#PARENTOCRATIE / #OUESSO

De la gouvernance primitive en passant par la Kleptocratie comme norme, le  »bétail politique humain » du PCT se livre à la haine, le tribalisme et l’ethnocentrisme.

Nous savions que ces Elections/ Nominations sont en réalité une Kermesse des incultes, voleurs, escrocs, sodomisés et incompétents de la galaxie du SASSOULAND.

Cependant, le discours haineux, ethnocentriste et tribaliste tenu par Léonidas MOTTOM ne peut nous laisser indifférent.
Primo, notre statut d’acteur politique constate depuis plus de deux décennies une résurgence, voir une amplification des discours haineux aux visées séparatistes qui menacent gravement la concorde nationale, celle d’une nation fracturée au prix d’une gestion primitive, un tribalisme abject assumé.

Secundo, en ma qualité de leader d’opinion, j’ai modestement contribué à l’éclosion et l’émergence de Léonidas Mottom dans la scène politique, d’abord dans la diaspora puis sur le territoire national.
Le corpus politique inculqué à Léonidas MOTTOM par ma modeste personne est aux antipodes de la haine tribale, le repli identitaire, bref une instrumentalisation politique des instincts primaires des populations aux conséquences dévastatrices.

Je condamne de manière solennelle ces propos. De ma tante défunte, la veuve Nguielle, j’ai une relation filiale avec la ville de Ouesso et la région de la Sangha. Je m’inscris en faux et m’oppose à ce discours aux antipodes des populations de la Sangha cosmopolites, hospitalières et fraternelles.

Aussi, la responsabilité du Pierre MOUSSA le patron du PCT est engagée. Celle de Denis Sassou Nguesso l’illégal président du comité central du PCT tout aussi engagé.

Paraphrasant le philosophe Gregoire Lefouoba , je cite : << En définitive, un système ou un régime se détruit lui-même par son discours (parole) et sa main (pratique) qui dévoilent la contradiction entre la parole et l’acte, le dire et le faire. Il se discrédite, car ayant perdu son épaisseur, donc la confiance du collectif démocratique >>.
Eteya Bino…

Guy Mafimba Motoki

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