Ils sont nombreux à se retrouver en exode, mais incapables de poser des actes d’une portée hautement patriotique c’est à dire : Dénoncer ou attaquer le tribalisme M’bochi, ouvertement.
Alors, que chacun d’eux à sa petite histoire enfouie dans sa mémoire.
Partant , de la confiscation du passeport aux consignes données aux consulats occidentaux leur interdisant l’octroi des visas , des emprisonnements arbitraires dont ils ont été victimes ect …
Comment comprendre un tel état de larbinisme ce qui sous tend , que ces congolais seraient inconsciemment
des supplétifs du tribalisme M’bochi ou des traîtres du néant.
Ne sont -ils pas les premiers à nier l’évidence ?
Pour ces imbéciles heureux il faut mettre le fruit infecté par le ver dans un vase or , pour nous le ver est dans le cerveau.
Quel paradoxe que de voir des gens , si intelligents passés à côté des bonnes analyses qu’ont-ils donc ?
La berlue !
j ‘espère qu’ils retrouverons vite leur raisons d’antan , qui ont fait d’eux des intellectuels que j’ai longtemps admiré.
Le temps étant le meilleur juge , le constat est que même , étant dans la diaspora se sont des être en captivité.
Sinon comment comprendre ce silence radio sur la problématique du tribalisme Mbochi , dont ils continuent à subir.
Et ,même la question des bradages de nos terres faits par les Mbochis au pouvoir.
Même nos freres de la RDC , conscients et révulsés s’étonnent du silence des congolais.
Qu’ont- ils les Mbochis pour anesthésier tout le monde.
Je compte sur le réflexe des patriotes vaillants qui, vent debout, iront à l’affrontement dans la dénonciation publique du bradage de nos terres.
La terre ce n’est pas le pétrole.
Car, si la terre est prise on est foutus.
Le politologue camerounais Charles ONANA , à suffisamment tiré sur la sonnette d’alarme , pour nous alerter sur le danger qui nous quête avec les rwandais, que d’ailleurs la cigale Asie Dominique de Marseille , n’ose pas évoquer.
Comme quoi au Congo les débats sont à géométries variables.
Chers compatriotes,
Il est temps de choisir entre les conditions d’esclaves rwandais qui pointent à l’horizon et celle du citoyen congolais que nous avons de facto !
Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur.