DROIT DE REPONSE ANTOINE PAGE KIHOULOU SUITE AU TITRE ASSASSIN DU NZOÏSME

L’INTOLÉRANCE COMME ARGUMENTS DANS LA CONFRONTATION DES OPINIONS.
Il y a quelques jours j’ai réagi à un texte transféré par Cicéron Massamba à propos de l’affaire dite des terres vendues aux Rwandais.
D’où vient-il que mon commentaire soit supprimé comme je le constate et qu’il devienne une publication du site Nzoïsme avec le titre ci-dessus et ma photo?
Une opinion, même lorsqu’elle est quasiment minoritaire, voire solitaire reste une opinion, c’est-à-dire propos tenus par son auteur. Que ce propos sonne faux, qu’il soit à côté de la plaque comme on dit, qu’il froisse, même de façon incompréhensible, la fierté ou l’orgueil de quelque individu qu’il soit, il demeure une thèse à contredire par la force des mots, des contre-arguments, dans la sainte honnêteté intellectuelle. Sauf s’il s’agit d’injures ou insultes.

Je n’ai pas à tourner ma plume 7 fois dans l’encrier avant d’écrire sous peine de subir une fatwa, d’être exposé à la vindicte des Bien-pensants.
La contradiction des idées ou des opinions suggère qu’il peut y en avoir de justes ou de vraies en miroir avec des mauvaises ou des fausses, c’est ainsi.
À ces lecteurs qui ont l’intelligence de le comprendre et qui me lisant se sont dits « Kihoulou se trompe » ou « Kihoulou est naïf « , je dis merci car ils savent que je ne suis pas infaillible et ne peut le prétendre, surtout que mon texte cloué au pilori par un titre assassin n’est que questionnement, interrogations et interpellations de ceux qui savent, et qui auraient pu réfuter mes rares affirmations et répondre à mes réserves ou mes doutes.
Mais la tentation de se payer ma petite personne a laissé libre cours à l’intolérance. De là à ce que je devienne un Agent de l’intérieur de l’ennemi rwandais ne tient qu’à peu de chose: une opinion contradictoire de plus qu’il me faut éviter à tout prix.
Censure ou délit d’opinion ?

Ps: j’invite l’administrateur du site Nzoïsme à publier ce texte comme Droit de réponse. On sera quittes.
Merci.

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