HENRI LOPES ,L’ HOMME QUI PORTA LE CONGO DU BOUT DES LÈVRES.

Pour son dernier voyage Henri Lopes va encore saigner le contribuable congolais sans pitié !

Comment comprendre que cet homme hermaphrodite, français et congolais,mi -figue mi- raisin , puisse bénéficier des honneurs si grandioses de la part d’un Etat qu’il porta du bout des lèvre?

Cette reconnaissance est inversement proportionnelle à celle que l’on voua à LEKOUNDZOU,  lui qui fut un rouage important au sein du parti-Etat, lui qui impulsa la rénovation du PCT dans la droite ligne de l’héritage de Marien Ngouabi.

Les rénovateurs comme Marion Mandziba lui savent gré.

Aux grands hommes du PCT la nation reconnaissante ?

Sa pugnacité et sa bravoure  de rénovateur lui valurent des casseroles.

Le voila aux oubliettes.

On lui préfère aujourd’hui Henri LOPES, ce mulet, croisement de cheval et de l’âne ,  à qui on décerne tous les honneurs jusqu’à faire déplacer un chapelet d’autorités et des ministres, faisant injure à sa prétendue patrie le Congo pour se faire inhumer en France, laquelle  ne lui apporta rien dans son édification personnelle.

Le Congo fit de lui son  ministre de l’éducation nationale , son  ministre des finances et son  premier ministre .

Quelle ingratitude !

L’ingratitude  du caïman cher à notre écrivain Isaac Djoumali Sengha!

Parallélisme de forme oblige , Sassou-nguesso avec sa nationalité namibienne s’assumera aussi en se faisant enterrer en Namibie ou en côte d’ivoire pays de ses aïeux, contrairement au patriote Benoît Moundéléngollo qui a déja construit son caveau à Ongoni au Congo .

Pauvres congolais qu’avons nous fait au bon Dieu pour mériter pareille calamité!

L’ambiguïté qui entoure nos hommes politiques n’a d’égal que leur désamour pour le Congo, raison pour laquelle le trésor public congolais s’évade à l’étranger sous l ’oeil goguenard et impuissant des authentiques congolais.

Quel sinistre sort pour notre pays , on ouvre grand les portes aux libanais et aux ouest africains au grand bannissement des fils et filles du pays qui n’ont que le marché total et Fond Tié-Tié pour survivre à la cherté de la vie et aux sempiternelles humiliations de la vie quotidienne.

Cette indigence généralisée a fait pour ce quart monde  du croupion de dinde un repas royal et succulent.

La misère au Congo est sans limite pour les déshérités et  le bas peuple.

Ne soyons pas surpris des louanges des intellectuels caméléons  qui lui voueront un culte, lui qui toute sa vie n’a fait que marcher sur la tête des écrivains et intellectuels du pool.

Que la terre lui soit lourde, ce profiteur qui a vendu tous ses biens  au Congo pour trouver refuge en france; Décidement le congo n’est que gouverné par des mandarins, des papillons.

Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur.

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