Le premier handicap de la diaspora dans son ensemble est le manque du droit élémentaire de la démocratie c’est à dire le droit de vote, qui exclut cette dernière dans la véritable compétition et sphère politique , qui le relègue au rôle de supplétif .
la diaspora n’exige même pas la reconnaissance de ses prérogatives constitutionnelles ; à titre d’exemple le passeport qui est un élément constitutif de ce droit n’a jamais fait l objet de grande manifestation de revendication , mais cette dernière est toujours prompt à s’intéresser aux activités politiques de notre pays , surtout pendant les périodes électorales.
Hormis cette période l’on peut se demander s’il y a des activités politiques en France , comment s’organisent les partis politiques qui ont pignon sur rue en France .
.La diaspora parle de démocratie sans en connaitre la quintessence , la politique n’est qu’un défouloir qui masque l’échec de des agités qi se prennent pour des politiques.
Toutefois , rien n’est perdu même dans le moments du désespoir absolu l’espoir subsiste , aussi mince peut- il être,
Le débat en cours au niveau de la diaspora permet de rebattre les cartes et , donc de refaire surface au vu de la situation actuelle et du devoir qui nous revient.
L’état de décrépitude est si avancée que seule une inconscience pathologique collective peut nous rendre indifférents
Il est ainsi indiqué de se réarmer , armer les consciences , afin de repartir à l’assaut de la citadelle Congo , envahie par les marchands de tapis , qui n’ont de cesse de brader notre cher Congo et de chosifier son peuple.
Le sursaut patriotique nous appelle à l ‘union pour se faire , nous mettons à l’honneur l’initiative de constituer une commission Ad -Hoc , dont l’objet sera de tirer les enseignements de la situation actuelle de resserrer les rangs et de redéfinir un horizon commun.
Chers compatriotes ;
· « Chaque génération a le choix entre trahir ou accomplir sa mission » Frantz Fanon
A bon entendeur salut
Armand Richard Mandziono