Dans le sillage de la dynamique qui avait été portée par le « front « au sortir de la guerre de 1997 dans le contexte de l’éxil, autour des personnalités a l’instar de Bokamba Yangouma, Moudileno Massengo, Poigné , Ange Edourd Poungui , Mayima Mbemba, Mackouta MBOUKOU, MUNARI Claudine, KOMBO NGUILA… Dans ce sillage là , une certaine flamme s’etait éteinte portée concomitamment par l’ERDUN.
Trés vite le feu s’est éteint.
Et ,depuis plus rien de consistant .
Que diable s’est il passé…Les anciens ont- ils emporté avec eux la sagesse dans la tombe ? L’union fait la force.
Pourquoi les nouveaux acteurs politiques ne sont- ils que l’ombre de leurs aînés ?
Ne sont -ils que des géants aux pieds nickelés ou des petits nains trapus écervelés qui n’ont rien dans le crâne.
Alors, la situation d’aujourd’hui est la rançon du malheur d’une lutte qui n’est pas parvenue à s’organiser.Lunion fait la force.
Ce n’est pas la volonté qui manque , au vu de l’engagement des uns et des autres à battre le pavé . Sauf que ces manifestations s’étiolent de jour en jour , au point de ne devenir qu’une théâtralisation de cette lutte.
La manifestation de cet aprés- midi 17 juin , portant demande de liberation de MOKOKO ET OKOMBI SALISSA , n’a reuni que douze personnes.
Ne voyons-nous pas que nous sommes ridicules !
Il n’ya que des imbéciles pour ne pas le comprendre.
Il nous faut arriver coûte que coûte à une auto- critique.
Trop de petites chapelles ont tué la lutte.
JOHN BENITH , se gargarise de tenir les ASSISES. Alors ,que personne ne va plus aux réunions des assises.Ce qui laisse de la marge à des pêcheurs en eau trouble comme Marcel MAKOME, qui va faire des génuflexions à pierre Moussa , que l’autre griot Aristide Mobebissi , n’arrête pas de vanter les mérites ,cet ingénieur et agent double qui croit toujours se cacher .
Dans ce panorama on sait qui est qui .
En partant de Diaf le kweta jusqu’à Massengo Tiassé sans oublier Moudilou.
Dommage, que Guy Mafimba , avec tant d’efforts ne sache pas frapper à des bonnes portes et surtout comprendre les enjeux.
Aussi longtemps que la diaspora continuera à s’entêter , elle connaîtra le sort des troupes de Napoléon à watterlo.
Armand Mandziono Butélezi le vindumuneur