Évidemment c’est un combat de longue haleine qui nécessite une grande abnégation dans un pays,
où tout le monde a consenti de se taire et, surtout refuse de réfléchir en dépit du chaos et donc de l’avenir incertaine, hypothéquée de la postérité pour relever la pente.
Dans un pays ou les gens trichent avec leur propre conscience et acceptent volontiers le suicide collectif devant un clanisme érigé en mode de gestion , élevé au stade suprême du tribalisme.
En effet ce mode de gestion se repose sur le lignage et celui -ci est errant, il est ingouvernable et, donc ne peut point être un facteur detérminant du développement du pays.
C ‘est un système expropriateur champion des contrats léonins et baux emphytéotiques, tri baliste, individualiste, irresponsable,parasite, indécent aliénateur,dominateur,non libérateur,diviseur empêchant la cohésion dans le pays.
Mais cela n’empêche pas les congolais habités d’un patriotisme chauvin , de réfléchir pour le devenir de leur pays et faire des propositions claires .
Pour, combattre le fléau qu’est l imperialisme locale.
Il faut procéder par un triptyque thémathique.
États généraux de l’administration publique.
États généraux de l’armée.
Et , enfin états généraux autour de la théorie Tribu-classe.
Peuple souverain tout est entre vos mains.
Il n’ya que le volontarisme pour vous y aidé , car les seules ressources ne suffisent pas , encore faut- il avoir de la volonté !
C’est là que intervient le rôle déterminant de l’élite devant servir d’éclaireur lucide et de caisse de raisonnance.
Aujourd’hui les moyens de communications que sont les reseaux sociaux constituent des vecteurs puissants à fins de mobilisation des opinions nationales et internationales, et pour cimenter l’unité du combat.
Mefiez-vous de ceux qui veulent ramener le loup dans la bergerie, j’entend MOKOKO ou OKOMBI.
Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur.