DIALOGUE : RUMEURS ET BUG ?
DENIS SASSOU NGUESSO veut-il réellement sortir du statut quo ?
Lors de son passage à Paris, le Raïs à provoquer un tohubohu, à tel point que personne ne peut lui contester la paternité du calendrier politique.
L’issue de la rencontre à son initiative avec une frange de la diaspora a été compromise par un acte de vandalisme à l’Ambassade du CONGO , qui d’ailleurs jusqu’à lors n’a jamais été élucidé et dont on ne connaît point l’évolution de l’enquête supposée , diligentée par la police française, à la demande des Autorités Congolaises en France .
Qu’à cela ne tienne, ce qui nous intéresse le plus, c’est de savoir, s’il y aura réellement un dénouement du fameux statuquo, condition sine qua non à la relance économique au CONGO-Brazzaville .
Avec la création du Conseil National du Dialogue, dont le patriarche M’BERRI Martin à la mission de superviser, nous devons croire que désormais la négociation, la discussion seront des armes incontournables de la régulation des tensions politiques qui résulteraient de toutes incohérences, relevant des choix et orientations des politiques publiques.
En effet, l’annonce de la création de cet organe comme moyen de prévenir les conflits par la voie du dialogue est une opportunité pour les hommes et femmes épris de justice et d’équité pour réfléchir sur les pistes nécessaires au déblocage de la léthargie dans laquelle se trouve plongée le CONGO.
Alors que, de part et d’autre, le crapaud au fond du puit, fait remonter des informations de la sorte que la famille régnante est divisée au sujet d’un possible dialogue, Denis SASSOU-NGUESSO devient l’otage des clans qu’il a enrichi au détriment du bien-être du Peuple Congolais.
L’histoire étant têtu, veut elle se répéter à l’image de celle de Marien NGOUABI ?
Les années passent et avec elles, la vigueur des Congolais qui , semblent se retrouver dans une impasse .Année après années toujours les mêmes discours , les mêmes symboles tel un rituel , sans que le quotidien des Congolais ne s’améliore au point de plonger tout un pays dans un psychodrame irréversible .
Disons-nous la vérité, sommes-nous prêt à payer le prix d’une inertie aux conséquences destructrices pour tout un pays, du fait des égoïsmes et de l’égocentrisme de certaines personnes rangées en clan, refusant d’analyser, de percevoir froidement la situation apocalyptique vers laquelle se dirige le CONGO.
Ne serait-il pas temps , aujourd’hui que le Magistrat Suprême , prenne de la hauteur, en se mettant au-dessus de tout , afin de permettre que les forces vives s’activent pour une restructuration de la machine étatique et politico-économique, craignant pour cela comme dans tout régime vieillissant que la vanité et l’aveuglement conduisent à la perte dont les conséquences seraient imaginables et fatales surtout pour ceux qui pensent avoir pris des dispositions pour se mettre à l’abri , car un Peuple désabusé est sans foi ni loi dans ses réactions.
Contrairement aux deux mandats passés qui avaient une durée de sept année chacun, le régime institutionnel actuel ne nous permet pas de dormir sur nos lauriers d’autant plus que nous sommes quasiment à mi-mandat.
Saurions-nous trouver l’énergie nécessaire pour résoudre cette catharsis ?
Armand Mandziono, Mwana Nzo, le Nzoïste
DIASPORA : IMPOSTURE ET QUADRATURE DANS LE COMBAT POLITIQUE
La politique est un projet qui nécessite , des aptitudes non pas seulement intellectuelles mais aussi des capacités d’empathie entre lesquelles , il faudrait trouver un juste milieu.
L’activisme politique est le moyen par lequel , un peuple peut exprimer sa citoyenneté sur des sujets de son quotidien. Mais l’évacuation de ces contraintes n’est l’œuvre que d’une catégorie de personnes dans la cité , qui accepte de consacrer leurs engagements à servir le peuple dans l’objectif de la matérialisation de leurs désidératas.
Une Diaspora en revanche n’est pas forcément une force politique , mais on peut y déceler des personnes qui ont une âme politique , on peut la définir comme une partie intégrante d’un pays , mais qui à un moment donné,, pour une raison ou une autre ,s’ est fixé en dehors du territoire .
Son extraterritorialité ne doit être un frein à l’effort de construction nationale. Selon les pays , les textes constitutifs peuvent permettre à certains d’entre eux de façon conditionnée de participer aux compétitions électorales de leur pays d’origine.
QUE CONSTATONS-NOUS POUR LE CONGO ?
Depuis l’instauration du multipartisme en 1990, et du processus de démocratisation qui s’en est suiv.- apprentissage certes difficile avec les évènements douloureux qu’a connu le Congo mais irréversible pour le décollage de ce pays –nous constatons que , les démarches étatiques non pas intégré cette catégorie qui est la Diaspora dans sa programmation tout azimut.
Les représentations diplomatiques du Congo à travers le monde fonctionnant avec les réflexes , du monopartisme peine à considérer ces compatriotes comme une préoccupation à soulager mais plutôt comme un danger à éloigner, l’empêchant d’exercer sa citoyenneté et par conséquent de participer aux votes.
D’où alors peut venir cet intérêt des politiciens locaux d’entretenir une cours à l’extérieur du pays alors que ceux-ci ne peuvent avoir aucun impact lors des échéances de électorales ; de la même manière peut- on se demander comment des gens vivants dans des espaces où l’apprentissage de la citoyenneté est une évidence , peuvent accepter cet état de faits ?
QUE PEUT BIEN CACHER CETTE CONNIVENCE ?
En faisant la rétrospective des quinze dernières années , sur fond d’introspection, il ressort que dans toutes les discussions, toutes les négociations politiques ont unanimement ignoré un point crucial qui est celui du vote des congolais à l’étranger ,alors que nous constatons un soutien indéfectible à une forme opposition montée de toutes pièces par l’ogre ’EDOU et ceux qui à un certain moment ont tous été ses affidés .
Ces fantômes de la république qui sont ces membres de la Diaspora contribuent peu ou prou de façon consciente à leur marginalisation de l’échiquier politique tout en renforçant leur incapacité à se décider sur leur avenir.
Cette situation qui résulte d’une forme de manipulation du système politique locale a pour objectif de se constituer une réserve du personnel politique, en les coptant ou les en rejetant, au gré des situations, au point de bloquer toutes formes d’épanouissement de cette Diaspora pouvant l’emmener ver un réel discernement dans ses moments des choix décisifs.
En guise d’illustration, nous pouvons nous en référez à l’ambiance qui a prévalu au moment des pseudo- élections présidentielles de 2016 , où la Diaspora s’est pris d’affection pour des candidats qui sont pour la plupart des rejetons de la cours royale en mal de discipline, car ce qui se passe actuellement en RD CONGO à quelques différences près similaire au cas du CONGO-Brazzaville.
Aujourd’hui, le Candidat MARTIN FAYILU a eu l’intelligence de faire un recours pas en annulation , mais en se basant sur la confrontation des procès-verbaux de la CENI et de la CENCO alors que dans le même cas au CONGO- Brazzaville , le soit -disant candidat élu , le Général du Peuple avait appelé à une désobéissance civile , tout en contestant la régularité de ces mêmes élections auxquelles il a participé jusqu’à ce qu’il soit mis en cage comme un vulnérable menu fretin.
Cette position a été conditionnée par les maladresses stratégiques de la CTE ( Commission Technique électorale ) , organe conçu de mains de maîtres par deux experts politique et statistique qui sont respectivement Zacharie BOWAWO et Clément MIERRASA soutenu par la Commission de Veille JM3 basée dans la Diaspora et dirigée magistralement par Isaac DJOUMALI- SENGHA , membre du PCT en déliquescence avec sa hiérarchie.
