Au vu et au su de tous les congolais la politique se meurt,elle n’est plus qu’un lieu commun pour rebattre les vieilles cartes ou un déversoir d’insanités, ou se cotoient debats de caniveaux , amalgame et suscpicion de tous genres.
Le debat politque s’est dévoyé , et l’espace politique n’est devenue plus qu ‘un lieu de rendez-vous ,des bizarreries et autres discussions byzantinnes sur fond de démission de l’intélligentsia , et où est donc passé la cité de platon , celle là ou la reflexion rationnelle ajoutée à l’agora , créeant l’émulatution de l’ensemble de la société .
On est aujoud’hui soit, dans la spéculation stérile , soit dans l’attentisme abasourdissant, comme c’est le cas du professeur Charles Zacharie BOWAO , et des tant d’autres.Sortant de temps à autre de leurs coquilles à la maniére des escargots éffarouchés par le passage d’un serpent.
Ces lanternes se sont étéintes au grand dam de tous ceux , qui friands des débats d’idéees n’ont que leurs larmes pour déplorer cette vacuité intellectuelle.
l’adhésion de tout un peuple au suicide collective n’émeut aucun patriote.
L’atmosphère n’est plus que délétère ce qui sont supposés être les moteurs de la pensée , le cheval de troie d’une reflexion murie et constructive sont tombés , dans l’oubli au point d etre des complices dans le silence de la mort certaine de la nation.
C’est quoi finalement la fête nationale dans un pays , qui se trouvent dans les mains des crapules et dans lequel , le cynisme est devenu une vertu la prospective un vice.
Voilà , maintenant prés de trente ans que le règne tribale , maffieux du PCT , fait ses beaux jours et son beau temps.
Occupant l’espace présidentielle et se muant en opposition.
Cette attitude qui irrigue la nouvelle vie politique congolaise conforte l’idée et l’installation d’un régime monarchique au Congo , ne pas le comprendre serait faire l’éloge des partiques obsolétes .
Comment éxpliquer qu’au bout de trois décennies, l’espace politique n’arrive point à dégager des hommes de rechange .
Telle est l’intérrogation qui parait pertinente . A laquelle nous devons-tous trouver une solution.
Au congo faire la politique est devenue Le seul moyen d’avoir une existence sociale .
La société congolaise a- t- elle finie de procréer des hommes capables d’affronter les defis qui pointent à l’horizon , des hommes dotés d’une vision , se dressant au milieu de la foule et imprimant leurs idées et opinions à la gloire de ce peuple martyr.
Quelque soit les critiques formulées à l’endroit des personnes comme bernard Kolela , ils ont eu le mérite de se pronocer sur les problémes , qui minent notre société , ce que bon nombre des gens ne disposent pas , en depit de leur instrution .
Il ya certainement des hommes en herbes, mais le contexte politique est bridé au point ou il leur faut nécessairement des brises glaces , que sont les intellectuels éclairés, pour décongestionner l’espace politique.
Ces intellectuels ont pour rôle , de défricher le terrain pour aider à l’émancipation de cette élite politique , et à se découvrir soi-même aussi des talents politiques cachés .
N’est ce pas monsieur le professeur Charles Zacharie BOWAO.
Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur.