POLITIQUE ET STATUT QUO DANS LA DIASPORA MILITANTE.

« Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt »

Certaines personnes de la communauté militante de la diaspora, peu réfléchies n’arrivent pas à voir ce qui est pertinent , ils s’opposent vent debout  aux propositions venant de l’exécutif.

Mais peu-être suis-je l’idiot qui regarde le doigt quand le sage…

A ce proverbe chinois le vieux sage Korobo renchérit, lorsque le singe veut monter au cocotier, il faut qu’il ait les fesses propres.

En regardant l’histoire de la diaspora militante , on comprend que cette dernière ne sait pas ce qu’elle veut,  et ne comprend pas ce qu’elle dit.

En revanche elle attend que le pouvoir de Brazzaville ait un projet ou , il entend impliquer les citoyens de ladite diaspora pour parler Congo.

Les voilà sortir de leur léthargie politique vociférant ici et là , que le pouvoir est à bout de souffle, il a besoin de la diaspora et, comme la diaspora n’a aucun savoir faire, aucune stratégie à faire valoir , elle se sent obliger de mettre en marche sa barbarie d’ignorance .

Ce qui consolide le statut quo ambiant et déprimant .

Ce qui a pour corollaire , de porter maladroitement un regard de défiance à l’endroit de ceux qui osent transformer l’essai .

L’art de la politique est de savoir saisir les opportunités et de les tranformer.

Sans se départir de son objectif final, qui est celui d’affranchir le peuple congolais de la tyrannie.

On, se doit cependant d’avoir une lecture attentive de l’actualité , et de bondir à la moindre opportunité , ou Brêche qui s’ouvre. 

C’est ce qu’ on appelle le pilotage dans la perpective de la stratégie.

Il ne s’agit donc pas de se murer le nez dans le lointain et ,  ignorer ce qui se passe dans l’immédiatité .

Ce que nous appelons la dimension stratégique du combat.

Ceux qui ne le savent pas sont des ignards.

C’est pourqoui  , avant  de dénigrer, jeter en pâture ceux, qui osent répondre à juste titre  positivement  et , qui ont une vision de parler Congo, avec les autorités en place ne sont pas des corbeaux noirs , qu’on veut nous vendre dans les reseaux sociaux. 

Certaines vipéres ont la morsure trop facile .

Cela nous fait penser à un certain memi collard journaliste d’investigations.

Il est temps que cette frange d’ imbéciles-heureux de , cette pseudo diaspora militante égrene le chapelet des victoires qu’elle a déjà gagnée.

Or, a bien voir c’est le black- aout toatal.

Cest la bérézina  .

Quand on sait que sa préoccupation se trouve bien ailleurs.

chers compatriotes

ayons un esprit de discernement , si nous aimons réellement le Congo.

La sagesse n’est pas forcément synonyme d’avoir des cheveux blancs.

Mais ,sachez saisir les opportunités.

N’oubliez pas ce poême de «  Jean de La Fontaine

La Cigale, ayant chanté
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu’à la saison nouvelle.
« Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l’Oût, foi d’animal,
Intérêt et principal.  »
La Fourmi n’est pas prêteuse :
C’est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
– Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
– Vous chantiez ?

j’en suis fort aise.
Eh bien! dansez maintenant. »

IL nya que des stupides qui ne savent pas changer le fusil d’épaule.

I

Armand Mandziono Butelezi le  Vindumuneur.

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