Tout ceci , sans oublier l’incontournable Guy Brice Parfait KOLELA ,de son état , President de YUKI dont les prises de positions sont comparables à celles de Félix TSHISKEDI qui eut l’outrecuidance de faire un recours au-delà des limites légales , par la voix de son porte-parole Vivien MANANGOU, constitutionaliste émérite de son état. .
L’actualité judiciaire récente rejoint une fois de plus l’incongruité de cette Diaspora qui soutien des prévenus dont l’implication dans les massacres, qui ont endeuillé le Congo est vérifiable et disponible dans les réseaux sociaux.
Alors, chers Diaspora sommes-nous pour le changement dans la continuité ou pour une rupture par le renouveau ?
ARMAND MANDADZIONO ,Mwana Nzo, le Nzoïste.
NON A L IRRESPONSABILITE POLITIQUE AU CONGO .
Bon nombre des congolais sont devenus des politiciens grâce aux réseaux sociaux , à cause de la politique de ceci ,de la politique de cela, qui n’arrive point à pourvoir une raison de vivre au Congolais .
Malheureusement, ils sont dans l’incapacité de trouver cette raison par l’observation, examen, le regard attentif sur soi-même.
En effet, le souci, ce n’est certainement pas la politique.
Le problème , cependant , c’est la politique de l’irresponsabilité.
Certes, la politique est une affaire qui concerne tous les citoyens, mais la remise en question de soi est une affaire personnelle, l’un dans l’autre et l’autre dans l’un sont intiment liés. c’est ce qui constitue l’Etat.
D’où la nécessité de l’existence d’ équilibre, de processus, de co-développement, entre l’homme politique congolais , le congolais lambda.
Dans l’état actuel des choses une corrélation des deux protagonistes est impérative ,une démocratie participative pour des débats d’idées et des ensemble des événements, des circonstances, des relations concrètes au milieu desquels se trouve le peuple congolais : la situation de clanisme avéré qui handicape de véritables réformes ne peut plus durer.
Observons juste notre espace environnant. Planter des graines n’est jamais vain.
Le pouvoir du peuple selon les événements en cours, devient nécessaire pour rompre avec les hommes politiques qui l’enfume ,le roule dans la farine, en utilisant comme moyen des discours lénifiants qui leurs permettent de contourner la démocratie et chier sur les suffrages du souverain premier, permettez- moi cette boutade.
Mais,qui veut chasser qui ,et à quel fin ?
Quand bien même , qu’on sait qu’ en occident on ne fait pas la politique pour s’enrichir, ce qui est contraire sous les tropiques en général et au Congo en particulier c’est pour s’enrichir.
L’exemple des progénitures des présidents Africains le prouvent à suffisance , sans oublier les cas de certains compatriotes à l’instar de dzoumangele l’enfant terrible de la Conférence Nationale Souveraine président de la Commission des Biens Mal Acquis
Armand Mandziono, Mwana Nzo , le Nzoïste
Dominique Asié dit de Marseille : Le VUVUZELA vivant des Oyoconneristes.
Cet ancien tricheur de haute voltige reconnu par ceux de notre promotion à la fac des lettres et , lui en STC avec nombreux de nos amis qui ont réussi avec succès jusqu’à la licence.
Contrairement à lui, il était un médiocre étudiant et un grand mouchard montant des fiches contre les condisciples et les enseignants (notre ami feu Topoli ne me dirait pas le contraire); il est resté constant dans sa bulle de médiocrité même étant autoproclamé agent ressource des analyses politicardes de Télé Congo.
Distillateur universel des oyoconneries !
Notre aboyeur maison aiguise son rêve très fantaisiste de remplacer , on ne sait quel autre oyoconneriste au gouvernement oubliant que , DSN n’a pas perdu toute sa lucidité au point de folkloriser à un niveau supérieur le gouvernement en nommant ce prototype de la vulgarité.
Dominique Asié (lire Aziyé), un commissionnaire autoproclamé de la Com du pouvoir en qualité d’analyste, qui se bat comme une prostituée pour gagner du galon , ce qui tarde à venir même après qu’il ait brulé, tout le stock de cierges ramenés de Lourdes. Comme quoi la gueule du plus fort n’amène pas toujours au bout de ce qu’on espère.
Monsieur le marseillais d’Ewo, être un excellent chantre de l’église oyoconneriste , comme tu l’es, est une bonne chose, d’ailleurs tu le réussis pour preuve tu es confortablement assis dans ton fauteuil au paradis de l’enfer mais pour quel autre résultat ?
Si ce n’est confirmer aux yeux du grand public averti et lucide tes limites de piètre journaliste. Le doyen ATONDI ne dit rien certes mais il doit en rire avec éclat, c’est bien le cas pour J.G FOUTOU là où il est.
Défendre bec et bec, parce que les ongles tu ne les as pas, un pouvoir que tu n’hésites pas de critiquer quand on te fait goutter le 1/100 -ème de l’intolérance qu’avalent à 100% beaucoup de Congolais au quotidien fait de toi un griot jumeau de la girouette.
Farouchement opposé au dialogue !
Aimer Sassou et s’opposer au dialogue, qui est une grande porte de sortie de la crise socio politique est une façon de l’enfoncer de plus bel dans le trou, heureusement qu’il a compris et ne vous écoute plus. Je sais que tu n’as pas peur du dialogue , tu as plutôt peur de ce qui en découlera :la compétitivité des cerveaux bien faits.
Tu n’a jamais été brillant à la fac et tu ne le seras jamais sur le terrain, la preuve tes pleurs qui sont ton seul moyen pour espérer être hissé ne te permettent pas d’être même un petit chef de service à la télévision. Tout cela en dit tout.
Tu vaux ce que tu vaux, inutile de faire croire à travers tes chiures verbales ce que tu n’es pas. Il ne jaillit de ta bouche que de l’incompétence notoire, tu distilles des propos « hainés »,pardon haineux.
Tu n’aimes pas DSN, sinon tu l’encouragerais à travers tes émissions ou tes interventions dans ses initiatives qu’attendent les Congolais épris de la réconciliation et du développement du notre pays: LE DIALOGUE.
Conseil spécifique d’ami :« Il y a l’avantage sur l’incompétence quand on se tait ; lutte pour tes rêves mais tu dois savoir également que quand le chemin que tu prends se révèle impossible, mieux vaut garder son énergie pour parcourir une autre route. Après avoir touché le fond sans gain ,ll n’y a rien de plus élégant que de refaire surface : ZONGA SIMA – ZONGA MOTO».
Caïde de MPAKASSA, le Nzoîste
LES PENDUS DE LA SAINT SYLVESTRE .
Il vaut mieux être craint qu’être aimé , comme dit Machiavel, le Chef de l’Etat Denis SASSOU-NGEUSSO continue de marquer son territoire.
Depuis les hold up électoraux ayant conduit respectivement au changement de la constitution cézariste du 20 janvier 2002 à celle du 25 octobre 2015, suivi des présidentielles controversées du 20 Mars 2016,le pouvoir de Brazzaville est devenu le symbole de la purge des anciens obligés du Chef suprême de la démocratie armée instaurée au Congo après le putsch d ‘ octobre 1997, l’emblème d’une violence exercée par le pouvoir à l’encontre de ses serviteurs zélés ,dont le positionnement entrave l’essor de l’Oyoconnerisme .qui est basé sur L’horreur et le cynisme à ciel ouvert.
Après l’humiliation des officiers supérieurs de la réserve militaire de l’Oyocratie sans oublier la mort du Colonel Marcel Ntsourou , la machine à broyer du régime continue de dérouler son rouleau compresseur sans état d’âmes au point d’empêcher quiconque , quelque soit son rang ou son statut social dans le microcosme militaro-politique , d’avoir un sommeil tranquille et réparateur.
L’homme des masses ou l’homme qui a toujours raison , a trouvé la manière dilatoire de se disculper de cinquante années d’irresponsabilité dans la gestion des affaires publiques, celui qui a toujours considéré le Congo comme son bien personnel à l’image du Roi Léopold à son temps avec l’Etat indépendant du Congo , estime qu’en confiant une responsabilité à un congolais , celui –ci lui devient automatique ment redevable créant ainsi un lien de servitude voir d’esclavage comme l’époque du servage.
Le Congo étant géré comme une Chefferie clanique, hier sous le couvert de l’idéologie Marxiste-Léniniste qui n’a été qu’une escroquerie politique, aujourd’hui dans un libéralisme sans vergogne, il sied de rappeler , l’individu ici ne représente pas une opinion mais plutôt une appartenance régionale, locale, ce qui donne à toutes sanctions qui incomberaient , à tout individu qui serait victime de cette justice un caractère collectif, diluant par là même, le principe juridique de la responsabilité individuel au profit de la notion politique de la responsabilité collective , donc du groupe auquel appartient le justiciable.
Dans le cas d’espèce des trois nominés comme « pendus de la saint sylvestre » à savoir Maurice MASSENGO TIASSE, OKOMBI SALISSA et Jean Didier ELONGO, le régime veut prouver à la fasse du monde son impartialité et son objectivité dans leur traitement face à la loi, d’autan plus que ces prévenus sont originaires respectivement du Pool, des Plateaux et de la Cuvette, donnant ainsi l’image de la trinité « Sud – Centre – Nord », gage du sacro- saint principe de l’unité nationale.
Cette démarche qui permet de maintenir les équilibres politiques , par le sacrifice suprême de ses dignes fils de la république , qui ont commis le crime de lésé majesté d’avoir trahit le « Gourou » , conformément à l’annonce faite lors du Message sur l’Etat de la Nation devant le Parlement réuni en Congrès le 30 Décembre 2018 où li disait, je cite : « … Il n’y aura ni menus fretins, ni gros poissons … » Et en enchainant ceci : « …Il n’ y aura pas de rampes de sanctions ,ni de boucliers humains… »
Cette exhibition devant les prétoires de ces anciens enfants gâtés de l’Oyocratie, qui en aucun moment ne pouvaient imaginer un tel sort, peut être perçu par des esprits non avisés comme un acharnement, alors qu’en réalité cela relèverait logiquement d’un fonctionnement ou le « Gourou » apparait toujours comme lésé par ses obligés après leurs avoir donné toute sa confiance à travers les différentes missions qu’il leurs a confié pour la réussite de son projet politique.
Ce processus est établi de telle sorte que, aucune personne ne peu sortir indemne du labyrinthe pour une quelconque forme de recyclage sans l’aval de celui-ci, permettant du même coup une régulation du stock d’entrées et de sorties de sa réserve d’imbéciles politiques.
Il sied de signaler fondamentalement que, dans ce système il y a d’un côté les « manipulateurs « constitués des membres de la famille et du clan , qui sont régis par une autre forme de justice et de l’autre les « outils » qui sont utilisés , pour servir aux besoins de la cause , constitués par le reste de la population .
Il n’y a pas à se bousculer, chacun passera à son tour à la caisse.
Armand Mandziono, Mwana Nzo , le Nzoîste
« Zizi – Dort MVOUBA dans son éternelle peau de Directeur de Campagne de DSN !
Grand ninja au col blanc et aux main sales, mentor du révérend, Pasteur NTUMI, premier president de la commission AD-HOC de la machination politique du Pool, fils du terroir de Kindamba, terre de Pangala, ennemi et traître public du Pool.
Ce gros poisson d’eau trouble de la politique congolaise et Président de l’Assemblée Nationale peine à se détacher de son ADN du plus grand fan de son idole, quitte à chanter des louanges qui surprennent même son maitre.
Il est claire et sans filtre que cet Oyoconneriste originaire de Kindamba a du mal à gagner en maturité.
Il n’y a rien de plus ridicule que chanter excessivement les louanges d’une personne qui ne se retrouve pas honnêtement dans tous ces « bien dits » au point de l’agacer : Ça s’appelle de la flagornerie XXL.
