MOKOKO, LE PRIGOJINE DE SASSOU-NGUESSO(DIASPORA EN TROMPE LOEIL POLITIQUE.)

 

Clarifions les choses sans états d’âmes.

Les esprits éclairés du Congo , savent depuis très longtemps que SASSOU-NGUESSO , est le binôme qui dirige d’une main de fer le Congo , il est pouvoir et opposition.

Et , cela arrange tous les manipulateurs qui s’autoproclament opposants de l’intérieur à l extérieur du Congo , contre un système politique qui gouverne par défi.

Comment comprendre qu’une opposition soit dans l’ incapacité de bâtir  un projet commun de conquête du pouvoir , mais préfère s’arcqueboute volontiers à exiger à celui  qu’il qualifie de dictateur , de libérer deux prisonniers qui d’ailleurs sont sortis de ses entrailles .

Mais de qui se moque ton ?

Certainement de ce petit Lari , qui n’a rien compris et qui ne comprendra aussi rien.

Depuis le gros mensonge des élections de 2016 , dont la victoire continu d’ être attribuée au général Mokoko , sans apporter une preuve tangible.

Le combat politique ne tourne qu’à l’exigence de la libération de ce dernier et du fils rebelle ancêtre des koulanas avec son front 400 dont le véritable fondateur est lui même Sassou – Nguesso .

Pour votre gouverne en 2012 , lors de la rencontre avec les sages des plateaux pendant la municipalisation Sassou-Nguesso , l’avait révélé publiquement en présence d’Okombi Salissa , qui par ailleurs du quitter le Congo , pour un petit exil de deux ans en France, tout en demeurant jusqu’à ce jour membre du PCT.

Alors, quel est le leitmotiv de cette opposition , qui à pour simple motivation la libération des parents de Sassou- Nguesso.

Aux orphelins de Lissouba d’apporter une réponse à cette interrogation.

Une véritable opposition est celle qui arrive à avoir un projet commun quelque soit les divergences des uns et des autres , car l’objectif d’ensemble c’est de mettre hors jeu le système qui fait main basse sur les richesses du pays, mais celle qui perd son temps à distraire le peuple est complice du bourreau.

Dans une dictature l’exigence du respect des principes de droit dans l’action judiciaire est un non sens .

De ce fait toute démarche de libération des opprimés ne peut se faire que par un recours gracieux  , en d’autre terme Mokoko et Okombi, doivent implorer le pardon et la miséricorde de leur maître .

Arrêtons d’endormir  le peuple.

Vivons dans le présent ,vivre c’est vivre dans le present.

 

A bon entendeur salut !

Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur.

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