LES DÉGONFLES DE LA PLUME DE LA DIASPORA.

L’écriture nous permet

d’entrer en contact avec ce qui nous est souvent caché .

L’écriture nous aide à établir des liens avec ce qui se passe en nous et avec les autres.

Elle est  aussi l’une de ces codes de bienséance.

Sur ce j’interpelle certain compatriote qui se sont aventurer dans ce monde tourbillonesque ou Alain Mabanckou arrive à jongler avec une aisance extraordinaire alors que les autres suiveurs se sont affichés comme tel n’ont toujours pas présenter au grand jury populaire l’ œuvre ou les œuvres qu’ils prétendent être les auteurs.

Au regard du dernier sondage qui a été effectué il en ressort les noms suivants:

Aristide Beyala alias Mobebissi

Sébastien  Matsiongo,

Charles Madédé

Ferdinand M ‘baou

Joseph Ouabari

Bedel Bahouna,

Massengo Tiassé

Jean clair Matondo et j’en passe…

Il faut toutefois signaler la perspicacité du jeune  loup fortuné Gailor Pouabou qui une fois publié avait brillamment défendu ses opinions publiquement, même le groupe de travail conduit par Frédéric Mingwa Biango

Alexis Miayoukou s’est acquitté de ses obligations  à travers un livre blanc qui a été présenté publiquement  il y a deux semaines.

Entre temps nous n’oublions pas ces génies écrivains en herbe qui ont annoncé depuis des lustres la sortie de leurs opuscules ,  dont la teneur n’est connue que par la profondeur de leur conscience.

Dans tous les cas ils se reconnaîtrons eux mêmes.

Nous ne saurons terminer notre propos en exhortant , à tous ceux qui ont déjà franchi la première étape de ce statut d’aller jusqu’au bout de leur logique afin de dissiper certains doutes et quelques malentendus sur la paternité réelle de leurs œuvres.

Armand  Mandziono Dianguenda Butélézi Butsindi bua butsiéléka bua Vindunmuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika Jean le Baptiste Kulu tia bonga mu Nzo aku ba Kahula balembana.

 

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