QUESTION DU POOL LA CONTRADICTION PRINCIPALE ET LA CONTRADICTION SECONDAIRE.

La question du pool pose la question fondamentale de la contradiction principale et de la contradiction secondaire.

Faut il d’abord résoudre la question du pays dans sa globalité ; autrement dit le pool n’est qu’une contradiction secondaire. D’emblée , on se trouve devant une quadrature du cercle c’est à dire une équation insoluble.

Les tenants de la première version qui tienne en idée de d’abord résoudre la question nationale et le le pool y découlera. Ce débat à cours. Il a envahit tous les cénacles de réflexion. En posant le problème de cette façon ce raisonnement ne découle que d’une suite logique ; puisque le pool est sous ensemble dans un ensemble qui est le con go. Donc en apportant des solutions pérennes à la situation de la nation la problématique du pool y trouve son issue puisque le cadre nationale sera apaisé et l’origine du mal c’est à dire le régime actuel sera absout. Cette façon de voir relevé d’une vision cartésienne, ne souffrant d’aucune contestation sauf que la solution nationale à du mal à poindre à l’horizon pour diverses raisons manque d’unité des combattants, aucune perspective, manque criard des moyens et surtout des égos surdimensionnés et puis l’avarie principale qui est le tribalisme.

La mécanique de la lutte a du mal à se mettre en place du coup, ça

rend obsolète ce type de raisonnement,  puisque on peut attendre ad vitaem æternam .

Si endehors de la solution des armes dont prêche certains, on avait fait jouer la solidarité nationale à l’égard du pool ; chaque région du Congo se disant nous sommes le pool «On aurait pu voire se constituer un rempart pour arrêter net la méchanceté du pouvoir Mbochi à l ’endroit des Laris.

Le gouvernement se serait retrouver isolé et forcé de trouver un compromis politique pour le Pool.

Or, tel n’est pas le cas chacun joue sa partition sur fond de tribalisme . D’autres se frottent les mains de voire l’autre souffrir parce que on règle les comptes, qu’il aurait lui même voulu régler au pool.

C’est l’histoire du serpent qui se mord la queue.

Car ,on ne peut pas attendre que la prétendue contradiction principale qui est le Congo ,se trouve une solution et donc une voie de sortie pour le pool. Alors on est obligé d’inverser les hypothèses de départ, il ne faut plus partir de la contradiction principale pour arriver à la contradiction secondaire mais il faut faire l’inverse c’est à dire partir de la contradiction secondaire elle même.

L’exemple le plus parlant nous est donné par un accident de la route ,lorsque il y a une hémorragie on attend pas d’acheminer l’accidenté à l’hôpital pour arrêter l’hémorragie.

On pose un garrot pour éviter la mort subite du malade et par la suite on évacue la personne à l’hôpital.

C’est pourquoi les enfants du

pool doivent se lever ua regard de l’hémorragie pour poser le garrot.

En se disant bien que le pool est dans une situation d’urgence, qui n’est autre que une situation de détresse absolue.

A force d’attendre le pool va être comme cet accidenté de la route qui meurt faute de soins.

Vous l’aurez tous compris

 

Le temps révèle la vrai nature des hommes. Les masques tombent , et montrent les gens comme ils sont même quand on est ressortissant du pool.

Chers ressortissants du pool, la situation de notre région n’est plus à démontrer ni à expliquer à qui que ce soit , si nous ne sortons pas de notre hypocrisie pour faire le maximum de bruit, croyez-moi , nous KONG O -LARIS nous sommes condamnés à disparaître du Congo prenez -le pour dit.

Le tous ensemble sauf le pool est une réalité incontestable.

Le dire haut et fort ce n’est pas être tribale c’est être réaliste ne pas accepter le déni des autres tribus à l’encontre des Kongo-Laris ,c’est se bander les yeux certains Laris sont dans cette compromission pour plaire même au cours des réunions ,ils cherchent des mots pour paraître des patriotes se refusant de blesser ou de heurter qui que se soit.

Ils ont tort. Car un proverbe Kongo dit si celui qui se met nu devant toi n’a pas la moindre once de pudeur pourquoi vas tu avoir la pudeur de te déshabiller.

Il est temps d’unir nos forces pour créer une communauté solide.

 

Au regard de l’ostracisme dont nous sommes victimes par rapport aux autres ethnies ,Car le mal du Congo est bel et bien ethnique sur fond de suprématisme M’bochi.

Ce suprématisme n’est que une illusion il est synonyme de leur ensauvagement du à leur nature parce que les Kongo connaissent le royaume et eux ne connaissent que des chefferies pour preuve la gouvernance du pays est une chefferie .

Peine perdue pour ceux qui veulent laver la tête du singe autrement dit parler des propositions républicaines ; c’est demander aux cochons de manger danger dans la porcelaine.

Armand Mandziono Butélézi Butsindi bua Butsiéleka bua Vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika Jean le Baptiste

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ENTRE ABANDON ET LIBÉRATION DU POOL.

Le pool libéré ,le Congo serait libre dixit le vieux sage Korobo Matsouaniste.

L’ABANDON par l’état de cette contrée ET Les guerres intestines  de la  DIASPORA DU POOL DE FRANCE desservent à jamais la cause de cette régions et de ses populations (kongo lari tékés et sundis),Cette problématique de l’abandon du pool à lui même a été illustré dans le manifeste du pool signé par Ciceron Massamba https://congo-liberty.org/manifeste-pour-le-pool-le-silence-coupable-de-la-communaute-nationale-par-ciceron-massamba/).

Seul le rassemblement Des   filles et fils  du pool est susceptible de constituer un levier d’action puissant pour porter de la voie, faire entendre cette cause, sortir la tragédie du ghetto dans lequel on tente de l’enfermer et à apporter une solution pérenne à ce qui constitue un drame dans l’histoire contemporaine du Congo.

Ce drame à huis clos a été évacué du champs politique,frappé d’une omerta de manière que personne n’en parle et que ce peuple meut à petit feu et disparaisse.

Le déni sur l’existence des laris n’est qu’une manière de dissoudre

ce drame et de gommer les atrocités des différentes persécutions dont est sujet ce peuple , même l’opposition dite politique censée être fervent défenseur de cette problématique hallucinante est bouche cousue .

La seule tentative esquissée dans les rangs de l’opposition a été de celle de Jean Itadi sorti du bois pour évoquer le souffre douleur de cette région.

Comme si quelque part l’opposition portait en elle la responsabilité d’un silence coupable.

Tous les sujets sont évoqués et évocables sauf la question du pool .

Or, on sait que la marche en avant d’un pays ne serait se faire sans son unité .En outre ,le pool est la locomotive du congo selon pascal Lissouba.

Il est le fils ainé comme la France est la fille ainée de l’église catholique .

Un pool libéré et debout aiderait la nation à se remettre debout.

Son dépeçage récemment par un découpage administratif irraisonnée relevé d’un bidouillage destiné à nuire d’avantage aux intérêts de cette région.Il répond à un principe simple celui correspondant au niveau du continent à la balkanisation de l’Afrique pour mieux l’affaiblir ; et par translation au saucissonnage du pool pour l’anéantir.

En dépit des 26 ans que cette région est abandonnée à elle même , assiégée par 3000 militaires

Le pool est devenu le butin des gens sans foi ni loi ,qui ont raté leur vocation de gangster et qui ont échoué en politique , ces derniers ont détruit la vie en société des originaires du pool.(l’instruction, le tissu sociaux sanitaire, l’environnement et y ont installé la désolation

Les populations du pool croupissent dans la misère absolue , une véritable non assistance aux populations en danger en à ciel ouvert de la part dans un état voyou ;c’est le désespoir totale .

Les populations du pool sont dans des conditions d’un peuple d’abruti donc pire que celle d’un peuple de brute .

Aujourd’hui l’homme du pool est résigné à la médiocrité des M’ bochis pour justifier sa mendicité et non pas sa fainéantise car l’homme du pool est travailleur et normatif.

Comment un tel crime de masse est- il rendu possible dans une république où le parti au pouvoir prône la sociale démocratie ?

Quant à la diaspora du pool de France cette dernière s’est dérobée de sa responsabilité en terme de sensibilisation autour de ce drame et en terme d’aide matérielle qu’elle est susceptible d’apporter.

Elle brille dans la haine et la jalousie infondée de l’autre, des commérages, du ôte toi de là que je m’y mette , pas de considérations pour les autres ,l’homme du pool excelle dans l’extrémisme soit il est corruptible facilement , soit il est intransigeant à jamais.

Sa position n’est jamais pondéré ni modéré ce qui fait son malheur car, ça les emmène à s’exclure entre eux ,ne pouvant donc bâtir un front commun.

Ces positions maximalistes doivent être abandonnées , si nous voulons construire ensemble ; sinon les autres vont continuer à casser le sucre sur notre dos .

Il est très, très facile à corrompre , il n’a aucune réserve .quand il s’agit de trahir son propre frère , tout ce pédigrée est le creuset des boycottages récurrents de toute initiative de rassemblent de la diaspora du pool de France et, cela pour quel objectif?

Je n’en sais rien, à cette allure le rayonnement du pool est encore à des années lumières..

L’ autoflagellation de la diaspora de France est un signe révélateur d’un réel manque de courage, de volonté  pour aborder les questions politiques, dont elle est friande à commenter sans réserve  dans les réseaux, bars et restaurants pour trouver des pistes de solutions

Oubliant que c’est toujours l’oppresseur , non l’opprimé qui détermine la forme de lutte.

Si l’oppresseur utilise la violence ,l’opprimé n’aura pas d’autres choix que de répondre par la violence .

Dans le cas du pool ce ne serait qu’une forme de légitime défense

Armand Mandziono Butélézi Buntsindi bua vindumuna ba ngungu wa kala mu kuenda nkukirika Jean le baptiste.

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Sur la nécessité d’établir un diagnostic scientifique des états inférieurs de l’intelligence de la diaspora du pool en France

De l’idiotie partielle à idiotie totale

Si la diaspora du pool en France ne se rassemble pas, l’avenir du pool sera un cimetière des crimes impunis des M’bochis dixit maître Amédée Nganga.

Nul n’est censé ignorer que la démocratie c’ est le nombre mais , à l’allure ou vont les choses Sassou-Nguesso,  et ses comparses sont décidés à rayer le pool par tous les moyens de la carte du Congo, comme l’avait prédit  Bernard Bakana honda KOLELAS à son époque .

Le pool toujours le pool et , oui le pool  toujours le pool, si sa diaspora en France n’est pas partiellement idiote alors,  elle est donc totalement idiote.

La diaspora du pool en France refuse catégoriquement de réfléchir sur les voies et , moyens qui vont sortir leur région dans le chaos ou elle se trouve .

Elle préfère se torpiller , pour faire échouer le grand rassemblement qui s’impose à elle , afin  de garantir la survie de sa région en proie d’ une prédation assumée par le pouvoir de Sassou-Nguesso .

Le découpage de la région du pool est une preuve patente de la haine dans laquelle ce pouvoir, tient le pool , le Laris est à leur yeux ce que fut le juif au régime hitlérien .

Hitler , en chosifiant les Juifs ,il en avait fait des bêtes de potence tout comme Sassou- Nguesso a fait des Laris sa chair à canon incapable de faire face à la petite intrusion des angolais à kimongo .

CE général en carton qui ne vaut qu’un un millième de son collègue  kagamé  , passe le plus clair de son temps à se badigeonner la face et , en faire des kongo- Laris des souffre- douleurs, ceux la mème qui par leur magnanimité lui signére sont intégration dans l’armée par l’abbée fulbert Youlou et dont l’ingratitude maintien sa tombe sous la poussée des herbes à Madibou.

L’ingratitude du caïman pour emprunter l’expression de   frère Isaac Djoumali Senghat.

Dieu seul sait que Sassou-nguesso ,rendra des comptes même à titre  post -mortem.

« Si ce ne n’est pas toi,  c’est ton frère dans les fables le loup et l’agneau de la fontaine. »

Ceci veut dire en clair que le nom de Sassou sera proscrit au Congo et ses descendants vont s’obliger de changer le patronyme, qu’ils le tiennent pour dit.

Il n’est plus le maître des horloges son temps est bien conté.

On l’a trop respecté, on le respecte plus .

Sassou est le mal du pool ,mais il n’est pas le seul . Nous mettons en garde les intégristes Laris qui veulent faire du pool leur exclusivité et exercer, leur monopole sur tout, monopole de la pensée , monopole de l’action , monopole de la vérité .

Ces noms sont les suivants Massengo Tiassé, Nestor ndudi , Samba dia Nkoumbi qui se réclament êtres les héritier le premier de Moudileno Massengo, et les deux derniers de André HOMBESSA ,ce perpétuel ambassadeur permanent de Sassou-Nguesso en Suède .

Dans la boulimie de leur escroquerie au nom de l’intérêt du pool ,ils avaient réussi à subtiliser 50.000 Euros des mains de la congrégation évangélique de Suède que Samba dia KOUMBI ,ce puritanisme de mauvais aloi , surfant sur la rente mémorielle de son défunt père Samba dia koumbi à

transformer en capital ou fond de roulement pour son commerce .

Ces derniers poussant leur escroquerie morale ont eu l’outrecuidance de se servir du ministre Mbaya bonaventure pour lire une allocution, faisant de ce dernier malade et fatigué un faire valoir.

Voilà la réalité de l’histoire de la diaspora du pool en France  , ce petit monde grégaire vivant entre eux et voulant s’exprimer au nom de tout les ressortissants du pool oubliant qu’il y a des éminences grises dans la diaspora du  pool  en France.

Au nom du pool dont ils se réclament bec et oncle,  ils sont appelés à répondre présent au grand conclave du pool qui vont s’organiser dans des brefs délais.

Les femmes sont priés d’apporter leur caution y apporter de leur féminité pour adoucir les mœurs. Nous comptons énormément sur Madame Batsimba Kimpa Vita , pour mobiliser la gente féminine et briser toute réticence .

Car, pour survivre il faut d’abord faire bloc sinon Sassou- Nguesso ,va nous finir avant de s’en aller c’est l’objectif que s’était assigné le triumvirat. Sassou-Nguesso ,YHOMBI OPANGO et Marien Ngouabi .

Armand Mandziono Butélézi Buntsindi Bua Vindumuna ba Ngungu wa kala mu Kuenda ba Nkukirika le Baptiste

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Chronique du 24/08/2024

Chronique du 24/08/2024
Le Congo en péril : La stratégie de division orchestrée par le PCT ou la politique de « boussa-boussa » (gribouille)*, qui cache un projet plus sinistre encore : la fragmentation de l’unité nationale.
Depuis qu’Anatole Collinet Makosso a déclaré le Congo en faillite, l’État-PCT d’Oyo, sous sa direction, a entrepris une manœuvre des plus scandaleuses : l’émission de fausse monnaie pour satisfaire une élite corrompue — ministres, députés, sénateurs, hauts fonctionnaires, officiers des Forces Armées, présidents d’organisations de travailleurs. Cette politique irresponsable, que Aloïse Moudiléno-Massengo qualifiait avec justesse de « boussa-boussa » (gribouille), cache un projet plus sinistre encore : la fragmentation de l’unité nationale.
En s’appuyant sur un faux recensement général de la population, Makosso a annoncé la création de nouveaux départements, prétendant répondre aux besoins des populations. Mais comment croire en cette promesse, quand il peine déjà à gérer les départements existants ? Ces nouvelles divisions territoriales suivent des lignes ethniques alarmantes, exacerbant le tribalisme et ramenant le Congo à une ère archaïque.
Les manigances du régime ne s’arrêtent pas là. Le 22 août 2024, une réunion d’urgence sur la « Trésorerie du Congo » a été convoquée à Oyo, réunissant ceux qui ont confondu leurs poches avec le Trésor public. Cette institution, non prévue par la Constitution de 2015 imposée au peuple par la force et le sang, n’a d’autre objectif que de servir les intérêts de l’État-PCT d’Oyo.
La tenue de cette réunion financière à Oyo, plutôt qu’à Brazzaville, révèle une vérité inquiétante : Oyo est-elle devenue, de facto, la nouvelle capitale ? Ou l’État-PCT se voit-il comme un État indépendant au sein du Congo, à l’image du Lesotho en Afrique du Sud ?
Ceux qui croient encore en l’unité et l’indivisibilité du Congo doivent cesser d’ignorer l’évidence : l’émiettement du territoire, avec ces nouveaux départements ethniques, et la vente de terres au Rwanda, ne sont que des étapes d’un plan plus vaste visant à morceler le pays et à faire disparaître certaines régions.
Le professeur Théophile Obenga, théoricien de la scission du Congo en trois nations (Mbochi, Téké et Kongo), pourrait voir dans cette situation une confirmation de ses thèses. Mais la réalité est plus complexe : la nation Mbochi, telle qu’imaginée, est loin de se concrétiser. En vérité, c’est la Nkéni-Alima qui est propulsée sur le devant de la scène.
En 2014, j’avais mis en garde contre cette politique de « boussa-boussa » qui nous conduisait inévitablement à la création de deux États — l’un au Sud, l’autre au Nord. À l’époque, on m’accusait de sécessionnisme. Aujourd’hui, le Congo est bel et bien morcelé, mais personne ne s’en offusque. Le silence persiste, et c’est dans ce silence que le pire s’accomplit. Même ceux qui protestent le font sans véritable conviction, car ils partagent en secret le véritable objectif : maintenir coûte que coûte le pouvoir au Nord.
La question se pose alors : devons-nous encore nous battre pour le Congo, ou chacun doit-il désormais se battre pour sa région ?
Quant à nous, plus que jamais, nous sommes convaincus que l’avenir du Congo réside dans l’Union nationale, qui doit passer par un compromis politique historique. Ce compromis doit conduire à une transition politique de cinq ans, durant laquelle seront mises en place les institutions d’un État républicain fort, garantissant une République Une et Indivisible, héritée de nos Pères-Fondateurs le 28 novembre 1958.
* Cf. FEDERCO Actualités, 1976.
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DE LA RESPONSABILITÉ, PARLONS-EN !

 

Dans son allocution du 15 août 2024, s’adressant aux jeunes, le chef du régime criminel de Brazzaville a évoqué la responsabilité en bilan intermédiaire de l’année de la jeunesse en ces termes : “Aux jeunes générations, leur RESPONSABILITÉ les appelle à l’humilité, cette vertu qui devrait leur permettre d’apprendre pour hériter de l’expérience des anciens, de faire montre de beaucoup de courage, d’être entreprenants, de saisir toutes les opportunités d’emploi disponibles, d’éviter les raccourcis de la facilité et de l’impatience, de s’élever par l’effort.”, fin de citation.

Cette litanie dissimule une dichotomie cognitive que nous nous employons de décoder pour la compréhension de ce message subliminal, avant d’énumérer les réelles responsabilités et de qui elles dépendent.

Dans l’ordre, décryptons ce message où le mot responsabilité apparaît en lettres capitales.

1. Leur RESPONSABILITÉ les appelle à l’humilité.

Cette assertion signifie que les jeunes sont responsables individuellement de leur situation du moment. L’humilité dont il parle, sous-entend la fin du bling-bling de ce régime qui tire le diable par la queue à l’image de sa cérémonie festive enfarinée par l’exposition de boulangerie dans un défilé militaire. C’est l’hôpital qui se moque de la charité. Sassou-Nguesso appelle à l’humilité, lui qui affiche une opulence insolente à l’égard du peuple plongé dans la misère et gouverné par la terreur, dont les bébés noirs lui permettent d’apparaître comme le recours aux problèmes dans la pure tradition du pompier pyromane.

2. Cette vertu devrait leur permettre d’apprendre pour hériter de l’expérience des anciens.

La responsabilité est un terme juridique qui renvoie d’une part, à l’obligation de réparer le dommage que l’on a causé par sa faute, dans certains cas déterminés par la loi. D’autre part, elle renvoie à la charge qui incombe à une personne civile ou morale qui relève de son pouvoir, de son contrôle ou de sa gestion. En aucun cas, la responsabilité n’est une vertu, car la vertu est un état d’esprit relatif au comportement ou à la morale. La dualité de cette expression met en exergue le préjudice matériel ou moral qui découlerait du défaut d’assumer une responsabilité. En l’occurrence, l’autorité du pouvoir de Brazzaville se décharge de son obligation de donner aux jeunes les moyens de se projeter dans la vie. Tout d’abord, apprendre nécessite de disposer des outils matériels et/ou pédagogiques. Chacun sait que les conditions d’éducation sont misérables dans le pays. Et l’expérience des anciens est une cohorte d’anti-valeurs dont les plus visibles sont la corruption, le crime économique et humain massif, la dépravation des mœurs véhiculé par la fraternité franc-maçonique et la culture d’Oloma-niama transposée au sommet de l’Etat. En clair, les anciens du PCT auxquels les jeunes peuvent se référer sont des contre modèles en termes de moralité et de pratiques en tous genres.

Mais l’ambivalence du discours de Sassou-Nguesso est particulièrement le message subliminal de son propos. L’héritage dont il parle est le leg à sa propre famille, élargie aux rejetons de ses dignitaires du régime. Pareil cynisme est sans précédent et sans égal dans notre pays. Il laisse désemparée une jeunesse qui croyait à la promesse qu’enfin il pouvait espérer. Mais entre l’espoir et la réalité, il y a l’ingratitude patriotique de ce régime.

3. Faire montre de beaucoup de courage, d’être entreprenants, de saisir toutes les opportunités d’emploi disponibles, d’éviter les raccourcis de la facilité et de l’impatience, de s’élever par l’effort.

Autant de coups de massue violents qu’un cerveau juvénile ne peut encaisser. Le traumatisme qui en découle, sans cellules psychologiques pour le soigner, reflète l’inconscience d’un homme incompétent jusqu’à l’os, insouciant du désastre qu’il crée volontairement. De qui se moque-t-on ?

Sassou-Nguesso est incapable de fournir la moindre statistique sur d’éventuels emplois qui seraient des opportunités à saisir. Il se contente d’un discours creux et lapidaire comme écran de fumée. Sa perfidie n’a pas de limite.

Les raccourcis de la facilité à éviter, auxquels il exhorte la jeunesse, témoigne du tarissement progressif de la source qui alimente la mendicité, résultat de la fragilisation et la vassalisation de la société. Il n’y a aucune rationalité dans son propos. Le préfinancement comme facilité budgétaire, voilà un raccourci à éviter.

L’impatience à éviter est une dose homéopathique de léthargie qu’il cherche à inoculer à la jeunesse. En réponse à ce charlatanisme d’un autre âge, nous demandons à la jeunesse de s’insurger par des actions de mobilisation continue jusqu’à la chute de ce régime anti républicain. C’est ce courage salutaire qu’il faut afficher, non celui de la résignation, distillé dans son discours lunaire. N’est-ce pas culotté de demander de la patience après plus de 40 ans de règne ? Le bon sens voudrait que ce soit Sassou-Nguesso qui ait l’impatience de partir.

Enfin, s’élever par l’effort est une injure faite à l’endroit d’une jeunesse abattue par des vaines promesses et livrée à elle-même. Sans structure d’accompagnement, sans accès au crédit, dépourvue de financement ni de bourse d’études, des cursus d’études tronqués à l’étranger à cause des bourses et des frais de scolarité impayés, de quel effort parle monsieur Sassou ? Lui qui incite les jeunes aux loisirs coûteux et sans intérêt, le point culminant de son divertissement au boulevard Alfred Raoul, a-t-il indiqué aux jeunes comment s’y prendre et les atouts à leur disposition ? Non, monsieur Sassou. L’élévation sociale est un cheminement à partir des infrastructures sociales de base. Dans un de ses interviews, il a avoué qu’il avait décidé de détruire tout le système éducatif qui avait atteint une performance de 100%. C’était les années 80. Revenu au pouvoir par coup d’Etat sanglant, conscient du désastre social de sa décision antérieure, il a institué le diversement abrutissant pour se défiler de sa responsabilité. L’irresponsabilité poussée à l’extrême l’amène à prononcer de telles inepties.

Nul doute que les Congolais apprécieraient l’effort du fils qui selon certaines sources nourrit des projets de parricide. Tel père, tel fils. Le milieu familial est sans conteste l’espace indiqué pour apprendre les agissements des anciens. Nous invitons son fils à s’armer de courage.

En définitive, monsieur Sassou est une calamité de l’espace Bantu qui vit dans un monde virtuel où ses fantasmes sont pris pour des réalités. À l’inverse de la responsabilité exigée aux jeunes, c’est l’irresponsabilité criarde de ce régime qui mérite d’être pointé du doigt. Ses partisans qui bercent ces temps-ci dans l’excuse du style “lui serait bon, mais ce sont des conseillers et ministres qui seraient incompétents” sont tout autant irresponsables et médiocres que lui.

Fait à Paris, le 22 août 2024

NE-MPHUMU Madisu-Ma-Bimangu

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LES MBOCHIS FACE À LA LOYAUTÉ RÉPUBLICAINE

Au Congo-Brazzaville, il y a bien longtemps que les fils du nord ont perdu la loyauté à la république. Autrement, le coup d’État d’octobre 1997 n’aurait jamais eu lieu. Car, en vérité, la déloyauté à la république est ce qui fait persister la situation chaotique, même au risque d’une
déflagration générale de l’Afrique centrale.

Cette assertion sonne comme un verdict qui siffle aux oreilles de certains compatriotes. Mais, on ne peut taire la vérité pour ménager la sensibilité des uns et des autres. Si l’on veut réveiller les consciences et éclairer l’opinion de nombreux compatriotes qui se demandent, pourquoi tant de médiocrité du personnel politique dans notre pays, et pourquoi observe-t-on une apparente inertie socio-politique malgré l’affaissement du pays, alors il faut bien crever les abcès à l’origine du désarroi congolais.

Tout d’abord, le désarroi général est le résultat de la psychologie qui considère le pays comme un butin de guerre, et découle de la gestion dite d’épicerie son corolaire. Le butin de guerre représente le gain personnel servant à assouvir les appétits matériels et ésotériques de l’égocentrique Sassou-Nguesso. Ses compagnons dans l’aventure militaire (les adeptes du pouvoir du nord) vivent le désenchantement. Ces acolytes ont en majorité été écartés. Sa
milice privée, les cobras, soldats et officiers, a été remplacée par la soldatesque de Tsambitso, et peut-être bientôt supplantée par les mercenaires du tutsi-power. Les civils récompensés au
début par des postes à divers niveaux, ont par la suite été écartés et certains ont tenté vainement de se convertir en opposants politiques à la place d’une dissidence non assumée au sein du PCT.

La gestion épicière est celle qui consiste à percevoir dans des comptes offshores privés toutes
les recettes financières du pays, tout en empruntant au nom du pays pour financer les budgets
et pour remplir les obligations salariales. Ce fonctionnement irrationnel, incluant la dilapidation des recettes fiscales, a provoqué la faillite du pays sur tous les plans. Le régime écume toutes les portes possibles et inimaginables pour espérer dénicher des créanciers naïfs pouvant lui venir en aide, en faisant miroiter le potentiel économique du pays comme garantie. Ce que le régime ignore, c’est que le monde financier de la planète est un petit
monde dans lequel les nouvelles circulent vite. À tel enseigne que ce régime a une mauvaise réputation et n’inspire aucune confiance dans les milieux financiers internationaux. Monsieur Sassou et ses allégeants se retrouvent dans l’impasse.

