L’élite politico- maçonnique du sud et les populations nord du pays sont les soutiens indéfectible de sassou -nguesso ,mais curieusement ils sont les premiers à se démarquer de sassou- nguesso, quand ce dernier est interpelé sur le mode de gestion exécrable du Congo.
Ce paradoxe est le mutatis mutandi des congolais dans l’ensemble sur fond d’un impossible casus bélli M’bochi , qui s’explique sans ambage pour des raisons tribales que les M’bochis n’assument point .
Peut-on accepter honnêtement, que le tribalisme comme mode de gestion n’est que l’apanage de SASSOU-NGUESSO et ses acolytes ?
Franchement de qui moquent ces M’bochis ?
Lorsque le Général Nianga- Mbouala , fît sa fameuse déclaration , qui évoquait ses inquiétudes sur l’avenir et le devenir incertain des M’bochis dans le Congo de demain. Aucun M’bochi , ne lui apporta la réprobation morale : ce qui aurait été une preuve de leur adhésion à l’idéal républicain.
Or, ces derniers se murèrent dans le silence.
Il y a un adage qui dit : « qui ne dit mot consent… » .
Les tribalistes M’bochis ont trouvé leur compte dans la déclaration tonitruante de Nianga-Mbouala.
Dans ce cas on est peut être pas coupable de ses actes mais on est coupable de son silence.
LE procès du pape pie XII à toujours cours aujourd’hui , pour avoir fermer les yeux lorsque Hitler , jettait les juifs au four crématoire.
On voit bien jusqu’à quel point le silence est meurtrier.
Le silence est la grande arme des lâches.
Il est temps que les M’bochis arrêtent de jouer au chat et à la souris.
Tout le monde a fini par découvrir leur nudité.
Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur.