SASSOU-NGUESSO : LE BOSSU QUI NE VOIT JAMAIS SA BOSSE.

 

 

Les mouvements de foules, constatés ces derniers temps ,lors des différentes joutes électorales, dans la sous-région du Bassin du Congo, laissent pantois plus d’un observateur des questions stratégiques sur l’avenir et les chambardements auxquels, est exposée cette partie de l’ Afrique.

Vingt un an après , la redistribution des cartes dans la régions des Grands Lacs, datant de la chute du Président MOBUTU, le sentiment qui se dégage est celui d’un éternel recommencement.

Sinon comment comprendre,des Etats à peine sortis des grands déchirements après plusieurs  processus de négociations et de médiations, ayant permis à la remise à zéro du compteur institutionnel, ne puissent  quasiment après  deux législatures, trouver le point d’équilibre qui les amèneraient à enchaîner des cycle politico- économiques sans heurts majeurs, préludes à une normalisation de la vie économique et sociale, gage d’une marche vers un véritable processus de développement intégré de ces contrées.

En dépit la panoplie des organismes de prévention, de régulation de la vie communautaire dans le Bassin du Congo, il ya une impression qui se dégage, c’est celui du non respect des résolutions adoptées et des engagements prononcés, pendant qu’ailleurs en Afrique où les élections sont devenues une formalité du calendrier politique, dans le Bassin du Congo en revanche , à l’approche de chaque échéance politique, il ya comme une odeur de poudre qui se dégage.

Une fois de plus les Chefs d’Etats de la sous région sous les étiquettes de la SADC et la CIRGL, doivent se priver de ce moment repos du fait des  fêtes de fin d’ années , pour se mettre au chevet de la RD CONGO, cet éternel malade , qui refuse de guérir, parce que ne respectant pas la posologie du traitement institutionnel qui lui est exigé.
Si encore ce pays était le seul à porter les germes de cette pathologie, cela pouvait être compréhensible et par conséquent rendre la situation globale moins explosible.

Or , nous sommes dans une situation où la majorité des pays composant cette zone , présente les signes d’un contentieux permanent , irrévocable, entretenu entre la classe politique et le  » vox populi », du fait d’une mauvaise lecture et compréhension des enjeux qui gouvernent et gouverneront le monde , par les prétendants aux différentes hiérarchies de la société.

La situation qui se passe dans cette partie de l’Afrique serait comparable à une scène des personnes malades souffrant de pathologies peu ou prou semblables, décideraient de se prendre en charge, en délaissant leur prescriptions médicales, mais en faisant plutôt fi à leur instinct.

Qui dans une situation pareille, peut se lever et donner des leçons à l’autre, sachant que personne ne respecte ses propres engagements avec son peuple.

En se posant comme l’incontournable apporteur de solution dans plusieurs crises en en Afrique et dans le cas présent de la RD CONGO, le Chef de l’Etat du Congo BRAZZAVILLE, Monsieur Denis SASSOU-NGUESSO, c’est de lui qu’il s’agit , prouve par là qu’il souffre à la fois d’une cécité aggravée et d’une amnésie politiques  incurables.

Sinon , comment expliquer, que le Congo BRAZZAVILLE dont il a la charge couve encore une grippe, pardon une crise politique dont les conséquences incommensurables courent encore ,et qui n’a toujours pas trouver de solutions, malgré entre autre les injonctions du FMI/BANQUE MONDIALE, qui pourtant , lui serait d’un grand soulagement.
D’ailleurs , son propre pays qu’il gouverne d’une main de fer et de façon anarchique a refusé les bons offices des autres médiateurs, dans la principale crise , appelée aussi « GUERRE DU POOL »
Débutée le 4Avril 2013 conséquence d’un contentieux électoral qui, jusqu’à ce jour n’a jamais été soldé, cette situation qui, a occasionnée son lot de malheurs à savoir : emprisonnements arbitraires, détentions illégales entrainant la mort de certains prévenus, massacres des innocentes populations, parodie de justice, relaxation sans jugement des prévenus après une longue période de détention, tout ceci couronné par un « Accord de Cessez- le- Feu « avec son intime adversaire, le nommé Pasteur NTOUMI, accord qui n’a toujours pas apporté des fruits positifs escomptés, car il y a encore un sentiment d’insécurité dans cette région du Pool et par ricochet de BRAZZAVILLE .

D’autres volets du sommet en question aborderont la question des refugies occasionnés par l’instabilité qui règne dans la sous-région du Bassin du Congo.

Peu- ton être à la fois pompier et pyromane ?

Armand MANDZIONO, Mwana Nzo, Le Nzoïste.

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TERRORISME D’ETAT : LE CONGO EN ILLUSTRATION.

 

 

Comme dans la plupart des Etats Africains, la difficulté  d’asseoir une culture démocratique, a pour corollaire,  le mépris du respect des droits humains et des libertés publiques.

La république du Congo dont il sera question dans cet exposé, qui a été un exemple en 1990, après une conférence nationale souveraine réussie et d’un processus  électorale qu’on pourrait qualifier d’irréprochable, est vite retombé ,après cinq années de balbutiements, dans les profondeurs, les tréfonds de l’inculture judicaire.

Le point de départ de cet état de fait coïncide avec le retour fracassant en Octobre 1997, de celui qu’on appelait ,autrefois » l’Homme des Masses « et qui aujourd’hui pourrait être comparé au » Bourreau des Masses« .

Alors, que le contexte politique a changé, on est passé du monopartisme en 1979 au multipartisme en 1997, il est paradoxale de constaté , une résurrection des pratiques  policières extra-judiciaires, d’un autre temps qu’on pensaient revoulues et enterrés à jamais , mais sans compter sur les caractères congénitaux d’ un régime composé d’hommes ,dont le crédo est l’adversité pour ne pas dire l’animosité.

Pour ces hommes , les valeurs patriotiques n’ont de sens que, lorsqu’il faut crée une machination qui servirait d’alibi à l’extériorisation de leur véritable nature, qui n’est autres qu’une criminalité a travers leurs instruments répressifs , que sont la  la police, la gendarmerie et la grande muette.

D’ailleurs les textes régaliens consacrent ce paradigme étatique,  d’autant plus ,qu’ on observant  l’organisation judicaire au Congo  , on constate bien l’inexistence d’une  police judicaire, qui en tant normal  est un organe de subordination à la justice , chargée de mener les enquêtes préliminaires à toutes plaintes .

Or, dans l’état actuel des choses, ce pouvoir est dévolu à la direction générale de la surveillance du territoire(DGST), service spécialisé du Ministère de l’intérieur qui,  normalement  devait avoir , pour rôle, la prévention ,l’anticipation , sur tous les risques pouvant porter  atteinte  à la sureté  de l’Etat.

Mais  dans le cas présent , on assiste à un jeu de rôle renversé, dans lequel le juge reçoit des injonctions du policier, qui dans ses conclusions à déjà déterminer le chef d’accusation ,qui pèse  sur le prévenu et la condamnation encourue par le coupable.

Alors le juge  ne sert que, de faire- valoir dans un processus  bien lubrifié, correspondant aux traditionnelles tribunaux d’exceptions , militaires ou populaires, rappelant les premières heures de la révolution rouge du 31 Juillet 1968 .

Cette période comme nous le savons tous , qui précède l’avènement  du PCT le 31/12/1969  , a consacré dans les gênes politiques du Congo, des réflexes judicaires, qui ont pour triptyque :  Incarcération sans mandat, parodie de justice et exécution sommaire .

ça c’étaient avant !

Au regard de tout ce qui se passe actuellement, nous assistons à une contraction du processus judicaire, qui est passé de trois phases à deux phases à savoir:  arrestation sans mandat et détention illégale  jusqu’à ce que mort sans suive.

IL faut rappeler  que le couronnement , de toutes ces cérémonies est un rituel qui est resté permanent jusqu’à ce jour: Les fosses communes.

Après avoir fait , un rappel historique des pratiques  judiciaires qui ont cours au Congo depuis un demi-siècle, une constante reviens toujours, c’est la présence des armes à feux et du sang  dans le dénouement  de toutes les affaires.

Sommes-nous prêt à relever le defi d’une justice exempte de tous préjugés?

Armand Mandziono, Mwana Nzo, le Nzoïste.

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Le GOUVERNEMENT MOUAMBA : UNE DEFAITE AU GOUT BIEN GRAS

 

Pire que l’incohérence, pire que l’inertie, pire que la médiocrité, le ridicule ne tue pas,  le Gouvernement MOUAMBA porte un qualificatif qui cache une réalité encore plus affreuse : il s’agit d’une incivilité sénile et d’une délinquance sociale.
A quand le début des soins intensifs administrés au CHU par le « Docteur » MIKOLO ?
Monsieur le Premier Ministre, vous avez une énième fois offert un spectacle ahurissant même si au fond c’était une balade vers une tragédie de votre équipe, la preuve votre ministre de la santé avait un visage truffé de surprises comme si vous étiez en pleine action dans un cirque.

De quoi rêviez-vous retraité ? « Le dossier du CHU est très sale et explosif»

C’est avec la gorge nouée et le cœur serré que nous entendîmes de tels propos de l’aveu même de Monsieur le Chef du Gouvernement. Quitte à choquer, le Premier Ministre se singularise par des comportements d’homme innocent et réparateur des énormités magistralement maçonnées par les membres de son gouvernement pendant ses interventions à l’Assemblée Nationale.
Antoine Bienaimé OBAM ONDON, celui qui doit être « honorable » en sa qualité de Député rouge, a dégainé puis appuyer sur la gâchette, canon dirigé vers son camp. Oui pour le cas du CHU, qu’il a appelé avec insistance CH. TUE, on est solidaires ; bravo « camarade honorable ». Eh oui ! L’homme prudent voit le mal de loin, kéba na AVC.

Camarade MOUAMBA, le nombre de victimes de l’explosion supposée ou imaginaire que vous craignez, n’est pas supérieur à celui engendré par les effets corolaires de la situation , que vous faites grandir en apportant votre complaisance et votre impuissance comme ingrédient.

La vraie bombe, celle que vous protégez, avait déjà explosé. Elle tue en sourdine.
Le cas du CHU qui n’est pas un cas isolé ,est une illustration de la fracture qui existe entre ceux qui sont au pouvoir et d’autres qui sont du pouvoir.

Etes- vous du pouvoir, ou êtes-vous au Pouvoir ?

Sinon comment pouvez-vous expliquez, que conformément à la loi fondamentale, le secrétariat générale du Gouvernement, qui devrait être sous votre autorité se retrouve, paradoxalement dans l’organigramme de la présidence de la république, quel anachronisme  dixit: le décret 2018/421 du 26 Novembre 2018, portant élévation aux différents grades de la Chancellerie des ordres nationaux.

Comment un chef du Gouvernement qui, s’il ne gouverne pas, il ment peut -il déclarer que le cas du CHU est très sale et explosif. Le problème du CHU non seulement est une honte, mais il est à la fois sensible et explosif. La gestion est extrêmement chaotique, mais vous aviez omis de dire clairement que le CHU est une chasse gardée qui dépasse vos attributions.

Vous avez une main en coton dans un gant en fer et vous n’arriverez jamais à briser le moindre mal qui gangrène toutes les couches sociales de notre pays. S’il est vrai que l’autorité que vous assurez vient de Dieu, il est aussi vrai que la cruauté que vous faites vivre (sans état d’âme) aux populations vient du Diable.
Un libre penseur rouge en la personne de Justin  LEKOUNDZOU ITHI OSSETOUMBA , vous avait dit en son temps : « gouvernement ya nzala », cela est d’actualité et vous colle à la peau, pire encore, vous  excellez même dans la privation des soins de santé aux populations.

Monsieur le PM comme aiment, vous appelez vos collaborateurs , Nous souhaiterions qu’il y ait beaucoup de séances questions-réponses parce qu’elles nous permettent  de découvrir, votre qualité d’homme honnête, ou d’homme maladroit, qui n’hésite pas d’exposer ses ministres devant ceux qui doivent être “ les représentants du peuple“ : OYE ! OYE ! SOUTIEN ! CAAMMA MEMBRE.

Votre gouvernement, une association toxique, ne fait pas de détails pour grimper à la plus haute marche du podium de l’amateurisme.
Si vous n’arrivez pas à coordonner les actions du CHU à travers votre Ministre de la Santé qui avait chassé comme un mal propre la directrice de cet établissement ,la nommée  Madame AMBIERO , qui s’était dépassé, qui réellement avait mis son cœur pour son développement, cela veut dire que vous ne contrôlez rien et personne.

Ayez l’élégance, parce que vous avez le pouvoir ,mais pas la responsabilité du pouvoir ,de vulgariser votre inaptitude , et d’aller vous reposez dans votre Sibiti natal.
Pourquoi tout cela en toute impunité ?
N’ayons  aucune indulgence pour les tenants du désordre.

C’est vrai que Gouverner sans Mentir est un exercice délicat mais, Camarade chef du Gouverne – Ment, chuchotez-moi à l’oreille : Pourquoi vous n’arrivez pas à sauver le CHU ?

Dans ce monde en perpétuelle mutation, plus que jamais nous avons besoin de proximité, d’écoute, de compassion et d’efficacité, c’est ainsi que vous auriez pu être utile et au service du peuple congolais.

Le sanglot des Congolais passe sous silence, c’est ça la vraie honte que vous incarnez.
NASSER  disait : « Être un Homme Politique c’est très facile. Il suffit d’identifier ce que veut le peuple et de le crier plus fort que les autres.

Être un Homme d’Etat est en revanche beaucoup plus difficile : Il faut discerner où est l’intérêt du peuple et obtenir son adhésion pour agir dans cette direction ».

Toutes choses étant égales par ailleurs, après une énième sortie, la démission est la seule réponse intelligible et intelligente que vous puissiez apportez, pour soulager le peuple et vous-même par la même occasion pour ne pas alourdir votre » karma » et la colère des « Biibâ » ,qui a déjà atteint son point culminant.
Incivilité sénile, Amateurisme, Médiocrité, Irresponsabilité voici entre autres les maux qui pourrissent la vie des Congolais. C’est le type de frustration qui peut dégénérer en véritable fureur.