Vous aviez excessivement félicité le président après son discours à la nation devant le parlement réuni en congrès pour ce que vous n’aviez pas entendu, je dirai que pour ce que vous aviez souhaité entendre, vous le louez pour des vides promesses, des exploits non réalisés. Pourquoi pensez-vous que le
Camarade DSN n’a pas changé ?
Laissez-moi vous faire une confidence que le Camarade a évolué et veut que vous le vénériez pour des réalisations visibles. « Dieu a compris des choses mais pas vous ses saints ».
DEJA EN CAMPAGNE POUR 2021 ?
Certes que votre tache d’éternel directeur de campagne n’est jamais révolue, mais là vous êtes le président de l’assemblée nationale, il ne manque que populaire pour que vous soyez complet et que votre nostalgie vous ramène au zénith des temps forts de votre grand talent de propagandiste au foulard rouge.
Et voilà qu’un Non directeur de campagne se lance dans la campagne d’un Non Candidat à la surprise de celui-ci.
Même Anguios, une autre antichambre du sous-sol de DSN arrive à critiquer ce que Zizi-dort MVOUBA vante comme mérite.
• Comme tous les autres Oyoconneristes, vous envoyez DSN au paradis sans confession.
Caïde de MPAKASSA,le Nzoîste
SANS DETOUR AVEC MARTIN MBERI CONSEIL NATIONAL DU DIALOGUE : ENGIN SANS MOTEUR OU ORGANE FREINE PAR UN BICEPHALISME ?
Que répondrez-vous à ceux, comme moi, qui vous trouvent inexistant ?
Face à la somnolence de Martin MBERI entrainant avec lui l’institution dont il serait le coordonnateur, il sied de s’interroger s’il est conscient de ce que son efficacité serait une porte de sortie de crises qui paralysent le fonctionnement de la nation congolaise.
Monsieur le Ministre,
L’Institution, ce n’est pas le CONTENANT mais c’est le CONTENU. Vous semblez apporter votre pinceau au paradis des rois de la glisse ; les consultations ou les concertations prélude à le tenue du DIALOGUE sont inévitables. Votre impotence depuis votre nomination engendre des interrogations , si vous connaissez le grand intérêt de cette rencontre. Qui sont les acteurs privilégiés imprimés dans votre répertoire.
VOUS N’ETES PAS AU GARAGE !
Il doit y avoir du neuf en 2019, année de la renaissance. Les hommes et les femmes qui croient que le dialogue est une chance pour sortir le Congo de la sombre situation , ont les yeux braqués sur vous car la réconciliation en dépend bien plus au-delà de votre crédibilité.
Aucun Congolais de mon âge n’oubliera que vous étiez le laborantin en chef qui avait créé la réserve ministérielle qui à son tour engendra les Aubevillois, les Cocoyes, certainement les Mambas et les zoulous par suite . Par la même abnégation, le même engouement, la même ingéniosité, maintenant que vous détenez cette fois à la place des « NIALA NIALA » une aiguille et un fil pour réconcilier les congolais, la mission que SAINT DENIS a confié à SAINT MARTIN est noble
Le Congo est ravagé par des conflits artificiels, un signe d’infantilisme politique et vous, si votre long parcours politique pouvait faire de vous un homme d’expérience et honnête aimant son pays, on attend de vous celui qui peut conduire le dialogue à la hauteur de vos compétences.
Si rien ne se fait, au contraire, nous penserons qu’une fois de plus que Denis SASSOU NGUESSO venait de créer une fonction de complaisance pour vous permettre d’attendre vos derniers jours dans un garage doré. Cependant, le sang des défunts crient de plus en plus fort justice et vous n’avez pas intérêt à échouer.
Ayez conscience que vous êtes désormais un marchepied du Congo réconcilié et non le va-t’en en guerre des années passées.
Il y a du bonheur à occuper des fonctions qui conduisent à la réconciliation d’un peuple déchiré. Les préceptes donnés à votre institution sont les deux bords de la route : si vous les transgressez, vous serez cet automobiliste qui foncera droit dans le fossé.
