JE VOUS L’AVAIS DIS…QUE C’ÉTAIT SES PRISONNIERS POLITIQUES (MOKOKO, OKOMBI)

Notre grand étonnement est de constater qu’on peut  avoir dans ce monde des prisonniers politiques personnels !

ça peu parâitre surréaliste mais c’est factuel au Congo Brazzaville.

On tombe de nue à constater de telles inepties. Comment comprendre qu’il s’agit d’une répulique plutôt que d’une féodalité. On est pas loin du moyen âge français.

Grande est la stupéfaction d’être témoin d’une piéce de thêatre sans scrupule aucune dans cette diaspora.

Sept ans après  les partisans des chemins qui ne mènent nulle part, reprennent à l’unisson les propos de Tony MOUDILOU, celui qui,  depuis l’arrestation du général « sauveur du peuple » Jean Marie Michel Mokoko, est considéré comme la peste du combat politique dans cette diaspora.

Il ya de quoi se poser la question suivante :

Est-ce- que les militants de la diaspora ne sont-ils pas des aigris, des déséquilibrés mentaux ?

Comment peut-on expliquer qu’aujourd’hui le narratif de Tony Moudilou, le soi-disant traître, l’homme qu’il faut coûte que coûte abattre pour haute trahison du général du peuple, devienne l’argumentaire préféré,un refrain  chanté maintenant par les pros- Mokoko et  les pros- OKOMBI.

Sommes-nous dans un monde de perversité  ou dans un monde de narcissique ?

Que se passe-t-il  dans la tête de ceux qui  aujourd’hui retournent casaque.

Nul n’est prophète en son pays !

Les déclarations de maître tony Moudilou sur l’arrestation de Mokoko ressemblent bien à un hymne repris en chœur par les différentes obédiences et chapelles.

est-ce la revanche de celui qui était  considéré  comme un pestiféré ?

Tel un médium, maître Tony Moudilou avait su lire dans la boule de cristal pour révéler au monde la face cachée de l’histoire .

Il était parvenu ainsi à casser le tabou qui entourait l’enferment de ce général et du ministre Okombi .

Aujourd’hui la vérité est aussi limpide que  l’eau de roche.

En  vérité le général Mokoko avait été trahi par l’une de ses parents en l’occurrence Arlette  Soudan Nonault dont le mari François Soudan journaliste français directeur de la rédaction de jeune Afrique avait reçu la fameuse vidéo du géneral du peuple en compagnie des mercenaires ,par le truchement d’un de ces hommes à la solde d’un gouvernement étranger pour un reglement de compte  entre- eux suite à  son arrestation en côte d’ivoire où il purgea 9 mois de prison.

Cet homme voulut se venger contre ses partenaires.

C’est cette trahison qui est à l’origine de la nomination de cette derniére au poste de ministre en recompense;  en d’autre terme , c’est elle qui alerta le big boss de ce qui se tramait .

Le litige  fut réglé en famille, de maniére coutumiére.

Voilà ce qui donne force et vigueur à celui qui avait été dépouillé de son honneur et bafoué au plus profond de lui même.

L’humiliation faite à la personne ne mérite-t-elle pas la repentance et le pardon de ceux qui l’ont écrabouillé ?

L’homme est aujourd’hui droit dans ses bottes contemplant le ciel et dédaignant ceux qui l’ont craché à la face.

Sont -ils capables d’avoir la courtoisie et la bienveillance, au plus l’humilité de s’excuser profondément auprès de sa personne!

Le visage de la vérité est cruelle; la vérité rend fou ceux qui ont fait du mensonge et de la calomnie leur profession de foi.

Le peuple congolais est aujourd’hui éberlué de découvrir  qu’enfin que le corbeau est bel et bien Arlette Nonault Soudan.

Or, on a jugé trop vite tony Moudilou sans lui accorder la moindre présomption d’innocence.

On ne peut que condamner celui qu’on a juge coupable.

De fait  et sans sommation aucune Maître Tony Moudilou a été mis au bûcher, incendié par ceux qui n’avait pour sa personne que de la haine , une haine gratuite .

Que vont-ils dire aujourd’hui tous ceux qui l’ont lapidé ,Mafimba et consorts pour ne citer que quelques noms dont la médisance légendaire a fini par faire d’eux des personnages étranges et vulgaires.

Leur égarement n’a d’équivalent que leur  envie ardente de nuire à autrui sur fond de rivalité, d’égo , de jalousie démesurée

Ah,  la honte quand tu me tiens !

Armand Mandziono Butélézi le Vindumuneur musi Nzo Congo

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