extrême.

De la sorte, ministres, députés, sénateurs chefs militaires, directeurs, cadres du trésor public ou des impôts, etc, se prêtent à ce jeu, pour se maintenir en poste, et pour consolider le régime actuel de Brazzaville.

Au final, faire partie des grands au Congo, être accepté dans le cercle fermé des initiés de ce pays, ou encore participer au festin d’apparat organisé par ce pouvoir sinistre, exige un cynisme exacerbé et une compromission sans faille.

Oui, le vol qui mène les âmes en enfer a atterri à l’aéroport international de Maya-Maya, son escale est de longue durée, et les passagers épris de jouissance extrême, de superficialité et de pratiques sordides, s’empressent à y prendre place, et ce, de manière confortable.
Il est donc sans contredit qu’au Congo, le mal réel, a été gravé dans le marbre, et s’en départir sera un exercice périlleux pour les générations futures.

Décidément, l’impression majestueuse laissée par les acteurs et les courtisans du pouvoir de Brazzaville, souvent habillés en « costard cravate et à bord de gros véhicules », n’est que la partie émergée de l’iceberg, lequel est un nécropole aux sépultures monumentales.
Finalement le comble a été souhaité, nous y voilà !

Hasta la victoria siempre !

# Pipal Freddy

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