BRIS DE VERRES SUR LA BAIE DE TORONTO : LA GLISSADE DE BERNARD PONGUI.

QUAND LE MENSONGE DE BERNARD PONGUI REVELE DES SITUATIONS UBUESQUES.

Depuis un certain temps une fatwa médiatique est lancée contre le Christian MALLARD  de la diaspora combattante par ses pairs, inutile de s’attarder sur le côté excessif de cet analyste politique, résident en AMERIQUE du Nord  , précisément à Toronto qui navigue dans le combat politique désordonné de cette diaspora contre les crimes et la mauvaise gestion de la cité au Congo.

Bernard PONGUI a été  traité de menteur fieffé par les activistes de Paris et certains représentants de L’UPADS aile France comme dirait le ministre OUABARI Joseph.

En écoutant et réécoutant , avec attention,  l’émission qui lui a été consacrée sur la chaine Ziana TV , le number one de l’info de la diaspora Africaine en France , l’on peut dire que celui qui croyait prendre est pris , le mensonge n’est que l’autre face  cachée  de la vérité.

L’envie criarde de la diaspora de Paris pour ’en finir avec celui qui bouscule partout ,  par ses infos a fait de telle sorte que , la révélation extraordinaire de son mensonge que l’on peut comprendre passe totalement inaperçue et laisse pantois.

Certes,  la baie vitrée à été embrumée, mais que dire sur la révélation la plus importante,  que ce  mensonge nous a apporté,  à propos de cet honorable député de KIBANGOU fils du NIARI, membre de l’UPADS,  résident en France , exerçant en tant que  médecin cancérologue, stomatologue, urgentiste dans les hôpitaux de France ?

Chers compatriotes.

Le fond de la révélation de Bernard PONGUI reste très clair, même -ci quelques détails lui ont échappé, faites votre différence entre le lanceur d’alerte et les francs-tireurs mal intentionnés, qui passent outre les mauvaises pratiques héritées du PCT qui se répercutent mêmes chez les opposants .

Songeons, plutôt à la reconstruction de notre pays , Bernard POUNGUI n’est pas  l’ennemi du peuple congolais il a droit à l »erreur , car dans cette lutte, on à besoin des gens de cet envergure pour triompher.

Armand MANDZIONO ,Nzoïste.

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L’OUVERTURE DES ASSISES DU PCT OU LE BAL MASQUE DES HYPOCRITES.

Cet évènement est la manifestation de l’esprit satanique de ceux qui accompagnent les forces du mal dans leurs œuvres destructives du Congo avec des effets de déflagration sur le restant des pays d’Afrique (changement de constitution, arrestations des opposants, coupure des réseaux sociaux.. .), qui doivent coute que coute être anéantis.

Conformément au modus operandi de ce qui précède , le bal masqué des hypocrites s’inscrit bien dans la logique de destruction de ce qui a été l’œuvre du camarade Marien NGOUABI pour la construction et l’édification d’un Etat socialiste moderne en Afrique , dont le leitmotiv était d’accentuer la productivité du travail, le respect du bien public, le développement  du sens de l’épargne ainsi que  celui de la conscience des masses comme le reprenait le Camarade Denis SASSOU-NGUESS0 dans son discours d’investiture en Avril 1979 .

En prenant solennellement cette posture de digne et fidel continuateur de l’œuvre du Camarade Marien NGOUABI ,  il engageait la révolution dans un nouvel élan pour renouer la communion avec le peuple congolais après deux années d’un climat terreur installé par le Comité Militaire du Parti (CMP) dont il était réellement le véritable et seul artisan .

Cette roublerie  du pompier pyromane qui n’avait pour but que de disqualifier tous ses concurrents potentiels  à commencer par son frére ,  le Général YHombi-  OPANGO ,  qu’il diabolisa comme étant l’homme qui avait dilapidé tous les fonds du trésor public au point de lui consacrer une chanson qui restera gravée dans la mémoire des congolais d’une certaine génération (… YHOMBI a tout volé , on le mettra au poteau , le con de sa maman , Congo oh ô oh…).

Mais hélas , au file du temps  toutes ses envolées lyriques accompagnées par des foules populaires en liesse et aveuglées par les promesses du boom pétrolier de 1982 dont on connaît le conséquences qui curieusement ressemblent à la situation actuelle  , n’étaient que de la poudre aux yeux du peuple pour bien masquer son véritable rôle de valet local de l’impérialisme français afin d’assouvir son ambition de faire main basse sur les richesses du Congo comme un mauvais cultivateur qui accuse les adventices pour justifier sa mauvaise récolte.

Pour mieux comprendre ce mécanisme d’envoutement ,il faut procéder à une rétrospective des faits.
Dès la mort de Ngouabi, un Comité Militaire du Parti est institué. Le 19 mars, la nouvelle junte désigne le Capitaine Barthélemy KIkADIDI  comme le chef du commando qui a assassinat Ngouabi.

A la suite de cela  , une commission d’enquête est mise en place ainsi qu’une cour martiale qui de façon expéditive condamnera à mort le Président Massamba – Débat dont la dépouille n’a toujours pas été présentée aux peuples congolais pour un dernier hommage ,  faisant de lui un disparu plutôt qu’un mort à l’image des 353 disparus du Beach.

S’en suivront  les exécutions sommaires de plusieurs membres de la garde présidentielle et bien d’autres civils considérés comme témoins gênants .

Cette semaine rouge emportera aussi un autre illustre homme,  en la personne du Cardinal Emile BIAYENDA toujours dans des conditions obscures , en procédant à certains rituels .

Pendant les obsèques de Marien NGOUABI qui avait eu lieu le 2 Avril suivant, sous la supervision du Commandant SASSOU – NGUESSO , l’homme qui en réalité était déjà aux commandes du pays, une oraison funèbre fleuve fut prononcée par celui-ci , pendant laquelle il versa des larmes de crocodile comme signe avant –coureur de ses talents de prestidigitateur.

Quelques temps après ,  la dépouille sera inhumée dans l’enceinte même de l’Etat- Major où sera érigée quelques mois plus tard un mausolée ainsi qu’une statue de bronze en face de celui-ci , fruits de la reconnaissance du régime frére de l’Angola.

Ces successeurs ,  YHombi – OPANGO puis SASSOU-NGUESSO
institueront un culte national à sa mémoire et à son œuvre, à l’image de celui de Lénine en URSS ou de Mao en Chine. Ils proclament tenir leur légitimité de lui et s’inscrivent dans la continuité de son action.

L’Université de Brazzaville sera rebaptisée à sa mémoire le 28 Juillet 1977.
En janvier 1978, la cour révolutionnaire ouvre le procès de 42 personnes accusées de complicité dans cette affaire Marien NGOUABI , 10 d’entre elles seront condamnées à mort et exécutées (sommairement au petit matin aux environs du cimetière d’ITATOLO) le 7 février suivant .
A l’issue  de ce procès expéditif ,le Capitaine Barthelemy KiKADIDI , en fuite depuis le 18 mars 1977, et condamné à mort par contumace pour avoir dirigé le commando ayant attenté à la vie de Ngouabi, est abattu par les éléments de la Sécurité d’Etat du Général NGOUELENDELE Emmanuel à l’époque commandant , le 13 février 1978.

À une date non déterminée, la dépouille du défunt Président NGOUABI  va être  exhumée nuitamment et de manière clandestine pour être re -inhumée à Owando, sans que cela ne soit  officiellement reconnu jusqu’à ce jour,faisant du coup de leur rituel du 18 Mars une simple opération de charme digne de la comédie qui a toujours caractérisé  ce régime, à l’image de ce congrès du cinquantenaire.

Sans changer d’un iota , ce modus operandi permet au tyran SASSOU –NGUESSO , de prendre en otage par malice et par la ruse, les nouveaux acteurs des forces du mal au Congo en leur  faisant miroiter un avenir toujours meilleur et radieux, alors qu’en réalité ,  il leurs demande de l’accompagner dans ses derniers moments de vie, tel un aide –soignant dans un centre de fin de vie.

En contrepartie , il est miroité des perdiems mirobolants aux participants à ce bal de faux- culs afin d’ opérer aisément son ambition de toujours imposer   sa volonté.

Quant aux congressistes, ces anti-peuples, cupides, avides d’argent ,criminels et tous hilares,  ne pensent qu’à remplir leurs panses .

Certains d’entre- eux sont des rapaces venant d’Europe , un   grand nombre  majoritairement de Paris,   pour donner une connotation inclusive à ce rassemblement d’hypocrites.

Cette assemblée donne l’image d’un panorama curieusement composé d’ hommes et de femmes bien constitués au grand corps mais en réalité au cerveau de moineau qui font injure à la misère du peuple .

A quoi servira donc ce festin dont l’ordre du jour d’après certaines indiscrétions est de prêcher la vertu en se gardant de l’appliquer , car ce qui compte pour eux , c’est l’ appât du gain et la conservation de leur confort matériel ad vitam aeternam.

Que le bal commence , bande d’hypocrites !

Bonne fête de fin d’année .

Armand MANDZIONO Nzoïste.

 

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QUEL RÔLE POUR LES INTELLECTUELS CONGOLAIS: SONT-ILS PRESENTS OU ABSENTS?

 


Qui est intellectuel ?

Comment mesure -t- on le degré d’intellectualisme au Congo?

Ces questions demeurent un postulat, y  repondre  serait le début  d’une bonne analyse.

Dans tous les pays,  les intellectuels sont et demeurent  à la base des  mouvements  pour le changement ou  des projections sur  l’avenir.

Pourqoui alors, l’attitude des  congolais  qualifiés  d’intellectuels laissent  penser  à une sorte de   formatage  de l ‘esprit , donnant l’impression  de  ne rien faire  pour améliorer la condition de l’humain et de son environnement, surtout laissent  planer le doute sur leur réelle  implication  dans la grande  marche  de l’histoire du Congo,  en restant pendant longtemps à la remorque des politiciens , quand on sait à tort ou à raison ,qu’  ils étaient pris pour des éminences grises .

Très ou trop  souvent, ce   pendant  de longues années on a cru qu’il existait   une   bonne corrélation entre la possession d’un diplôme dans un domaine donné et la maîtrise du savoir y relatif, or  tout ceci ne  rime pas avec  la réalité que nous a éprouvé le temps  pour l’intéressé congolais , au point de penser pour une certaine frange de la population , que le Congo serait sous le joug d’une malédiction , surtout pour avoir connu  à la tête du pays une variété de catégories socio-professionnelles  depuis l’avènement de la souveraineté nationale  en  1960 .

On peut citer par ordre chronologique  : un Prélat en  1960 ; un Instituteur   en 1963 ;  un militaire révolutionnaire à l’image de Fidel CASTRO en 1968 , un Colonel devenu le premier General du pays en 1977 ayant une réputation de rigoureux  tout en étant  qu’un collectionneur de bibelots ; un  autre Colonel devenu lui aussi Général par la suite arrivé comme  redresseur de tort en 1979  et qui s’est avéré en définitive être un briseur de rêve de puis son retour en 1997 ; enfin en 1992  de la maniérer la plus noble un Professeur d’université qui sombrera comme le Titanic.  

Dans le même ordre d’idée, on ne peut pas oublier la prestation d’un homme à la tête du pays ,  qui pourtant n’ayant pas  un niveau d’étude supérieure initia les bases véritables  d’un développement qui aurait pu être promoteur pour ce pays. D’ailleurs , le respect qu’il suscite encore  est sans limite pour tous les fils du pays.

Quand dans un pays ,  l’intellectuel n’aborde pas les questions cruciales , il n’est pas étonnant que la question régionale définisse même la notion d’intellectuel  , car  au Congo, on observe un tropisme  vers des reflexes régionaux .

Quand ils sont dans une impasse,  face à une situation, ils prétextent  l’obéissance  et le  respect des   traditions  pour mieux camoufler leur incapacité ,d’où l’essor du tribalisme sur lequel reposent  tous les subterfuges pour  la conservation du pouvoir , donc la primauté de la  région sur la nation .

Le tribalisme qu’on nous rabâche depuis  plus d’une cinquantaine d’années , comme un fléau qu’il faut  éradiquer,  est  vraisemblablement   un grand facteur du sous-développement car,  une tribu ne peut à elle seule  construire un pays, d’autant plus que  le cas du Congo est légion au point qu’il nécessite  un grand courage pour l’évoquer .

  La question du tribalisme d’Etat est occultée par un bon nombre de nos soient – disant  intellectuels, alors qu’il est à l’origine de nos maux , au point de ronger insidieusement  notre société qui est au bord de l’éclatement; d’ailleurs la crise multiforme qui sévit actuellement en est le paroxysme.

Au regard de tout ceci,  il serait  judicieux  de se poser la question de  savoir,  à qui finalement auraient profité toutes ces pérégrinations , alors que le peuple du Congo doit se consolider dans et par le travail ,rien que le travail .

L’avenir des générations futures ne peut pas être radieux, si nous leur léguons un Congo non débarrassé du flou savamment entretenu , par certains esprits destructeurs et rétrogrades qui n’ont pas compris que le temps est arrivé pour qu’enfin , cette nation se construise car l’histoire ne retiendra d’eux que des choses négatives et ne rentrerons pas dans la postérité. 

Armand MANDZIONO , Nzoïste.

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SI LE MAHATMA GHANDI REVENAIT DANS NOTRE MONDE SERAIT-IL LE BIENVENU AU CONGO ?

 

« Soit le changement que tu veux voir dans le monde. » dixit Mahatma Gandhi

Franchement au Congo cet idéal  est combattu . Tout comme les critiques en guise de contributions dans l’espoir d’opérer des reformes, les lois ne sont ni respectées, ni mises en application , avec toute la hargne possible .

Tout espoir d’un devenir meilleur est en train de s’effondrer dans l’indifférence totale,  pire le crime coupable est blanchi (Affaire du Beach, explosion du 4 Mars 2012,massacre dans le pool, détournements des deniers publics, rackette de la force publique envers les populations , corruption dans les administrations,) et la plupart  de ces  auteurs  non seulement ne sont pas punis, mais en plus ,  restent soumettre l’Etat , tout en enfonçant le  pays  dans l’abîme, sans  aucune amélioration sur le plan politique et économique et social et culturel (lire le dernier rapport de la banque mondiale sur le Congo.)

En réalité Il n’est pas bon de dire la vérité , de  critiquer , afin d’impulser une véritable dynamique de rèvendication  citoyenne , clé d’épanouissement des peuples et de développement des nations .

Sachant que toutes vérités et critiques blessent en  permettant également  d’évoluer , cela ne devrait point être un frein pour les objecteurs de conscience que nous sommes , blague à part ainsi va le combat que chaque être humain sensé doit s’approprier et mener avec fermeté pour la survie de la nation .

Enfin, de l’indignité nationale au manque d’écoute avéré de la classe politique complice de la vie et demie d’un peuple enfermé dans le bocal d’ une pseudo démocratie véritable frére siamois de la dictature,les cœurs sans pitié qui battent dans les poitrines des viandes , qui veulent aspirer à la vraie démocratie sont teintés de rancœurs , qui font le lit des plats qui se mangent froid dans la vie et se digèrent comme des artichauts , par le mal qui ne se maintient que par la violence.

Au regard de tout ce concentré  de négation , la résurrection du concept de la résistance non violente du Mahatma GANDHI , ne peut être vue d’un bon œil par  le congolais non pas ,  par  mauvaise foi   mais du fait de l’endoctrinement idéologique dont il est victime depuis l’éclosion des révolutionnaires dans le champs politique . Du coup cette révolution mentale paraît ne pas être  la bienvenue, pour ces damnés de la terre qui souffrent dans l’omerta absolue , et qui veulent absolument en découdre avec la poulpe politique confortablement tapie dans le psyché de certains d’entre -eux , pour susciter une rédemption collective qui peine à se réaliser, et qui se noie dans  la résignation de tout un chacun .

Alors, invitons –nous pour la chose commune afin que  chacun  réfléchisse  au lendemain.

Cependant, il sied aussi de faire une restrospective pour afin de relever  , La non application effective des actes de la Conference Nationale Souveraine dans leur intégralité( C N S) à une  époque où  la vie politique congolaise en avait  fait une exigence ,au point  de donner  une lueur d’espoir au petit peuple de ce grand  pays .

L’ abrogation définitive de cet élan intervenue  en octobre 1997 par un sanglant  et violent coup d’Etat ,  est  l’ épicentre des leviers de la résignation , du refus à n’importe quel prix des  assises orientées, qu’impose  les autorités du régime en place .

Alors l’évocation de   l’esprit du Mahatma GHANDI dont se sont  inspirés Martin Luther KING , Rosa PARK,  Nelson MANDELA et bien d’autres apôtres de la non-violence, dont nous faisons référence  à tort ou à raison au Congo , serait un non évènement et surtout une chimère.

Tellement que nous sommes très  convaincus au regard de notre  mentalité , de l’ impossible rédemption du Congo,   certains esprits égarés dont une frange de la diaspora,  pensent que  le recours à la violence par les canons , pour faire entendre raison , à ceux qui ne croient pas au signe de la fin de chaque chose est la solution unique et incontournable.

En somme,  le quotidien misérable que les hommes sans foi ni lois ne cessent d’imposer à  leur guise au peuple , demeurera une constante  si l’ homme ne se  manifeste  pas, puisque seul  l’ oppresseur commun défini la forme de la lutte pour la rédemption du Congo.

Armand MANDZIONO ,Nzoïste.

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SI LE PCT M’ETAIT CONTE : BREF HISTORIQUE DE 1969 A NOS JOURS.

http://particongolaisdutravail.org/histoire.html

L’année 2019  et en particulier ce mois de décembre , sera marquée par la célébration du cinquantenaire du Parti Congolais du  Travail (PCT), cette machine politico-militaro-administrative, qui hante encore l’esprit de tous les congolais , même après avoir perdu son caractère  de rôle dirigeant de l’Etat , d’autant plus qu’ elle a accompagné beaucoup d’entre- nous à différentes circonstances de nos vies.

Ce jubilé que nous allons tous célébrés quelques soit nos convictions politiques dans ce contexte du pluralisme, parce que nous sommes  tous quelque part des enfants du PCT , qu’on le veuille ou pas et ceux pour diverses raisons .

Cet exercice de rétrospective nous paraît nécessaire  en ce jour, du fait de la situation de chaos dans laquelle est plongé notre cher et beau pays le CONGO.

D’aucuns pourraient s’interroger ou s’étonner, à  juste titre d’ailleurs ,de l’opportunité d’une telle démarche au vu du caractère martial et privatif, des méthodes et pratiques dont ont été et sont  imprégnées  le logiciel comportemental des membres qui le composent et des différents acteurs qui y ont joué un rôle majeur et prépondérant .

Nous avons appris très jeune, à l’école primaire pour nombreux d’entre-nous , que l’histoire est le récit des évènements passés , bien que lourde à porter, mais que nous devons assumer avec discernement , pour  mieux se projeter dans l’avenir.

Cette introspection , nous permettrait  de suivre le fil des idées afin d’apporter des correctifs sur la trajectoire de notre pays  pour que celui-ci ne finisse pas comme un avion qui pique dans l’océan après avoir raté son décollage.

Au commencement était le congrés  constitutif du PCT ( Parti Congolais du Travail ), après moult perturbations connues dans le pays  entre la période du 28 Novembre 1958 et le 31 Juillet 1968.

Ce sont des membres du CNR (Conseil National de la Révolution) constitués des personnalités civiles et militaires avec la particularité d’avoir une seule femme en la personne de Madame Alice BADIANGANA qui du 27 au 31 décembre 1969  instituèrent un Parti-Etat avec des nouveaux égrégores ,organisé en directoire à la tête duquel se trouvait le commandant Marien NGOUABI, composé d’un bureau politique de 8 membres et d’un comité central de 30 membres suppléés par 10 autres membres

Ce qui aurait pu être une occasion de stabilité pour le Congo va vite apparaître , comme un grand facteur de troubles dont les secousses sont  encore à l’ordre jour ,car, très vite de l’idéologie unanime on passera au clivage régional avec l’affaire du «   coup d’état du lieutenant KIGANGA alias SIRROCO du 23 Février 1970″                 , suite à des incompréhensions entre des officiers dits progressites , et qui entrainera son lot de malheurs tels que la dislocation de la Gendarmerie, de la Police nationale et l’épuration de certains civils et militaires qui ne rentraient pas dans les normes du nouveau parti ; cette époque a sonné le glas de l’OBOMUTRI (Oligarchie  Bureaucratique Militaro-Tribale ), qui va consister à  un remplacement progressif  du personnel dirigeant et d’encadrement de l’Etat sur des bases tribalo-régionales, et  donc le précurseur du « YAKA NOKI NOKI » (cadres préfabriqués et formés à la vitesse de la lumière.)

A la suite de cela ,dans l’empressement, et au mépris des textes du parti  qui exigeaient 5 ans pour passer à un congrès, se tint les assises du  1er congés ordinaire du PCT  qui se déroulèrent du 30 Mars au 1er Avril 1970.

Ce qui a été appelé congrès ordinaire n’etait qu’en réalité qu’un congrès extraordinaire , qui marqua déjà le caractère d’exception  de ce régime et eut pour faits marquants la création du Conseil d’Etat au 1er Avril d’abord  et ensuite l’entrée au Bureau politique ,qui passa de 8 à 10 membres, d’un nouveau Compagnon de la Révolution en la personne du Camarade Denis SASSOU-NGUESSO , Commandant de son état , au poste de Secrétaire chargé des Organisations des Masses d’où il va tirer son surnom de « l’Homme des Masses ».

Malgré ces différents ajustements en son sein le PCT ne trouve pas  toujours  son équilibre , au point où  une frange du parti va marquer son désaccord  jusqu’ à ce fameux 22 Février 1972 par ceux qu’on pourrait appelé les

 » 

Maquisards de GOMA TES-TSE  »

.Ange BIDIE DIAWARA  Jean Baptiste IKOKO

OLOUKA                                                                         BAKEKOLO

Cette même année 1972 sera marquée , par deux autres événements majeurs , qui sont d’une part  la Conférence Nationale ( 31 Juillet -7 Aout 1972 ) qui fixera une nouvelle ligne politique du parti  et qui finalement se révèlera être une première assise de ce genre avant celle de 1991, et d’autre part  la fin d’année sera marquée par la tenue d’un 2eme congrès extraordinaire du 27 au 31 Décembre  , qui consacrera un Bureau politique  amaigri passant de 10 à 5 membres .

A peine débuté l’année 1973 ne sera pas différente des précédentes parce que un fait  majeur va l’inaugurer, c’est la fuite d’un cadre éminent  du Parti et de l’Etat en sa qualité de Vice-président du Conseil, on cite le Camarade Aloïse  MOUDILENO-MASSENGO                   , qui profitera des cérémonies funéraires du president KWAME NKRUMAH a KONAKRY (GUINEE) pour prendre la poudre d’escampette en direction de la ville de NANCY (FRANCE) et sera remplacé par le camarade  Ange-Edouard POUNGUI.

Ensuite arrivera le 24 Avril 1973 , avec l’exposition macabre au stade de la Révolution  du lieutenant Ange DIAWARA et ses compagnons après avoir été rattrapés dans leur cavale sur l’autre rive du Congo et livrés par échange de procédés diplomatiques , dont le but etait de marquer davantage les esprits à toutes formes de contestations et d’épanouissement intellectuel.

A la suite de cela , le 26 Août 1975 , lors de la session ordinaire du comité central , il sera réinstitué le poste de Premier-ministre dont le maroquin  reviendra à Monsieur Henri LOPES.

L’année 1974 ne sera marquée par aucun évènement  spécial sauf, la tenue du 27-30 Décembre de la même année, des assises du 2eme congrès ordinaire. Encore une aberration dans la chronologie des évènements, qui aurait pu être appelé 3ème congrès extraordinaire parce que ne respectant pas les délais conventionnels.

Aprés la prestation de serment du Camarade Marien Ngouabi  en date du 9 Avril 1975, suite au Congrès , le climat dans le Parti va davantage s’assombrir , au point de ressembler à une foire d’empoigne conduisant aux opérations de « radicalisation » et « d’épuration » , qui connaîtrons la déchéance du Colonel YHOMBI OPANGAULT( DJANGO)

qui livrait une guerre inavouée  pour la succession  au trône dont les conséquences seront visibles à l’issue de la session extraordinaire  tenue du 5 -12 Décembre  1975, en donnant naissance à l’Etat Major Spécial Révolutionnaire , composé de 5 membres, après dissolution du bureau politique et du comité central dans la fameuse « déclaration dite du 12/12 / 1975 « .

Cet organe spécifique pour la gestion des affaires de l’Etat aura pour mission essentielle la préparation d’un congrès d’assainissement des organes du Parti débarrassé de toutes formes d’impuretés, ce moment coïncide avec l’ascension  du Camarade Denis SASSOU NGUESSO qui entre temps est rentré au gouvernement comme Ministre de la Défense et de la Sécurité , après avoir été à la tête des Services Secrets pendant deux années entre 1973-1975, le mettant du coup en orbite sur ce que sera son destin politique.

Les choses ne vont pas en s’améliorant  car malgré la purge et la cure administrée au Parti, le 18 Mars 1976 , va marquer ce qui sera prémonitoire à la fin du » Commandant Rouge » avec l’accident de l’hélicoptère  présidentiel dans les profondeurs de la Cuvette durant lequel deux collaborateurs européens de MARIEN NGOUABI perdront la vie .

Puis arrivât  le mois  fatidique de Mars 1977,avec le triple assassinat  des Présidents Marien NGOUABI  et Alphonse MASSAMBA-DEBAT en plus  du Cardinal  Emile BIAYENDA , sans oublier les autres victimes relatives à cet évènement, qui va marquer un tournant de la dictature au CONGO.

Pour assurer la gestion des affaires courantes , une session du comité central réuni  le 3 Avril 1977 va instituer un Comité Militaire du Parti par l’ acte numero 005/PCT/1977 dans son article 001 et sera suivi  de la prestation de serment de son Président en la personne du Colonel YHOMBI OPANGAULT.

Ce dernier à peine intronisé n’aura pas le remps de s’installer, qu’il sera évincé le 5 Février 1979 à la suite d’une session extraordinaire du  comité central convoqué conformément à l’article 002 de l’Acte 005/PCT/1977 tenue du 5-8 Février 1979 qui va consacré le Colonel Denis SASSOU NGUESSO,  Président du Parti et Chef de l’Etat par intérim jusqu’au congrès extraordinaire du 26 Mars 1979  avec un Bureau politique de 10 membres  à l’issue duquel  il prendra définitivement les règnes du pays comme « Digne et Fidel Continuateur de l’œuvre  de MARIEN NGOUABI « .

A , partir de là , il va se débarrasser de tout élément gênant, le Camarade Denis SASSOU-NGUESSO après recomposition,  mènera sa barque contre vents et marrés  sans turbulences majeures jusqu’à la session extraordinaire  du comité central  de Décembre 1990  où fut proclamer la fin  du rôle dirigeant du parti.

Il sied de rappeler que pendant cette période ,il organisa deux congrès  ordinaires respectivement en juillet 1984 et en Juillet 1989 avec un bureau politique passant de 9 à 12 membres en gardant intact le nombre des membres du comité central  à 50 membres.

La Conference Nationale passant par là ,le PCT va connaître diverses situations jusqu’en 1997 avec le retour du Général Denis SASSOU NGUESSO

.

Ce qui va permettre la remise en marche des activités du parti pour aboutir au congrès  de 2006 qui opposera les « réformateurs » aux « conservateurs » ,durant lequel le camarade LEKOUNDZOU ITIHI  OSSETOUMBA ( Dezas )

Ambroise Noumazalaye

commencera  sa descente aux enfers , après l’intervention musclée de la force publique, dont le strapontin échoira au Camarade Isidore MVOUBA  (le chimiste)                                      , jusqu’au congrès réparateur de juillet 2011 d’où sortira l’inattendu Pierre NGOLO             l’homme qui hante les nuits de l’enfant de la promesse  , Denis Christel SASSOU-NGUESSO . 

Ce cumulard arrivé par la pointe des pieds , énivré par les oripeaux du pouvoir se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins, car , il lui revient de transmettre le témoin au moment où la survie du PCT est en question avec un bureau politique de 50 membres et  un comité central de 462 .

Au regard de cette esquisse des faits symbolisant les moments majeurs de ce qui pourrait être un grand parti ,un élement nous semble réccurent et régulier c’est l’instabilité dans le respect des règles qu’ils se sont fixés

Sinon comment expliquer  que depuis sa création en 1969 à aucun moment les organes du parti ont vécu , leur durée réglementaire de 5 ans, sauf entre 1979 et 1990, au point de se demander qui serait alors , le trouble-fait ?

Au final , pouvons-nous encore espérer quelque chose de constructif   pour ce congrès du cinquantenaire ?

Armand Mandziono , Nzoïste

 

 

 

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Guy Brice Parfait KOLELAS n’a aucun problème avec aucun membre de l’opposition Congolaise!

 

Par Oleg Fabrice KIESSILA

Je voudrais mettre en garde les soutiens du général Jean Marie Michel Mokoko, candidat malheureux à la dernière présidentielle dans notre pays.
Le peuple congolais qui est si mûr doit savoir ce qui se passe concrètement entre leader de l’UDH-YUKI, arrivé deuxième à la dernier élection présidentielle dans notre pays, actuellement député de la seule circonscription de KINKALA dans le département du Pool et Me MASSENGO TIASSE, auteur de l’ouvrage « l’autopsie d’un état totalitaire », soutien déclaré du Général Jean Marie Michel MOKOKO.
Au sortir de l’élection présidentielle, nous avons malheureusement contre toute attente constaté, sous un ciel grognant, qu’un argumentaire dévastateur avait été mis en place par les soutiens du général Jean Marie Michel MOKOKO contre les sieurs Guy Brice Parfait kolelas et Tsatsy Mabiala , candidats à la dernière présidentielle de 2016. Ces différents soutiens à des niveaux différents ont toujours affirmé avec constance, contre la force de la vérité que le général Jean Marie Michel Mokoko était le seul vainqueur de cette élection présidentielle, c’est pour cette raison qu’il aurait été emprisonné. Ils ont toujours avancé que Guy Brice Parfait kolelas et Tsatsy Mabiala, tous deux à la solde du pouvoir, auraient refusés d’appeler le peuple comme le souhaitait Jean Marie Michel Mokoko, le peuple à la désobéissance civile afin de contester l’issue chaotique de la dernière élection présidentielle.
Dans cet élan argumentaire, nous retrouvons naturellement la concordance des arguments utilisés par Me MASSENGO TIASSE dans son ouvrage, au chapitre VIII intitulé : Du ralliement de l’opposition à ma persécution section 2 le ralliement d’une opposition du ventre encourage la dictature de Sassou. On peut lire au paragraphe 5 à la page 341 ce qui suit : « On peut se poser des nombreuses questions aujourd’hui. Je suis persuadé et convaincu de la complicité de Brice Parfait kolelas avec les services de police afin de m’enlever et de m’assassiner, car il était au courant de mon déplacement et du lieu où je me trouvais à Mayanga, le 28 mars 2016, la veille de la journée ville morte. Étant donné que certains éléments Ninjas de sa sécurité (groupe de stoy) m’avaient rendu visite. 30 minutes avant que le gêner Jean François Ndenguet en personne, avec plus de 200 policiers et supplétifs, ne débarque chez moi, à Mayanga, aux environs de 19h15». De même, on peut lire clairement au paragraphe 7 à la page 340 : « Oui, je dénonce aujourd’hui, qu’en partie, Guy Brice Parfait kolelas est complice de la persécution et de la dernière tentative d’enlèvement et d’assassinat dont j’ai été l’objet à Mayanga. » Enfin, au paragraphe 4 à la page 344, il écrit ceci : « Entre temps et de manière clandestine, dans la nuit du 23 au 24 mars, Sassou Nguesso va donc dissuader Brice Parfait kolelas. Il l’aurait fait chercher par Gomes de Makanda et Malonga Cyriaque Kapata, pour lui remettre une bonne mallette d’argent, estimée à huit cent millions de francs cfa, afin qu’il s’abstienne, renonce à la contestation des résultats qui seraient proclamés et surtout ne participe pas à la manifestation populaire prévue par les candidats et l’opposition. »
Voilà ces arguments qui ont été jeté dans l’atmosphère comme une bombe de destruction massive sur Brazzaville et Pointe-Noire. Et sur tout le territoire national. Même hors du territoire national. Nos compatriotes de la diaspora, sont les plus virulents car ceux-ci sont très imaginatifs. À partir de là, tous les congolais étaient convaincus que le leader du grand YUKI avait encaissé une bonne somme d’argent pour permettre au président actuel de demeurer au pouvoir à la fin d’un processus électoral marqué par plusieurs échauffourées. Une issue entachée de fraude à ciel ouvert.
Dans cette même optique, l’argumentation mise en place dès le départ avait pour objectif précis, au regard de son intensité, d’éclipser Guy Brice Parfait kolelas de la scène politique congolaise en le présentant comme le traite de l’échec de l’alternance politique. C’est exactement les mêmes termes que reprenaient monsieur Guy Mafimba sur les plateaux de Zianatv où il n’hésite pas de charger Guy Brice Parfait kolelas en des termes injurieux comme je cite « c’est un commerçant, un traître … » j’en passe. Je tiens à rappeler que ce dernier est aussi un fervent soutien non seulement de Okombi Salissa, ancien candidat lui aussi à la dernière présidentielle, mais surtout un soutien du général Jean Marie Michel Mokoko. Ces mêmes logiciels argumentaire sera repris dans le même élan sur TV5 où France24, par Gombet Malewa, aujourd’hui candidat déclaré à la présidentielle prochaine, lui aussi grand soutien du général Jean Marie Michel Mokoko. Ce dernier aurait même déclaré que le général Jean Marie Michel Mokoko était le vainqueur de cette élection présidentielle et qu’il était le président légitime du Congo. Il ne reconnaissait pas les autorités de Brazzaville auxquelles pourtant il présentera son dossier de candidature s’il allait au bout de ses convictions. Alors que tous, nous savons qu’il n’y a réellement eu aucun vainqueur de cette élection présidentielle puisqu’elle avait souffert d’un braquage à ciel ouvert. Un deuxième tour était prévisible opposant Guy Brice Parfait kolelas placé en tête par les résultats proclamés par la C.T.E ( la commission technique électorale de l’opposition congolaise) et le général Jean Marie Michel Mokoko, arrivé deuxième, selon les mêmes résultats.p’ pour se convaincre du caractère louche de ces résultats officiels, il suffit de constater le retard avec lequel ils avaient été rendus publics. Ces résultats avaient été proclamés nuitamment et que s’en étaient suivis des tirs dans les quartiers sud de Brazzaville, lesquels s’étaient déportés dans le département du Pool dont est originaire le leader du YUKI. Ce département, rappelons-le sera soumis pendant plusieurs mois à des bombardements causant au passagers plusieurs dégâts humains et matériels.
