Âme sensible retient ton souffle et soit rationnel ,c’est de l’avenir du Congo qu’il s’agit.
Le temps est notre allié le plus puissant pour révéler la vraie nature des hommes.
Personne ne peut porter un masque indéfiniment ,avec le temps il finit par tomber .
Chers compatriotes
Depuis un certain moment des tribunes entières dans les journaux et autres médias , pour l’élévation du général Mokoko , au rang du futur élu du peuple.Des chansons son portées à sa dévotion; des discours politiques sont orientés pour faire l’apologie de cet officier supérieur dont les vertus seraient au dessus de la mêlé ; on nous vend le rêve d’ Épinal de celui qui va faire la prospérité du Congo, le renforcement de l’ État social et donc la cohésion de la nation.
Alors , cette forme d’apologie tient de la vénération,façonnant l’image d’un personnage immaculé sortie de Jupiter. Cet angélisme à ceci de caractéristique c’est qu’elle masque ce que pourrait être la face sombre d’un homme afin de rendre entre les mains du citoyen congolais tous les éléments nécessaires à la compréhension de ce personnage et donc à en faire son propre jugement.
Dans cette démarche malicieuse on veut conditionner la conscience du citoyen, en ne lui indiquant que le bon côté des choses.
On est donc là dans une procédure rituelle de mensonge.
Dont les politiciens congolais ont du mal s’en défaire.
Il s’agit donc de pilonner , pilonner et pilonner pour installer Mokoko, dans le subconscient des congolais.
Notre rôle d’objecteur de conscience est de rétablir la réalités , des faits de ne pas se laisser abuser par des déclarations effrénées, mielleuses, lénifiantes, alléchantes ne correspondant en rien à l’équation politique de l’homme Mokoko.
Peut-on parler d’un changement de système en espérant remplacer Denis Sassou Nguesso, un homme de la France officier général maçon de la GNLF, par un autre homme de la Françafrique officier général et franc maçon de la GNLF en occurrence le général Jean Marie Michel MOKOKO .
Des voix s’élèvent de plus en plus sur le sort du Congo qui est plus qu’inquiétant alors ,que cela remonte déjà à 27 années que l’homme du 5février, l’homme des masses nous promettait une renaissance de l’espoir.
Point n’est besoin de revenir sur les contours et les détours de cette gouvernance , à laquelle chacun peut trouver les qualificatifs qui lui conviennent.
Pendant ,que les esprits sont tournés et concentrés sur les réformes nécessaires à la résurrection du Congo , certains esprits retors et en manque d’imaginations se complaisent dans une forme d’intelligence négative , pour ne pas dire une médiocrité extraordinaire , en appelant à hue et à dia à un homme providentiel ,dont la cohérence de la contradiction avec son mentor de tous les temps ne tourne qu’autour des questions liées à la chair.
L’histoire politico-militaire du Congo à partir du début des années 1970,N ‘a toujours pas mis en évidence des intenses inter-actions , entre Denis Sassou -Nguesso, dans le rôle du grand frère et et jean Marie Michel Mokoko , dans le rôle du petit frère préféré , pour votre gouverne.
Cet homme ,aujourd’hui adulé a été un personnage de basses besognes
A l’époque en mars 1977, le lieutenant Jean marie Michel Mokoko ,chef de corps du génie est celui qui avait été chargé par le ministre de la défense et de la sécurité le commandant d’alors , Dénis Sassou-Nguesso d’aller récupérer la dépouille du cardinal Émile Biayenda, sur les lieux de son supplice sur la route nationale n°2.
En dépit du respect de la chaîne du commandement militaire mieux, lors du renversement du camarade général Jacques Joachim Yhombi Opango, le 5févévrier 1979, de triste mémoire c’est encore le capitaine Jean marie Michel Mokoko, qui était chargé de mener le peloton de sécurité, qui désarma la garde présidentielle et tous les acteurs conviés à cette rencontre à l’exception du colonel Denis Sassou -Nguesso.
Les exemples sont légions et on peut en citer encore beaucoup d’autres.
Ce dernier ne s’encombrera pas de vouloir arrêter la conférence nationale souveraine, de mettre un coup d’arrêt au gouvernement de transition et, de décapiter le pouvoir de pascal Lissouba .
Que diantre! a-t-on de ne dire que des bonnes choses sur ce personnage ambigu et funeste ?
Sachant que le Congo est tenu par la Françafrique et on sait que le coup d’état manqué du 20 Janvier 1992, du général jean Marie Michel MOKOKO , pour le compte de son mentor Denis Sassou Nguesso fut financé par les réseaux pétroliers français selon les bouchés autorisées tel que diffusé publiquement sur la chaîne française M6.
J ‘interpelle alors donc , les intellectuels congolais qui trouvent que le général Mokoko , est la seule et unique solution pour le Congo , pour un véritable changement alors que ce dernier est une créature des mêmes officines donc qui obéit aux mêmes lois , règles et ordres spirituels l’archange Saint Michel ,le Saint patron des bérets rouges dont Ntumi, est l’incarnation religieuse comme chef de l’église pentecôtiste congolais après papa Ésaïe ; puisque la Françafrique est un monstre aux yeux des érudits congolais.
Autres fait , en-dehors de J3M il ressort également l’alternative OKOMBI SALISSA ,ce monstre politique chef milicien du front 400 , qui se prend pour un Néron comme son père spirituel qui est SASSOU-NGUESSO, qu’il n’a pas pu neutraliser le 25 septembre 2015 comme l’avait fait Brutus en son temps.
Pendant que les regards, sont rivés vers l’horizon Mars 2026, plutôt que de redoubler d’ingéniosité et d’originalité dans la pensée politique les séminaristes de la bienséance politique multiplie des conclaves et des consistoires, pour porter au pinacle des hommes qui devaient être rangés dans les placards de l’histoire du Congo ,afin de laisser libre court à des perspectives plus nobles et des nouvelles générations d’hommes.
Au regard de ce qui précède peut-on remplacer un Néron par un autre Néron , en l’occurrence OKOMBI SALISSA.
Le Congo marchera à reculant aussi longtemps , que nous aurons les regards tournés vers ces hommes passéistes, englués dans les contradictions de la françafrique, car il serait déshabillé pierre pour habiller Paul.
Ces hommes n’ont pas les mains libres, l’indépendance nécessaire pour mener les transformations nécessaires et être en adéquation avec les aspirations du peuple profond.
Les campagnes menées tambour battant pour ces hommes relèvent de la politique politicienne , pour un repositionnement pour certain , pour la conservation du pouvoir pour d’autres et pour un recyclage pour nombre qui vivent la disgrâce avec le pouvoir de Sassou- Nguesso , qui leur aura ostensiblement fermé les portes. Mokoko et OKombi, sont tout sauf des saints.
accusés répondez !
Armand Mandziono Diaguenda Butélézi Buntsindi bua Butsiéléka bua Vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika Jean le Baptiste Kulu tia Bongo mu Nzo Bakahula ba Lembana ,Nge ku Ândiri ku belo tia nga,jamaïca wamazulu