Pour une structure commerciale classique, la faillite entraîne la cessation d’activité ou le dépôt de bilan. Pour un pays, c’est une cessation de paiement d’où l’on ne peut sortir qu’en changeant de régime et de dirigeants pour repartir sur de nouvelles bases et régénérer la
confiance. Cependant, l’on constate que la situation bloque parce que le clan mbochi au pouvoir a érigé le système des comptes offshores en stratégie d’accaparement des ressources qu’aucune politique interne de lutte contre la corruption ne peut éradiquer. Étant donné que les détourneurs des fonds publics sont les parents directs du chef du régime. Sur le plan
culturel et anthropologique, la sociologie mbochi est une greffe coloniale au Congo qui peine à s’adapter à la culture Bantu. Le clan mbochi au pouvoir entretient par défi une psychologie du jusqu’au boutisme suicidaire congénitale, régie par la culture d’OLOMA-NIAMA. Ce
jusqu’au boutisme est motivé par la crainte de répondre aux crimes humains massifs perpétrés à l’égard du peuple autochtone d’où le pays tire son nom.
Par voie de conséquence, l’évolution du pays semble bloquée.
En effet, malgré les souffrances du peuple sur cette situation insupportable, l’armée qui sous d’autres cieux représente l’ultime recours d’une république responsable, au Congo, cette armée reste impassible, insensible au désarroi et à l’appel au secours patriotique du peuple.
Cette attitude impassible est structurelle du fait de la hiérarchie militaire composée exclusivement d’officiers redevables à Sassou-Nguesso, leur promoteur. Particulièrement, ces officiers, exclusivement issus du cercle familial ou clanique, sont des sujets endoctrinés et entraînés à la brutalité. Ce sont des avatars des anti-valeurs. Ils ont une conscience rabougrie
et un patriotisme en ruine. Cette hiérarchie militaire semble avoir prêté serment à un homme qui les conduit à la perdition, reléguant la république, en tant que bien commun, à l’insignifiance.
Du côté du peuple, les partisans du régime, longtemps dans l’apologie du pouvoir du nord par réflexe identitaire, montre les signes d’un désamour lié aux difficultés accrues et au péril collectif. Certains n’hésitent plus à ouvertement critiquer le régime dans ses agissements les
plus intimes, les plus secrets. Quant aux hommes politiques qui espéraient une rotation au sein du régime après la sale besogne de Sassou-Nguesso sur les Bakongos, la désillusion est sans égale suite au projet de succession dynastique et suite à l’incarcération de certains d’entre eux.

La désillusion est telle que l’inquiétude induite qui taraude les esprits de ces
partisans se résume en une hantise, l’avenir des mbochis.
Lorsque l’idéal républicain s’exprime haut et fort à Bacongo, le haut lieu de la résistance anticoloniale, le régime agite l’épouvantail du tribalisme pour souder les populations septentrionales du pays, et met en branle la force publique, endoctrinée et fanatisée, pour réprimer les populations par une violence inouïe.
Dans ce contexte socio-politique qui dénie l’État de droit et la liberté d’expression, le peuple
patriote est dans la résistance passive. Les acteurs historiques du retour à l’espace républicain
observent que les partisans déçus de ce régime hyper répressif déclenchent l’insurrection populaire. Par expérience, soit dit en passant, que lorsque les opposants initient les manifestations, le régime crie au tribalisme pour cliver le pays. Par conséquent, les nordistes sont soumis à l’épreuve de la loyauté républicaine, où ils doivent montrer leur capacité à privilégier la république en ramenant au centre l’intérêt supérieur du pays.
Après plus de 50 ans de règne nordiste, à l’instar de l’intelligence de l’oiseau qui s’arrête à la construction du nid, l’excellence mbochi se décline à travers une avalanche de méfaits qui suscitent des prétentions débordantes dans le microcosme politique congolais. Citons :
1. Une faillite généralisée ayant entraîné le pays en cessation de paiement. Malgré que le
Congo dispose des revenus pétroliers et miniers qui dépassent les besoins économiques
nationaux de base (ceux liés à l’amélioration des conditions de vie essentielles), le régime a réussi l’exploit d’endetter le pays, même après avoir bénéficié de l’initiative PPTE qui a effacé une grande partie de la dette antérieure.
2. Une insécurité généralisée par la création de la terreur dite des bébés noirs par le régime pour gouverner le pays par la peur, dans la pure tradition du syndrome de Stockholm où les victimes s’attachent à leurs bourreaux.
3. Un dépaysement généralisé de toutes les sociologies du pays soumises à une domination d’expatriés d’autres nationalités qui envahissent nos terroirs et les milieux d’affaires. Les campagnes devenues désertes et peu sûrs rendent impossible les activités agricoles et agropastorales.
4. Des détournements des fonds publics et des ressources généralisés restent impunis, à cause de la parenté ou des affinités qui, d’une part diluent l’orthodoxie et s’immunisent contre l’hétérodoxie ; d’autre part, des affinités qui absolvent la responsabilité en agitant le chiffon rouge du tribalisme exploitant l’inexemplarité pénale des cas similaires.

5. Un endettement systématique pour payer les salaires et les retraites au point où plus aucun créancier sérieux n’ose investir sur le pays. L’ultime possibilité d’endettement du régime porte sur l’émission de Bonds du Trésor. Mais ce serait une gageure pour qui oserait miser sur un État en faillite, inefficace dans la collecte des recettes fiscales, et entretenant des comptes offshores privés enfermant les ressources de l’État.

6. Une armée de proches parents incapable d’appréhender l’enjeu républicain et panafricain, sacralisant la personnification du pouvoir de l’État, et oubliant sciemment que l’ambition personnelle de Sassou-Nguesso n’est pas la leur.
7. Une corruption généralisée faisant la part belle aux étrangers en leur livrant tous les secteurs d’activités économiques, et des recettes fiscales ponctionnées à chaque échelon administratif.

8. Une éducation de la jeunesse en ruine infrastructurelle et pédagogique.
Voilà l’échantillon tangible montrant le côté irrationnel du régime plusieurs fois démontré : coup d’État irrationnel, massacres dans le pool irrationnel, multiplication des départements irrationnelle, projets d’investissement irrationnel, gestion du pays (dette et détournements)
irrationnel, etc. Sassou-Nguesso et son régime agissent en pirates qui détruisent le pays et le laissent en lambeaux. Sa psychologie du butin de guerre est un accélérateur de l’affaissement du pays,
tandis que la déloyauté à la république de la sociologie mbochi est un ralentisseur de la chute du régime. Parce que lorsqu’on critique ce renégat, sous quelle que forme que ce soit, la sociologie mbochi, en garde prétorienne, s’arcboute au nom du “pouvoir du nord”. Dans ce contexte, toute divergence politique est instrumentalisée et change de forme. Cependant, en subissant cette situation inexplicable autre que par l’ingérence française qui a
réinstallé Sassou-Nguesso au pouvoir au prix des dizaines de milliers de morts, par-delà cette situation c’est une remise en cause fondamentale de la société Bantu que les autochtones doivent opérer. Car, en tout état de cause, les patriotes doivent triompher de ce complot contre la civilisation Bantu et aussi poser les fondements inviolables de cette société. Considérant que c’est une seule et même dynamique anti-citoyenne qui vassalise le pays à
partir d’une vision géographique, à laquelle l’opposition résiste de manière dispersée sous prétexte de la diversité idéologique, le devoir est de créer une unité dans la lutte. Si possible, tout mettre en œuvre pour inviter les forces armées du pays à rejoindre la dynamique patriotique pour mettre hors d’état de nuire ce régime, afin d’abréger du même coup les
souffrances du peuple congolais.

La dynamique anti-citoyenne qui gouverne le Congo, encore appelé le nordisme, a été construit autour de trois verrous ou défis anti-républicains :
1. Le monolithisme géopolitique. C’est une escroquerie politique conçue sur la base de la déstabilisation de la sociologie Bantu. Ce monolithisme s’est exprimé avec force au sortir de la Conférence Nationale Souveraine de 1992 et a abouti au coup d’État d’octobre 1997.
Quel est le prix à payer pour le Congo pour faire sauter ce verrou géopolitique ?

Est-ce que Sassou-Nguesso est un élément isolé de la géopolitique française ou existe-il des clones pour lui succéder ? C’est le challenge qu’embrassent les patriotes pour sauver le pays.

2. La géoéconomique politique. C’est une culture de l’accaparement et du pillage systématiques des richesses qui se résume en une logique : “se servir et satisfaire soi avant tout”. Cette culture transposée au sommet de l’État a été conçue pour empêcher les Bantu de se développer. C’est une réalité historique tangible de la longue et ostensible épopéedu PCT. C’est une volonté d’écraser le mérite individuel et l’effort collectif qui affaisse le pays. L’analyse méthodique de l’émergence de la dette du Congo le prouve :

personnalisation et extra territorialisation des comptes de l’État, puis emprunt pour payer les salaires ou construire les infrastructures. C’est un cocktail explosif qui aboutit à la cessation de paiement.
3. La stratégie des caisses vides. La crise financière permanente en asséchant les caisses de l’État et le Trésor public, est une stratégie de dissuasion et de préservation du pouvoir. L’argent du pays est thésaurisé dans les résidences des dignitaires du régime.

4. La violence politique. L’hyper violence est une méthode d’anéantissement d’une société. Au Congo, cette méthode a connu plusieurs épisodes. Elle a commencé avec la radicalisation qui a purgé l’armée des cadres militaires Kongo et purgé la haute administration des cadres du Sud. Elle finit avec le génocide à Brazzaville et dans le Pool conçu selon le plan MOUÉBARA.
La déloyauté mbochi ne se limite pas qu’à l’anti-citoyenneté. Elle s’affirme foncièrement en une animosité anti-kongo. D’aucuns pensent que la raison de succession dynastique seule motive les accords avec le Rwanda, à partir de leur aspect Défense. C’est tout le contraire.

C’est plutôt l’intention préméditée de rendre apatride les Bakongo qui anime Sassou-Nguesso et sa famille, en essayant de céder aux rwandais les terres du sud du Congo. La déloyauté mbochi est une dynamique anti-républicaine qui a atteint ses limites. Le peuple congolais est saturé de ses méfaits et contre-sens politiques. Petites causes, grands effets. Les congolais s’émancipent progressivement de l’escroquerie révolutionnaire du PCT et de la
théorie dépravée du nordisme incarnée par l’irréductible Sassou-Nguesso. L’heure est à la liberté pour tous, la dignité pour tous et la justice pour tous. On ne triomphe jamais contre le
peuple. Pour les impérialistes, un bon Président chez les nègres est un traitre pour son pays. Sassou- Nguesso a été choisi par la France parce qu’il est un traitre pour le Congo, ainsi il est un trèsbon nègre. S’il existait un soupçon de traitrise ou de perméabilité antipatriotique chez les kongo, les occidentaux qui se muent en terroristes pour déstabiliser l’Afrique, auraient armé
les Bakongos pour perturber les régimes criminels tels celui de Sassou-Nguesso. À l’évidence, ce n’est pas le cas dans l’espace Kongo régi par le KIMUNTU. Raison pour laquelle des régimes
toxiques comme celui de Sassou-Nguesso ont la longevité dure. Les hommes et les femmes
qui le composent substituent le culte de la personnalité et l’allégeance à la place du
patriotisme et de la rationalité. Il leurs est difficile de comprendre la nécessité de ramener le
balancier républicain à son point de stabilité sociétale et souveraine. Il n’y a que les idiots qui
ne changent pas.

Fait à Paris, le 15 août 2024.
NE-MPHUMU Madisu-Ma-Bimangu
[email protected]

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LETTRE A LA JEUNESSE CONGOLAISE

 

Très chère jeunesse

 » Si jeunesse savait vieillesse pouvait « aime dire le vieux sage Korobo Matsouaniste.

Bien qu’il n’existe pas de définition officielle et standardisée de la jeunesse, la plupart des travaux scientifiques ainsi que l’Organisation des Nations Unies (ONU) s’accordent à définir les jeunes , comme des personnes âgées de 15 à 24 ans , malheureusement au Congo, on peu rester jeune jusqu’à 81 ans, cela dépend du pouvoir et de la puissance que vous détenez vis à vis du peuple.

Mais moi je veux m’adresser à vous jeunes de 15 à 25 ans.

En effet, je me permet d’interpeller la jeunesse congolaise parce que celui qui ne sait pas est un imbécile et celui qui sait qui ne dit rien est un criminel.

SASSOU-NGUESSO dans son allocution du 15 Août 2024 démontre qu’il est le porte malheur de la jeunesse congolaise au lieu d’en être le porte bonheur en utilisant un procédé bien connu en psychologie sociale sous le nom de « double bind » un énoncé à rendre fou le récepteur autrement dit la jeunesse comme si elle était le problème c’est injuste et, surtout faux la vérité est que c’est lui le problème même pas son entourage comme vous jeune vous aimez dire

pour masquer le virus qui vous ronge j‘ai nommé l’impuissance d’agir, le philosophe Hegel à écrit des belles pages sur la manière dont la guerre régénère la cité( de maniéré imagée la confrontation produit la lumière et le progrès et le statut quo ,le manque de renouvellement de la classe politique conduit à l’appauvrissement à l’ asséchement de la pensée , de la créativité et donc du pays.

La jeunesse est donc victime d’une classe politique qui s’ arcqueboute au pouvoir alors que, vous , jeunesse avez des intelligences en votre sein pour apporter une solution alternative ) en confortant chacun de ses membres à sa finitude et à celle du tout.

L’inversion des responsabilités par monsieur SASSOU-NGUESSO, et ses aficionados après avoir mis son genou sur votre cou pour qu’il devienne le saint père à vos yeux et, que vous l’ implorez à jamais , en jetant l’opprobre à son entourage , quand la conscience d’être à un grand tournant de l’histoire vous échappe parce que atteint par le virus de l’impuissance.

Chers jeunes

Permettez  que je vous dise je suis assez vieux pour me rappeler du discours du commandant Marien Ngouabi

« Lorsque ton pays est sale et manque de paix durable, tu ne peux lui rendre sa propreté et son unité qu’en le

lavant avec ton sang » Marien Ngouabi, 13 mars 1977 : dernier discours à la place de l’hôtel de ville de Brazzaville. Nos gouvernants consentent à la catastrophe non pas par impuissance mais par le vol. Nos dirigeants peuvent faire des bonnes choses, ils ne le font pas c’est la volonté qui leur manque pas les moyens.

Cher jeunesse née des ruines l’UJSC arrête de prendre la place de Dieu.

Tu a affaire à une personne qui à tout détruit et qui veut remodeler le Congo à sa guise.

Sa civilisation est mise en scène par SONY LABOU TANSY dans son roman la vie et demie.

Il est temps d’arrêter d’être des losers, victimes , d’invoquer des apories philosophiques, de ne parler de rien , sachiez que c’est la révolution ou l’effacement .

 Il vaut mieux  un palais que l’on construit sois -même que la cendre.

jeunesse réveillez -vous !

Armand Mandziono Butélézi Bustindi bua Vindumuna ba Ngungu wa Kala Mukenda Nkukirika

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LE COUP DE GÉNIE DE SASSOU- NGUESSO

L’INCROYABLE STRATÉGIE DE SASSOU- NGUESSO POUR SORTIR NTUMI DU POOL.

D’aucuns n’y croiront pas, c’est inimaginable mais pourtant c’est vrai et c’est la réalité.

SASSOU NGUESSO à réussi de débarrasser le pool de de cet épine ,ce caillou logé au fond des souliers des ressortissants de cette région qui occasionnait une grande gène.

Dorénavant Les populations du pool ne peuvent plus se plaindre de la présence de Ntumi, dans leur région cet homme qui a fait perdre l ‘équilibre à toute une région .

Il était devenu très encombrant et imprévisible car la majorité des ressortissants de cette contrée partant de l’intérieur jusqu’à sa diaspora ,ne voulaient plus entendre parler de lui parce que incarnant le mal.

Au regard de ceci une question reste en suspens .

Que deviendrait l’opération Kimia inventée depuis une vingtaine d’années pour sécuriser et maintenir la paix dans cette région  alors , que le trublion s’est déplacé entraînant avec lui son lot de tracasseries vers un nouvel eldorado taillé sur mesure comme disait en son temps le président Bernard KOLELA makaku ma sobélé sangui autrement dit le singe a changé d’arbre.

D ‘aucun dirait que le présidents sassou à répondu aux doléances des poolistes , qui exigeait la sortie de Ntumi, de la région du pool pour entrevoir des lendemains beaucoup plus éclairés.

En réalité plus qu’une mutation administrative la bande à NTUMI ,demeurera un noued gordien pour la circulation des populations non seulement pour l’axe sud , mais en plus pour l’axe nord , puisque la nouvelle région du Djoué- Nkéni est traversée aussi par la route du nord , puisque elle s’étend jusqu’à Djiri , Ngabé et Mbé.

Comment peut on encore juger cette innovation du chef de l’état qui , par cet acte étend le pouvoir de contrôle des NSILOULOU ,en augmentant leurs droits de contrôle pour l’accès à la région de Brazzaville .

SASSOU-NGUESSO ,aurait- il peur d’une rébellion venant du nord du pays ou voudrait- il augmenter la surface cultivable revenant au pasteur NTUMI, cet opérateur agricole dont les produits ne sont percevables dans aucun des marchés de la place à moins qu’on nous dise, qu’il serait le principal producteur des supers marchés, se trouvant en occident .

En dépit de ses projets agricoles qui n’alimentent ni relèvent le défi alimentaire, mais pouvant être une alternative pour palier aux carences nutritionnelle au pool . .

Quand on veut , on peut , et quand on peut , on doit dit la maxime selon le vieux sage Korobo Matsouaniste ,mais hélas cela n’est pas le cas, les populations du pool n’ont jamais profité des bonnes intentions de Ntumi hormis son syncrétisme .

En effet , la subtilité du découpage du pool n’est autre qu ‘une réponse très réfléchie que SASSOU-NGUESSO ,apporte aux plaintes répétées des innocentes populations du pool.

Administrativement Ntumi ne dépend plus de Kinkala et du pool, il dépend maintenant d’ODZIBA chef lieu de Doué -Nkéni, à l’instar de toutes ces localités

KIMBA,VINZDAS MAYA-MAYAMA, DISTRICT PANGALA DJIRI NGABE ,IGNIE a lui tout seul il devient le ceinturon contre la prise de la citadelle de Brazzaville au point de se demander au point  s’il servirait à contrer l’invasion Rwandaise ou y apporter main forte puisque Maluku n’est pas très loin , de là,  a dire que Ntumi est un  don pour le règne de SASSOU -NGUESSO , il n’ y a que quelques entourloupe à faire.

Cette mutation administrative relaverait- elle du bon sens ou au contraire ce serait un aménagement apporté à un frère dont la présence dans le pool  commençait à devenir injustifiable et pesante, sans oublier que nous sommes à l’approche des échéances électorales présidentielles de 2026, qui pourraient ouvrir des sièges de députation au CNR , qui avec cette situation aurait tout un fief pour lui-même.

Autre chose il faut souligner que le CNR est un parti quasiment THÉOCRATIQUE qui pourrait considèré cette nouvelle dotation géographique comme sa nouvelle jerusalam dans laquelle il se considérerait comme un AYATOLLAH .par ricochet cette nouvelle donne devrait permettre à la région d’entrevoir avec beaucoup plus d’esperance et de sérénité sa libération à travers le processus de la conférence pour la consolidation de la paix et pour le développement du pool , qui a longtemps buté du fait de ces interférences et de ces incertitudes liées à cette bande de terre, qui était encore contrôlée par ses miliciens , qui n’ont toujours pas été démobilisé pour une vraie réinsertion dans la société .

Dans tout  les cas tant que SASSOU -NGUESSO et Ntumi seront là il faudrait s’attendre à toutes éventualités catastrophiques espérons que le temps puisse nous contredire …

Armand Mandziono Butélézi Buntsidi bua Butsiéléka wa vindumuna ba Ngungu wa Kala mu kuenda Nkukirika

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LA LOI DE CLOCHE ET LA TRANSMISSION DU POUVOIR AU CONGO.

Faute d’une véritable opposition le phénomène naturel de renouvellement de générations à des risques d’induire une transmission du pouvoir de père en fils

Autrement dit la loi mathématique de cloche est une loi normale , de probabilité absolument continue ,qui dépend de deux paramètre : son espérance , et son éternité .

De quoi s’agit il en réalité ?

Il s’agit de la léthargie, la nonchalance , la désinvolture ,le déficit de dynamisme dont fait preuve l’opposition , qui refuse d’assumer ses responsabilités, mais préfére jouer un rôle d’accompagnateur au détriment du bien être du peuple.

Alors ,qu’on sait pertinemment comme le dirait le mathématicien émérite Alain Kounzilat, pour stopper l’évolution de la logarithmique de la courbe de gausse il faudrait la sectionner à son point culminant ; autrement dit c’ est maintenant que le roi soleil devrait être déposé comme Bourguiba à Monastir par Ben -ALI.

Avant que les Rwandais ne viennent soutenir Mwana Ndeya KIKI Angwalima .

Pour prendre conscience de ses propos l’opposition congolaise et le peuple dans son ensemble doivent faire fi du théâtre de la diaspora dite militante;

Cette cinquième roue de carrosse ,et anticiper les événements ,avant que le ciel ne nous tombe dessus .

  A quand l’opposition passera -t -elle en offensive, au lieu de rester éternellement sur la défensive ?

Tout semble montrer que  ne sommes une équipe acculée à la défensive et incapable de marquer le moindre but.

A quand sortira t on de ce statut quo?

Il est temps de changer de fusil d’épaule pour ne pas voir d’autres scénarios nous tomber sur la tête comme une chape de plomb.

Armand Mandziono Butélézi Bua Butséiléka wa vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika.

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QUAND LE THÉÂTRE DE LA DIASPORA MILITANTE SE RETROUVE DANS L’IMPASSE.

Avec le temps tout finit par se savoir: les mensonges les plus cachés , les raisons les plus évidentes et les gens les plus faux et les personnages les plus farfelues;

La vérité ,est la vérité !

La vérité triomphe toujours; quand elle  crève les yeux, certaines personnes préfèrent devenir aveugles.

La vérité lorsqu’elle s’est amassée sous terre ,elle finit par vous exploser au visage dixit le vieux sage Koro Matsouaniste.

La rhétorique policée des jeunes profito- situationistes consiste à ne plus dire : SASSOU -NGUESSO est un criminel mais c’est plutôt son entourage qui est mauvais.

Il s’agit donc de dédouaner l’homme et de pointer du doigt son entourage .

Par un sacré miracle, l’homme se trouverait être blanchi .

Ces appels de pieds ne font point l’ombre d’un doute, il s’agit de chanter la Cantique en hommage à ce personnage calamiteux et s’attirer les grâces de ce grand hôte pour être conviés sur sa table.

On n’apprend pas les grimaces à un vieux singe ; on a tout compris !

Pour pousser le ridicule plus loin ils disent,Ntumi est un mal nécessaire pour le pool!

Nous ne le livrerons pas !

Diantre ! mais, c’est quoi cette comédie même si il n ’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis mais pas jusqu’à ce point !

Où va-t-on ?

C’est quoi cette tambouille ?

De qui se moque-t-on ?

Et comme ça,  vous voulez qu’on vous regarde mon œil !

Ne prenez pas la vessie pour de la lanterne !

. Dans l’objectif d’éclairer tous ceux qui pensent que le salut du Congo viendra des charlatans politiques de cette diaspora dite militante, je me permets de tout déballer et tant pis pour ceux qui se feront éclabousser.

Ces oiseaux de mauvais plumage qui  inondent le ciel de la diaspora .

Pour ceux qui ne  croiront pas à mes propos, au moins j‘aurai prévenu celui ou celle qui se nourrissent  d’espoir que le salut du Congo viendra de la diaspora militante .

Aussi longtemps que ces personnages fantaisistes et biscornues nous  feront de l’ombre,  la résistance aura du plomb dans l’aile.

Il est donc temps  d’exhumer tous ces noms et de les exposer à la vindicte populaire.

Tout commence avec l’héritage que revendique Antoine Page Kihoulou des Assises de Rouen en 2005 où apparut pour la première fois l’énigmatique pasteur Dominique Nkounkou.

De cet héritage naîtra l’assemblée

constitutive à Sevran -Livry pour des nouvelles assises.

  Mapingou ,Benjamin Toungamani, Alexis Miayoukou et Ciceron Massamba,Willy Ognami… après avoir échappé de l’emprise de leur ancien  gourou Bedel SOUSSA prirent chacun leur chemin .

Nombre allèrent trouver consolation dans la nouvelle citadelle d’Antoine Page Kihoulou. Mais ,par l’ingratitude du caïman ces boat- peoples vont laisser tomber Antoine Kihoulou l’initiateur du rassemblement qui ne figurera même pas dans le bureau.

Comble de Malheur!

Et, Magloire Ndomba ,en errance politique depuis son exil de la suède,par l’odeur alléchée fera son entrée de façon frénétique comme pour se venger d’un passé calamiteux auprès de Pascal Lissouba!

On comprend alors le cocktail de personnes qui composérent les assises dans ces toutes premières heures : des carriéristes  d’une part ,des opportunistes de l’autre ;et des profito situationnistes vont donc camper dans leurs positions à l’heure de l’ouverture des Assises au grand nombre ;  qui demandait à composer avec les nouveaux venus, entre autre Noël Mabiala ,Bruno mouëlé… ces derniers  connaîtront une fin de non recevoir face à des caciques capricieux et obsédés par le pouvoir  qui finiront par transposer dans l’arène des assises les affrontements tribaux et communautaires avec l’apparition d’une tri-polarité un pôle Nibolek autour de Magloire Ndomba ,notamment  Simon Moussounda, un pôle nordiste autour de jean Luc Maléckat et un  pôle des originaires du pool avec les dépositaires comme Toungamani et Alexis Miayoukou.

De cette bataille stérile et vulgaire parfois transformée en amphithéâtre universitaire ,naîtra le péril des Assises!

Mapingou alors en disgrâce politique après tant des casseroles et d’accusations des procès dont il fut l’objet sur ses supposés accointances avec le régime de Brazzaville via Antoinette sassou nguesso, trouva donc dans la vulnérabilité des Assises ,l’occasion de rebondir et de se faire une petite place au soleil.

Dans la cosmogonie faite par Marc Mapingou dans les rangs des Assises figurait donc une pléiade des jeunes troubadours tel que  Faye Monama et consort.

Le point fort de Marc Mapingou ,c’est qu’il disposait des moyens financiers obscurs pour entretenir ce petit monde qui connaissait parfois des fins de mois difficiles .

Leur zélé poussé au paroxysme les conduira au fanatisme au point  de vouloir ensevelir  Marc Mapingou avec le drapeau national.

Ce qui est une offense à la nation , apostasie !

Quels sont les services qu’a rendus Mapingou à la nation, Faye MONAMA le célèbre porteur d’eau de Mapingou peut-il répondre ?

Peut il également répondre aux ressources disproportionnées dont disposait  Marc Mapingou,à savoir  domicile à Neuilly d’une part et villa luxuriante digne d’un prince à pointe-noire !

Alors, que ce dernier n’avait jamais occupé une activité salariale en France ,ne disposait ni d’ agro industrie.

On comprend dés lors que faye Monama joue en eau trouble depuis fort longtemps  comme excellait à le faire son mentor Marc Mapingou.

A moins que Francis MOUKETO ne vienne nous dire le contraire.

L’ échec de la diaspora à se réunir a vu se multiplier les dissidences dont la plus célèbre à été le congrès des congolais de France après que les assises aient  boycotté celui de Mbiki de Nanitélamio à Géneve dont toute l’articulation se fera autour des indignés du 242 avec l’apparition du jeune et naïf Roland Nitou que de l’énergie perdue.

Les intolérants peuvent  penser ce qu’ils veulent mais le vin est tiré, il faut le boire ; car la vérité c’est celle-là.

Pauvre MAWAWA KIESSE ,  il s’ést retrouvé avec une patate chaude !

Bonne lecture Armand Mandziono Butélézi Butsindi bua Butsiéléka bua vindumuna ba Ngungu a kala mu kuenda Nkukirika.

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