Nous avons appris par des spéculations, là toujours nourris par des soutiens du général Jean Marie Michel Mokoko que Guy Brice Parfait kolelas avait un deal avec le pouvoir en place, en échange il devait bénéficier d’une nomination au poste de premier ministre ou encore du chef de fil de l’opposition congolaise. Aujourd’hui, tous nous savons que tout ceci est une façon impudique de déstabiliser Guy Brice Parfait kolelas. Une véritable affabulation. Un acharnement.
Dans cette tactique, les soutiens du général Jean Marie Michel Mokoko ont toujours pensé qu’il fallait se débarrasser de Guy Brice Parfait kolelas afin d’espérer avoir la voie royale pour la magistrature suprême de notre pays.
Pourtant, il est clairement établi que Guy Brice Parfait kolelas n’a aucun problème avec aucun de ses collègues membres de l’opposition congolaise, au contraire, on lui conteste un leadership qu’il ne réclame nullement si ce n’est par la force de frappe politique qu’il dispose. C’est-à-dire, son jeune parti YUKI qui est devenu en l’espace de quelques mois seulement la deuxième force du pays après le parti majoritaire.
Nous sommes tous de l’opposition disent-ils, oh non !, ils ne reconnaissent plus à Guy Brice Parfait kolelas son statut de membre de l’opposition même si les faits le démontrent. Ils préfèrent continuer à le présenter comme un politique à la solde du pouvoir.
Or, on peut se poser avec lucidité des questionnements sur comment Vit un parti comme l’UDH-YUKI dont on dit appartenir à la majorité présidentielle pour connaître la vérité qu’ils refuse de voir. Mais ce n’est pas leur préoccupation. Si cela les préoccupait réellement et de façon loyale, ils se seraient bien aperçus que l’UDH-YUKI est loin d’être une succursale du PCT tant il est vrai qu’il subit tout le traitement voué à un parti de l’opposition. Ni moins ni plus. L’UDH-YUKI comme tous les autres partis de l’opposition congolaise est interdit des médias du service public, le financement prévu par la loi. L’UDH-YUKI rencontre des sérieux problèmes de financer ses nombreuses activités. C’est un parti qui vit des cotisations de ses membres et élus et donateurs. Lorsqu’un membre de l’UDH-YUKI tente d’apporter ces éclaircissements, il est de suite taxé de « mouton », « de fanatique »….
Non, c’est plus que déloyal de la part des soutiens du général Jean Marie Michel Mokoko de considérer Guy Brice Parfait kolelas comme un adversaire direct ou un ennemi. C’est indigne, malsain. Une erreur fatale. Cette attitude ne peut servir la cause du peuple congolais au nom duquel l’on s’exprime. Ces attitudes sont d’un ancien âge, celles qu’ils dénoncent chaque jour en critiquant les pratiques du parti au pouvoir.
En jetant des bulles puantes à l’encontre de Guy Brice Parfait kolelas, en pensant l’affaiblir pour laisser place au général Jean Marie Michel Mokoko dans un éventuel combat entre lui et le pouvoir en place, l’opposition congolaise se tire une balle au pied. Car ceci doit être clair, Guy Brice Parfait kolelas n’a aucune rancoeur envers le général Jean Marie Michel Mokoko pour qui il a déjà plaidé plusieurs fois en public sa libération sans condition. Il n’est pas non plus des ceux-là qui se débarrasse de ses adversaires politiques par des méthodes peu orthodoxes. Rassurez-vous chers soutiens du général Jean Marie Michel Mokoko, Guy Brice Parfait kolelas a de la considération pour chaque politique congolais parce qu’il a une autre vision de la pratique de la politique. Il est résolument tourné vers le rassemblement de tous les congolais dans le pardon afin de construire un autre Congo.
Sa plainte se justifie fondamentalement par le fait qu’il veille à sa progéniture en tant que père de famille mais aussi à une pratique pure de la politique au Congo Brazzaville, en tant que leader politique. L’homme politique devrait être un modèle, ne cesse t-il pas à nous rappeler à chaque fois qu’il en a l’occasion. Il ne doit pas une pourriture de la trempe de monsieur MASSENGO TIASSE qui peut se réveiller un bon matin et pondre des inepties qui bousillent tout le moral des congolais qui ne croient déjà plus en la politique. Ils ont d’ailleurs raison avec de tels agissements.
Chaque jour qui passe, nous rapproche d’une échéance capitale, il faut y penser. Je sais qu’à l’opposition, il y a plusieurs hypothèses qui sont avancées mais aucune ne doit prévaloir sur l’autre. Il faut aller un le terrain du consensus au nom de l’intérêt général. Or, il y à une certaine opposition qui pense qu’elle raison sur tout et estime avoir le monopole du cœur des congolais. C’est une catastrophe. Une erreur. Je pense que l’opposition doit chercher à se rassembler et non à se diviser comme le fait Me MASSENGO TIASSE dans son ouvrage en pondant des déclarations diffamatoires.contre un membre de l’opposition. Par cette plainte, il a la possibilité en tout de nous étayer un peu plus et d’apporter les preuves irréfragables de ses supputations.
Pour terminer, sachez que maintenant plus que jamais, que l’UDH-YUKI répondra coup pour coup. Le silence, c’est fini.
Aux soutiens du général Jean Marie Michel Mokoko, sachez que ce n’est pas Guy Brice Parfait kolelas qui avait incarcéré votre leader, il en est lui-même touché, il n’est pas heureux qu’il se retrouve dans ces conditions. Il n’est pas non plus heureux de voir l’état dans le coma dans lequel est plongé l’opposition qui le contraint dans la léthargie. Incapable d’imaginer quelque chose sur laquelle tous pourraient se retrouver. Il fait tout ce qui est possible pour obtenir la libération de tous les prisonniers politiques qui croupissent à la maison d’arrêt de Brazzaville.
Il est temps pour vous de comprendre qu’aujourd’hui Guy Brice Parfait kolelas est le mieux placé pour mener le combat de l’alternance politique apaisée au Congo Brazzaville en vue de commencer un nouveau cycle. Au lieu de construire des imaginations destinées à le salir, l’affaiblir, mobilisons-nous autour de lui pour mener ce combat jusqu’à la fin. Donnons lui la force.
Mais en attendant, l’accusé MASSENGO TIASSE, répondez ! Apportez nous les preuves de ce que vous avancez dans votre ouvrage !
J’ai ainsi dit !
La Rochelle, le 01 décembre 2019.
Oleg Fabrice KIESSILA, porte-parole de l’UDH-YUKI, France.