Ayez surtout, refusant les pesanteurs des Oyoconneristes si vous en êtes pas un, l’autonomie d’être celui qui sait comment s’organisera ce dialogue, avec quels acteurs et où conduira ce dernier.
Ne soyez pas une feuille morte ballotée par le vent de quelques personnes sordides, ou un grain de sable coincé à jamais quelque part.
A vous de nous prouver s’il n’existe pas un bicéphalisme au sein du conseil national du dialogue.
Je réitère et je vous le dis clairement et sans filtre que malgré votre long chemin politique parcouru, votre nom n’est pas encore éligible au panthéon des hommes politiques sur qui la tombe exécrètera des bons souvenirs.
Quel héritage laisserez-vous aux congolais ?
Il n’est pas trop tard pour que vous puissiez vous rattraper, vous avez entre vos mains un crayon et une gomme : si vous ne pouvez pas effacer vos erreurs politiques du passé, écrivez une nouvelle histoire. Voici un nouvel itinéraire, essayez de le suivre tout en vous disant que cette fois vous êtes au service du peuple et celui-ci vous applaudira et effacera vos erreurs.
Faites le tour des sensibilités, à entendre les Congolais tout va mal. Il suffit cependant de ne pas garder « le nez sur le guidon », de prendre un peu de recul et de la hauteur par rapport aux plaintes quotidiennes décriées par le peuple pour vous rendre compte de la véracité des maux qui enchevêtrent la société congolaise.
Le Congo est à la croisée des chemins, il suffit du Dialogue pour que son développement, sa croissance soient remis à jour. Vous les initiés de la politique avez tous les signes de fin de règne. Seul le courage du Président de la république et le vôtre pourront nous conduire à la sérénité nécessaire au bon investissement de tous les compatriotes pour un CONGO uni et prospère. Ayez Le courage de reconnaître que vous avez brillamment échoué, car votre sort était déjà scellé depuis le 16 octobre 1997.
Toutefois, tout n’est pas perdu pour le Président de la république et vous, les esprits du CONGO vous laisse une ultime opportunité au cours de ce premier semestre
Le mauvais choix des acteurs au dialogue vous conduira à un échec et de ce dernier naitra la chute, définitivement.
Caïde de MPAKASSA, Le Nzoïste.
« L’OYOCONNERISME » : Une religion pratiquée avec FOI par le pouvoir de Brazzaville !
« L’OYOCONNERISME » : Une religion pratiquée avec FOI par le pouvoir de Brazzaville !
Les « Oyoconneristes » gagnent le pays à travers leur « évangélisation » quitte à abrutir le peuple congolais, c’est d’ailleurs le principal objectif de leur adhésion à cette religion.
Quand « un Oyoconneriste » défend le pouvoir afin de le conserver, il doit absolument mettre sa robe avec une truelle à la main (pas besoin de vous rappeler comment on appelle l’ouvrier qui utilise la truelle).
Cependant « une Oyoconneriste » doit l’enlever pour le défendre et aider à le conserver à l’instar du « sacré rôle » joué par Coco notre Mamou nationale qui n’hésite pas de laver les têtes de tous les Oko.
Comme dans la Bible, le livre de l’Oyoconnerisme est aussi divisé en plusieurs autres versets : Oyoconnerie , Mensonge, Médiocrité, Impunité, Corruption, Amateurisme, Arrestations arbitraires, Tueries,…
Fiers de baigner inconsciemment dans une euphorie morbide et crier gloire suite au limogeage de deux directeurs généraux (douanes et impôts) comme si nous venons enfin de résoudre l’épineux problème décrié par les congolais.
NANISME INTELLECTUEL DES CONGOLAIS.
Nous ne dirons jamais assez, la libération du congolais du joug de l’Oyoconnerisme passe par le courage et l’abnégation. Il passe par un éveil véritable, un éveil spirituel.
