Monsieur le ministre,
Joseph OUABARI –Mariotti ancien ministre de justice garde des sceaux sous la mandature du président pascal Lissouba.
Monsieur le ministre,
Je ne serai pas dans la peau de Louis- Ferdinand Céline répondant à Jean Paul-Sartre en 1948 dans l’agité du bocal , utilisant des qualificatifs graveleux et scatologiques, mais je serai plutôt celui qui a publié un papier d’injures contre Henri Lopes , celui qui s’est avili et qui n’atteindra jamais le 1/1000 de sa stature selon vos propos du 11 novembre 2023 à 15h41.
Monsieur le ministre.
Je tiens à vous rappeler que dans le passé vous avez eu l’outrecuidance de me mêler aveuglement dans votre différend avec votre ami le général Benoît Moundélé Ngollo, que je n’oserai pas évoquer ici;mais je me permet de vous répondre en tant qu’ une personne émotive de par votre attitude pour peu désobligeante , de m’adresser ainsi à une personne qui a occupé des hautes fonctions gouvernementales dans mon pays dont la décence m’oblige à porter quelques gants pour vous epargner des égratinures.Pour autant je ne me dispenserai point de dire des vérités.
Monsieur le ministre,
Dans l’un de ses meilleurs ouvrages « Lettre ouvertes ou MEA MAXIMA CULPA » votre ami le général écrivain Benoît Moundélé-Ngollo écrit ; je cite « ils iront pisser,déféquer et cracher sur nos tombes, Au lieu d’aller les fleurir avec des couronnes de fleurs artificielles ou naturelles, peu importe. »
Monsieur le ministre ,
Laissez moi vous dire que votre parent Henri lopes était une crapule, qui ne peut être honoré que par des crapules , prédateurs, il fut une crapule en col blanc, il est parti avec une dette morale impardonnable et incommensurable, celle de la mort de Franklin Boukaka ce grand artiste congolais élevé au rang d’icône nationale et panafricaine , dont le corps n’a jamais été retrouvé pour ne citer que ce cas emblématique, pire encore c’était un érudit rouge au côté de ces prétendus révolutionnaires congolais,mais en réalité c’était un ignare, un barbouze dans les rangs de la littérature africaine , qui n’a jamais assumé ses écrits jusqu’à ses derniers jours.
cet auteur de » tribalique » n’a jamais marié ses opinions aux actes.
En dépit des lauriers récoltés dans la littérature , il est apparu comme un tribaliste fiéffé, tuant une par une les grandes figures littéraires des autres régions pour apparaître comme le seul coq dans la basse-cour.
Et , pourtant il a bénéficié de l’aide gracieuse de ces derniers qui l’ont aidé dans la correction des manuscrits. L’homme doit beaucoup à Sony labou tansi.
La petite boutade veut qu’ aprés avoir lu son manuscrit , il lui inssufla le « pleurer et le rire » de son livre et, pourtant il a cherché à marcher magistralement sur la tête des écrivains laris, jusqu’à considérer pour déchoir le légendaire Mackouta Mboukou de la nationalité congolaise.
Un acteur du martyr des congolais, vous avez oublié qu’il fut le président de la cour martiale en 1972, une histoire jamais révélée au grand public!
Quant à ses origines c’est le grand flou tantôt portugais, tantôt belge , et né d’une mère sois -disant africaine sous le nom de Venturi d’origine corse.
Il est également Présentè comme natif de Kinshasa sous l’administration belge , alors qu’on évoque d’autre part ses sources du côté de la localité d’ossio en terre Ngangoulou comme d’ailleurs , vous même monsieur le ministre descendant d’un blanc dont la consonnance du nom est la même , que celle du grand- pére de l’illustre disparu , qui comme par hasard ,ont régné dans les mêmes espaces à l’époque coloniale, sous les bordures du grand et majestueux fleuve congo en face du plateau Batéké du Kwuamutu ; ce serait bien cela alors , qui aurait justifié votre coopération fusionnelle , au point de vous anoblir comme censeur du lycée Victor Augagneur à pointe-noire vers 1972 . Alors que vous suivez encore des cours à l’école normale supérieur (ENS) , mais voyageant quotidiennement par voie aérienne entre Brazzaville et Pointe-Noire , pour suivre vos cours avec la bénédiction de celui que vous connaissez c’est la face cachée de votre personnage.
Monsieur le ministre,
S’agissant de mon incapacité d’atteindre le 1/1000 la stature d’une crapule comme Henri Lopes , vous avez totalement raison , car je n’ai jamais servi une dictature et je ne servirai jamais un dictateur ,si vous avez une preuve du contraire de ce que je dis apportez-en les éléments de pertinence de ce que j’affirme.
En conclusion , je ne vous décrirai pas mieux que votre ami le général Benoît Moundélé Ngollo, qui dans son livre Adieux mes lecteurs(Le mwana ntsouka de mes livres) page (168-169)disait; Joseph Ouabari de son vrai nom Mariotti se cache à paris dans un accoutrement de camoufflage…. Pour rechecher les traces d’un certain Monsieur Mariotti, un vagabon italien ou corse…
Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur.