JOSEPH MAMPOUYA UNE HISTOIRE D’UN TRAÎTRE.

Je suis Armand Mandziono Butélézi Butsindi bua bua Butsiéleka bua vindumuna ba Ngungu

Je Commence mon propos par cette assertion  de Thomas Steaners Eliot né le 26 Sptembre1888 à saint-louis et mort le 4 janvier 1965, un poète dramaturge et critique littéraire américain naturalisé britannique.

« Le temps présent et le temps passé sont tous deux peut être dans le temps futur et le temps futur contenu dans le temps passé » ;

En publiant son livre à charge sur Bernard Kolela et les originaires du pool avec l’avant-propos de Isidore M’Vouba, cet autre oiseau de mauvais augure, un prologue écrit par Charles Zacharie Bowao ,cet indigné qui n’a jamais exprimé publiquement son indignation,et la préface du poète politique Ndalla Graille ,tous aujourd’hui’  en perte de vitesse ces mercenaires de la plume qui reflètent un ostracisme viscéral contre l’homme du pool, ou sont- ils passés pour dépeindre le régime de Sassou-Nguesso .

Tous se sont accordés à caricaturer ,  à dépeindre le personnage de Bernard Koléla dont  on sait que qu’il n’est pas  un immaculé conception ,mais ne porte pas des crimes de sang.

L’homme avait sa fougue politique et des ambitions parfois démesuré mais il est loin du quasimodo ,  que ces mercenaires du PCT ont voulu nous vendre dans ce pamphlet qui n’a pour l’homme et la région du pool un désamour .

Bernard Kolela a incarné dans les temps contemporains le messianisme Kongo dont il tient la filiation des ascendant.

sa mythologie s’est créé autour de deux axes, sa bravoure politique, qui l’a mené à braver pratiquement seul ,le glacis du communisme au Congo à un moment ou les dissidents ne pouvaient se faire jour au risque de se voir être conduit au crucifix de ce point de vu Bernard kolela , est  une sorte d’Alexandre Soljenitsyne , un des plus célébre des dissidents du régime soviétique durant les années 1970 et 1980 en Russie grand écrivain et penseur russe ,  qui décrivit dans son célèbre livre l’archipel du goulag, la face noire du communisme , mais la caractéristique majeur de kolela, c’est que il ne devait pas sa promotion politique a une cooptation politique .

Comme le dit grégoire Ndaki dans son livre ,Bernard kolela , s’est crée de lui même comme le bon Dieu s’est crée de lui même .

Alors que nombre de ses hommes , sinon la totalité sont cooptés autrement dit , ils ont été parrainé et le reste .

Bernard kolela est un self made man , ce s’est qui à fait sa grandeur et sa légitimité ,c’est pour cela que Sassou- Nguesso nourrissait une peur bleue devant sa personne car ,il ne devait rien à personne , sauf au crépuscule de sa vie ou il trébucha ; désespéré de son exil il fut poussé par les siens a se donner dans les bras des Sassou -Nguesso à la mort de son épouse.

Et ,cette histoire est similaire de celle d’un autre grand homme politique Lambert Galibali ,ce dernier des mohican Tékes qui terrorisait Florent NTSIBA .

Dans son hystérie cet écrivain de seconde main JOSEPH MAMPOUYA , qualifiait le légendaire Makouta Mboukou,

hautement gradé de l’académie d’outre-mer d’écrivaillon et de tribaliste.

Pouvons-nous connaître vos contributions par rapport a la situation du pool qui ne cesse de se dégrader , d ‘être le souffre des autres ethnies comme le dénonçait Makouta-bounkou.

ON est légitimement fondé à se poser la question sur votre silence assourdissant sinon qu’il traduit votre traîtrise .

Le pouvoir Mbochi pour qui vous tressiez les lauriers hier vous a mis aux orties ?

dans la poubelle de l’histoire.

O n retrouve ici du caïman , cette figure du style qu’affectionne mon grand frère Djoumali Senghat.

Monsieur Joseph MAMPOUYA votre critique du livre de MAKOUTA -BOUNGOU intitulé la destruction de Brazzaville ou la démocratie guillotinée paru en 1999 est -elle toujours valable ou d’actualité ? Car la postérité donne raison celui que vous avez qualifiez de son vivant de membre de l’académie des sciences d’outre tombe.

Que Dieu vous pardonne , vous et ainsi que vos acolytes.

Armand Mandziono Butélézi Butsindi bua Butsiéleka bua Vindumuna ba Ngungu.

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