Quand un Chef de l’Etat écrasé par les effets de la routine du pouvoir fait peau ,neuve aux yeux des congolais ,parce que deux directeurs généraux sont relevés de leur fonction, il faut non seulement reconnaitre qu’une frange de congolais est intellectuellement et spirituellement naine, mais aussi émettre le vif regret de n’être pas sortis de l’ornière du sempiternel tribalisme ambiant.
Il y aurait un début d’impact certain si leurs remplaçants sortaient d’un autre vivier que celui là même.
A-t-on peur des compétences issues d’autres que régions que la Cuvette ?
Soit, il ne faut pas attendre d’un chien qu’ il fasse pipi assis.
Qu’un homme évolue, on peut espérer, on l’espère pour nous et pour les autres. Mais ça c’est une autre histoire.
Loin de soutenir Onanga et Ngakosso, deux fidèles compagnons d’un autre malfaiteur, qui ne peuvent pas se transformer en saints, il faille s’interroger si c’est à cause de ces deux ex directeurs uniquement que les salaires, les pensions et les bourses ne sont pas payés.
Un bon leader est celui qui ressent le besoin de restaurer l’unité et la transparence , il doit s’engager dans la vraie réconciliation, il doit être fier d’incarner l’héritage culturel du « MBONGUI » ou du « KANZA »,bien entendu que l’UNITE ne veut pas dire l’UNANIMITE . Ce qu’il faut éviter est que l’identité ethnique soit l’identité politique; nous sommes hélas là devant un des versets clés du livre sacré de « l’Oyoconnerisme ».
Le Message à la Nation du Chef de l’état devant le parlement réuni en congrès est une fois de plus une grappe de promesses de la nuit, elles sont faites de beurre et fondent dés les premiers rayons de soleil.
Ce message qui est un dissimulateur de la faiblesse et de l’échec est le même refrain que l’on entend sous 32 autres formes différentes.
On reconnait DSN dans sa constance.
LES TRACES DU PROJET DE KIKI, FILS DE SON PERE BRISE ?
Brillé par son Election à Oyo , le voici exhiber son Erection dans tout le pays et même hors des frontières, inquiéter par une Ejection; le fils se veut être comme le papa mais il n’est pas le papa.
Il les a , mais pas bien suspendues.
« Pardonner est essentiel. Oublier serait le pire de nos ennemis; le défi majeur est de s’élever au diapason de nouveaux paradigmes et de renoncer aux pratiques incompatibles avec l’exercice de la démocratie ».
DSN, Successeur à la Succession de son propre Successeur lance un message clair entre autre à son fils qui ne fera pas oublier ses échecs répétitifs et son orchestration du pillage économique privant ainsi le bien-être des Congolais.
De nos jours les petits voleurs sont jetés en prison et les grands voleurs sont hissés à des hauts postes de responsabilité. Ils sont applaudis par ceux qui devraient les huer.
Kiki et sa cohorte de ses tontons voleurs sont l’incarnation de l’impunité, jamais recadrés malgré l’Océan d’actes immoraux commis, c’est plutôt l’arrogance qui se taille une large place.
LES PEUPLES QUI ONT FAIM,MANGENT LEURS DICTATEURS.
Les difficultés de toute nature se banalisent et les congolais s’habituent à cette situation. Le silence du chef de l’état face aux malversations dont la traçabilité BOUYA- ONDONGO-CHRISTEL est connue ,signes symptomatiques de l’impasse dans laquelle se trouve notre pays.
Quels sont les projets partagés ?
Comment aspirer à un avenir meilleur, si nous sommes dans le manque criant de la prise en charge, si nous sommes soumis au clientélisme politique et aux procédés douteux de l’égalité de chance ?
A force de gérer les conflits et non la chose publique, on soumet son peuple à la famine et ce dernier finira par vous manger.
Monsieur Dénis SASSOU se trompe en pensant qu’il ne peut se passer de ces gens là. Il est le seul maître à bord jusqu’à preuve du contraire.
Vous aviez été élu pour la défense de l’intérêt général.
Caïde de MPAKAS ,Le Nzoîste