JUSQU’A QUAND LES M’bOCHIS TROUVERONT- ILS DES SUBTERFUGES POUR ASSUMER LEUR TRIBALISME ?

 

Il est temps d’arrêter de nous faire boire de l’eau par les narines comme l’a souvent marteler maître Tony Gilbert Moudilou , le tonton de tout le monde.

Poser La problématique du tribalisme M’bochi, au sommet de l’état, n’est point une accusation , ni ouvrir un procès en sorcellerie , mais toucher du doigt un problème réel qui gangrène la nation dans sont ensemble.

Nul besoin de faire la politique de l’autruche , de se planquer la tête dans du sable , et attendre que cela passe .

Auquel cas on est dans une irresponsabilité coupable.

Avoir l’outrecuidance de le nier , faire passer de caricatural ce tribalisme, est très dangereux pour l’avenir des M’bochis eux -mêmes et des autres composantes de notre cher et beau pays le Congo.

Nous sommes tous dans le même bateau disait un jour OBAMA , dans une de ses allocutions pour stigmatiser le racisme à l’égard des noirs.

Pourquoi ces derniers entendus les M’bochis continueraient- ils à détruire sans vergogne.

En effet , ce tribalisme M’bochi avec tous ses corollaires qui font et continus à faire, tant de mal à ce pays est né en 1969 et non en 1959 sous la colonisation , comme le prétendent certains politiciens en manque de vision.

Ce mode de gestion sauvage et clanique des affaires de l’état , commencera lors du pseudo réajustement de la révolution(qui a vu apparaître à la tête du lycée savorgnan de Brazza , OLASSA comme proviseur en remplacement du brillant Anselme Poaty , ce proviseur légendaire entre les mains de qui sont passés nombre de nos grands cadres et intellectuels ), qui a duré pendant tout le règne de Marien Ngouabi , qui assura la transition jusqu’au jours de son lâche , ignoble et crapuleux assassinat par des prétendus ba kongos et ses dégâts collatéraux imputés avec le générique « ba Kongo ba bomi Marien » , générique propagé par le tonitruant feu Laurent Botséké , paix en son âme et que Dieu le pardonne .

Peut être que Florent Ntsiba, l’actuel directeur de cabinet du président Sassou – Nguesso , peut nous éclairer à ce sujet sur les tenants et les aboutissants de ce qui est advenu un drame national.

Pauvre ba Kongos, les ba Kongos ont bon dos n’est -ce pas monsieur le Président.

Maître Nganga Amédé à bien défini les contours et détours des faux fuyants des M’bochis , fassent à la réalité qui les rattrape , en évoquant le concept de la M’bochinie ou l’art d’user du mensonge au service du crime.

A-t-il raison ou pas ?

Cela ne peu qu’être démontré au cour , d’une analyse factuelle , d’un débat contradictoire avec des éléments probants de comparaisons dans le temps et l’espace .

Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur.

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