Aux agités politiques des réseaux sociaux :des médias alternatifs , pseudos analystes, journaleux,tortues à double carapace, pécheurs en eau trouble. politichiens à la solde de la parentèle aux pouvoir ou encore caisse de résonance des histoires secrètes du PCT et de ses apparatchiks.
De deux choses l’une, la diaspora dite militante est atteinte de ses limites cognitives ou du désespoir de l’échec . Ces excités ont transformé le débat politique en un exutoire ,attitude qui cache en vérité la phobie et l’incertitude d’un retour au pays natal après tant d’années passées en France, sans préparer leur reconversion , cela devient un dilemme pour ces derniers d ’ou leur quiproquo avec Sassou-Nguesso et son rejeton Christel Denis Sassou-Nguesso .
Perdue entre le pathos et le logos homo politicus, le théâtre congolais de la pseudo sphère politique de la diaspora dite militante entretenue par des désespérés ,des Déséquilibrés mentaux et agents de tout acabit excelle dans un charabia politique teinté d’un incivisme patriotique et ,d’une sécheresse intellectuelle criarde qui réveillent une haine enfouie en elle en la faisant remontée à la surface et un désamour pour soi même.
Gagner, tuer,survivre agrémentent le discours des cannibales de la diaspora dite militante qui se dévorent sans pitié tels des fourmis magnans ,à la fin s’humiliant , inventant des scènes bluffantes, ubuesques ,mensongers,rocambolesques, un véritable voyage des maudits , des experts ès coups montés et démontés au pays de la haine.
Ces derniers oublient que
La haine n’est pas un ticket d’entrée en politique.
Malheureusement ,ils en font un sentiment consubstantielle à la politique ,ce qui est totalement anormal et contraire à ce sacerdoce.
La haine débordante dont le corollaire est la virulence verbale est tout sauf un hasard à la radicalisation de cette diaspora dite militante dont les réseaux sociaux , inexhaustibles déversoirs de fiel permet de comprendre les limites de ces spécialistes de la bêtise politique dont la détermination est égale à la somme zéro .
Nous nous réservons de citer les noms de ces cochons dindes , personnes abjects pour ne pas nous faire taxer de folie ou de personnes en quête de notoriété comme ils ont l’habitude de qualifier l’ espèce humaine sincère et véridique devenue rare de nos jours ,que nous représentons en se posant des bonnes questions.
Certains d’entre eux n’expriment que leur jalousie, leur complexe d’ infériorité grosso modo leur mal être.
Vous les reconnaîtrez facilement dans les réseaux sociaux et plateformes de discussions qu’ils inondent , par la diffusion de leurs vidéos, écrits et audios pour éviter toutes polémiques inutiles avec ces singes , à propos de cette problématique majeure qu’est la haine de l’autre , qui les habite sans raison apparente et n’honore point la diaspora dans son ensemble ; les enfermant dans une tambouille
Le cénacle de ces cannibales ou de ces désespérés de de la diaspora de Paris , a trouvé un moyen d’existence ,c’ est celui de se faire expert ès mensonge accusateur politique ,en divulguant des fausses informations pour salir ceux qui ne sont pas avec eux, qui n’adoubent pas leur manière d’opérer, qui retarde l’élan du combat politique du peuple contre le système établi.
.Ils font de la diffamation , de l’espionnage breloque, leur modus operandi sans aucune gêne croyant avoir tout le monde a portée de main comme des ignares .
Pauvres cannibales politiques, personnes abruties de la diaspora dite militante nées d’un militantisme de la haine, de la vengeance.
Vous avez cru être plus intelligent que les autres ,mais hélas c’est peine perdue, malgré l’espoir d’arriver un jour à vos fins.
Vous êtes rentré tout bonnement dans la route de la mort à crédit avec vos contorsions politiques macabres au crépuscule d’un changement inéluctable au Congo.
Croyez-moi si la diaspora était le réservoir d’un Congo intelligent aujourd’hui ON NE SERAIT PAS LA ENTRAIN DE RASER LES MURS.
LA révolution se serait déjà produite au Congo ,alors un peu plus de modestie S.V.P. et évitez la roublardise.
Car ,de la diaspora il ne sortira rien à moins que la chenille ne se transforme en papillon.
Armand Mandziono Butélézi Butsindi bua Vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika