La question du pool pose la question fondamentale de la contradiction principale et de la contradiction secondaire.
Faut il d’abord résoudre la question du pays dans sa globalité ; autrement dit le pool n’est qu’une contradiction secondaire. D’emblée , on se trouve devant une quadrature du cercle c’est à dire une équation insoluble.
Les tenants de la première version qui tienne en idée de d’abord résoudre la question nationale et le le pool y découlera. Ce débat à cours. Il a envahit tous les cénacles de réflexion. En posant le problème de cette façon ce raisonnement ne découle que d’une suite logique ; puisque le pool est sous ensemble dans un ensemble qui est le con go. Donc en apportant des solutions pérennes à la situation de la nation la problématique du pool y trouve son issue puisque le cadre nationale sera apaisé et l’origine du mal c’est à dire le régime actuel sera absout. Cette façon de voir relevé d’une vision cartésienne, ne souffrant d’aucune contestation sauf que la solution nationale à du mal à poindre à l’horizon pour diverses raisons manque d’unité des combattants, aucune perspective, manque criard des moyens et surtout des égos surdimensionnés et puis l’avarie principale qui est le tribalisme.
La mécanique de la lutte a du mal à se mettre en place du coup, ça
rend obsolète ce type de raisonnement, puisque on peut attendre ad vitaem æternam .
Si endehors de la solution des armes dont prêche certains, on avait fait jouer la solidarité nationale à l’égard du pool ; chaque région du Congo se disant nous sommes le pool «On aurait pu voire se constituer un rempart pour arrêter net la méchanceté du pouvoir Mbochi à l ’endroit des Laris.
Le gouvernement se serait retrouver isolé et forcé de trouver un compromis politique pour le Pool.
Or, tel n’est pas le cas chacun joue sa partition sur fond de tribalisme . D’autres se frottent les mains de voire l’autre souffrir parce que on règle les comptes, qu’il aurait lui même voulu régler au pool.
C’est l’histoire du serpent qui se mord la queue.
Car ,on ne peut pas attendre que la prétendue contradiction principale qui est le Congo ,se trouve une solution et donc une voie de sortie pour le pool. Alors on est obligé d’inverser les hypothèses de départ, il ne faut plus partir de la contradiction principale pour arriver à la contradiction secondaire mais il faut faire l’inverse c’est à dire partir de la contradiction secondaire elle même.
L’exemple le plus parlant nous est donné par un accident de la route ,lorsque il y a une hémorragie on attend pas d’acheminer l’accidenté à l’hôpital pour arrêter l’hémorragie.
On pose un garrot pour éviter la mort subite du malade et par la suite on évacue la personne à l’hôpital.
C’est pourquoi les enfants du
pool doivent se lever ua regard de l’hémorragie pour poser le garrot.
En se disant bien que le pool est dans une situation d’urgence, qui n’est autre que une situation de détresse absolue.
A force d’attendre le pool va être comme cet accidenté de la route qui meurt faute de soins.
Vous l’aurez tous compris
Le temps révèle la vrai nature des hommes. Les masques tombent , et montrent les gens comme ils sont même quand on est ressortissant du pool.
Chers ressortissants du pool, la situation de notre région n’est plus à démontrer ni à expliquer à qui que ce soit , si nous ne sortons pas de notre hypocrisie pour faire le maximum de bruit, croyez-moi , nous KONG O -LARIS nous sommes condamnés à disparaître du Congo prenez -le pour dit.
Le tous ensemble sauf le pool est une réalité incontestable.
Le dire haut et fort ce n’est pas être tribale c’est être réaliste ne pas accepter le déni des autres tribus à l’encontre des Kongo-Laris ,c’est se bander les yeux certains Laris sont dans cette compromission pour plaire même au cours des réunions ,ils cherchent des mots pour paraître des patriotes se refusant de blesser ou de heurter qui que se soit.
Ils ont tort. Car un proverbe Kongo dit si celui qui se met nu devant toi n’a pas la moindre once de pudeur pourquoi vas tu avoir la pudeur de te déshabiller.
Il est temps d’unir nos forces pour créer une communauté solide.
Au regard de l’ostracisme dont nous sommes victimes par rapport aux autres ethnies ,Car le mal du Congo est bel et bien ethnique sur fond de suprématisme M’bochi.
Ce suprématisme n’est que une illusion il est synonyme de leur ensauvagement du à leur nature parce que les Kongo connaissent le royaume et eux ne connaissent que des chefferies pour preuve la gouvernance du pays est une chefferie .
Peine perdue pour ceux qui veulent laver la tête du singe autrement dit parler des propositions républicaines ; c’est demander aux cochons de manger danger dans la porcelaine.
Armand Mandziono Butélézi Butsindi bua Butsiéleka bua Vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika Jean le Baptiste