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A qui profite ce jet de boule puante?

Par Jean-Claude BERI

» C’est vrai, le mal du pool , c’est le pool lui même. »
Au Congo-Brazzaville, les élections du 20 mars 2016 ont engendré une crise post-électorale où règnent l’incertitude sur l’avenir , une crise socio-économique , la peur, les arrestations arbitraires, ou toute forme d’intimidation que les mauvais perdants font subir à la majorité populaire. Du terrorisme d’état au génocide du pool , le pouvoir de Brazzaville vit très mal le réveil du peuple du pool. Il a tenté de le museler, le corrompre , de semer la zizanie entre ses fils…mais rien n’est fait le pool reste debout et marchera la tête haute en se débarrassant de ses fils perdus qui vendent la dignité, l’honneur du pool. Pourquoi faut-il toujours un fils du Pool pour trahir, déshonorer un autre fils pool?
Il ne s’agit pas de caresser dans le sens du poil Guy Brice Parfait KOLELAS dont les turpitudes et les contradictions ont semé le doute chez beaucoup de congolis mais il sied de révéler des incongruités dans les accusations de Me MASSENGO TIASSE à l’endroit de Guy Brice Parfait KOLELAS. Qui ,ignore que Me MASSENGO TIASSE est un fervent soutien de JMM MOKOKO. Son seul souhait serait d’anéantir tout autre adversaire dont en particulier le parton du YUKI. Mais faites le dans les règles. Cela n’honore ni ton champion ni encore moins ta profession.
Me MASSENGO TIASSE en citant même le montant de la corruption avait-il été présent pour affirmer une telle chose? Comment a t-il eu l’information de la traitrise de KOLELAS, peut-il donner des noms et lieu ou apporter les preuves ou ce délit a été commis? Sans être juriste on voit bien les élucubrations poussées à l’extrême affabulation de ce juriste aux abois . C’est vrai, le mal du pool , c’est le pool lui même.
Afin de s’arc-bouter au pouvoir, SASSOU a lâché tous ses loups dans la bergerie de l’opposition. Cette fourberie qui se distingue par des injures, des affabulations, des peaux de banane, des boules puantes dans le but de discréditer tous les leaders ou toutes personnes contestant le statut quo.
Après être baigné dans la duperie électorale ou certains de ceux qui s’époumonaient à dénoncer le pouvoir dictatorial ont rangé leur discours dans le tiroir de la manipulation pour épouser celui de l’accompagnateur de celui-là même qu’ils combattaient il y a un peu. On est passé de la dénonciation d’un pouvoir immonde au viol électoral en passant l‘imposition d’une constitution largement contestée à la diffamation fortuite pour nuire.
Les champions, toutes catégories de la duperie, de la manipulation et de la diffamation entraînent le peuple vers l’acceptation des vérités issues du sang des congolais .
Que dire de ce qui devrait être un combat unitaire et qui s’est avéré n être qu’une grosse escroquerie politique fomentée sur le dos du peuple. Pendant que certains croupissent dans la misère la plus insoutenable d’autres jubilant de voir les populations de la LIKOUALA plongée dans les inondations. Sommes-nous dans un pays des aveugles nés dans l’idiotie la plus abjecte ou quoi ? Ou est l’intérêt de Me MASSENGO TIASSE de diffamer Guy Brice Parfait KOLELAS ????
Ces gens ont fomenté plusieurs scénarios dans leurs officines macabres. Ils les distillent au fur et à mesure que la situation évolue en leur faveur ou pas. Ne nous laissons pas distraire pas ces fausses affaires ni encore mins par des pamphlets diffamatoires . Pour l’heure gardons-nous d’introduire le loup dans la bergerie. N’avons-nous pas suffisamment perdu de brebis avec cette manière de faire ?
Aujourd’hui sur les réseaux sociaux certains affabulateurs en manque de reconnaissance tentent odieusement de salir le combat de l’opposition bien que disparate, mais ça reste notre opposition, en l’accusant sans aucune preuve d’avoir succombé aux sirènes de l’argent sale. C’est une opération de déstabilisation nauséabonde initiée par ceux-là même qui ont usé de la torture comme mode de gouvernance. Ce ne sont que des boules puantes et nous savons d’où ça vient. Souvenez-vous qu’a la fin de chaque
SASSOU NGUESSO et tous ses affidés surfent sur une probable dislocation de l’opposition en attisant les clivages ethniques, en sacrifiant les enfants des autres, en favorisant le désarroi et la misère des congolais, en balançant des boules puantes a tout va. Certains esprits fragiles ou égarés font le jeu du pouvoir en relayant ces boules puantes et tout en soufflant sur les braises.
Que sommes-nous devenus ? Des objets malléables ou des papiers Kleenex ? Comment peut-on être aussi manipulable à merci de la sorte? Depuis la fin de la campagne électorale, il ne se passe pas un jour sans qu’une rumeur fondée ou pas ne vienne envahir notre quotidien. Nous nous sommes détournés de notre objectif principal qui était de soulager le peuple congolais devant cette dictature qui l’étouffe pour se laisser prendre à ce spectacle de la chasse aux sorcières des membres de l’opposition. Un spectacle dont les acteurs restent tapis dans l’ombre. Mais pourtant bien connus et cernés (suivez mon regard)
Plus personne ne prend la peine de vérifier quoi que ce soit. On prend comme argent comptant toute information discrétisant ou pas un des membres de l’opposition. On devient friand de savoir sur qui la boule puante va tomber.
Notre adversaire n’est pas KOLELAS, mais l’horrible monstre d’Alima SASSOU. Sachant faire la distinction ou notre combat sera toujours voué à l’échec.

Jean-Claude BERI

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