Caïde De MPAKASSA, Le Nzoïste.

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AU CONGO TOUT EST POLITIQUE ET FAMILLE : QU’EST DEVENU L’ AC LÉOPARDS DE DOLOSIE

 

Disparu de la scène sportive,  au milieu des années 80 en même temps que le club AS MIF de M’FOUATI ,une autre grande institution sportive
de la Vallée du Niari, et remplacé par SUCO-SPORT de Nkayi ainsi que ELEC-SPORT de Bouansa ,en plus de deux autres clubs pontenegrins à
savoir : EPB-Sport et PETRO-Sport ,aujourd’hui dans les oubliettes ; l’AC Léopards de Dolisie ,club de football mythique des années 70 . Fondé
en 1954 et présidé depuis 2008 par le Colonel Remy AYAYOS-IKOUNGA ,ce jusqu’à sa récente démission publique en 2017 lors d’ une émission télévisée sur Télé-Congo ,au cours  de laquelle il révéla, d’ailleurs les sources de financement de ce club en pointant du doit l’ inamovible Mr Albert
NGONDO de son état, Directeur Général du Trésor Public.

Ressuscité des abîmes au début des années 2000 , par l’actuel Ambassadeur du CONGO en INDE ,en la personne de Monsieur Pierre Michel
NGUIMBI ,lui-même , rentré d’exil à l’occasion du Dialogue National Sans Exclusif, tenu à Brazzaville en 2001, sous la protection de l’actuelle
Première Dame , je cite Madame Antoinette SASSOU-NGUESSO.

Tout est parti de la volonté de redonner vie à cette belle cité d’antan ,autrefois appelée la capitale de l’Or Vert ,qui fut le berceau et le carrefour
de plusieurs générations de cadres congolais venus de tous les d’horizons de ce pays.

Il fallait donc trouver une activité fédératrice, pouvant faire oublier les stigmates des tragédies subies entre en 1997 et 2001, conséquences
De l’incurie et de l’irresponsabilité de  cette même classe politique dite des <<Révolutionnaires>>.

C’est ainsi que fut créée , « l’Association Bana Dolisie » ,par le trés dynamique Pierre Michel NGUIMBI , qui trouva l’idee de réhabiliter ce club
mythique de l’AC LÉOPARDS ,et devenant du coup son premier dirigeant de l’ actuelle ère.

Adoubé en cela par son affiliation à l’association « Club 2002 » dirigée par un certain Wilfried César NGUESSO ,tout puissant neveu du Chef
de l’Etat d’alors ,qu on ne cite d’ailleurs plus d’autant qu’il est ancré dans la mémoire collective de ses concitoyens si tant peux ,on pouvait
dire ainsi.

Celui-ci , qui pour rappelle etait en orbite dans la nouvelle galaxie du sassouisme deuxième version ,pour disait-on se préparer
à une éventuelle et chimérique succession, tout en visant la conquête de la ville océane de Pointe-Noire .

Aprés quelques années de redressement qui mirent en évidence ce club au niveau national ,au point de supplanter les poids lourds classiques
du paysage footballistique congolais à savoir Diables-Noirs (yaka dia Mama) ,Etoile itou Mboulokia  du Congo ,CARA Bana nzambe, pour ne citer  que ceux là.

Aspiré par le poids de ses fonctions ministérielles ,ce dernier, Pierre Michel NGUIMBI passa le témoin à son jeune frère Dolisien en la personne
du truculent Remy AYAYOS-IKOUNGA par ailleurs neveu de l’ancien DirCab du Président ŁISSOUBA et actuel Commissaire à l’Union Africaine
pour le compte du CONGO ,et son référent pendant son séjour à Brazzaville comme AET ( Ancien Enfant de Troupes ), je cite le Ministre Martial
de Paul IKOUNGA.

Qui est Remy AYAYOS IKOUNGA ?

Ce personnage de petite taille, auparavant inconnu du grand public, sauf pour quelques uns du fait de sa proximité , avec un autre neveu présidentiel, Edgar NGeusso  , sur lequel on reviendra dans une prochaine publication, occupe les fonctions de DirCab de celui-ci à la direction des domaines présidentiels.

Fils adulterin d’ un ancien militaire de carrière ayant pris sa retraite avec le grade de capitaine , qui vécu longtemps au Camp dit de la « Milice » à
coté de l’ecole française Saint-Exupéry de Bacongo ,

Rémy est né à Dolisie où il passa toute son enfance jusqu’à la fin de son cycle scolaire primaire.
A la suite de cela, il est admis au concours d’entrée à l’Ecole Militaire Préparatoire des Cadets de la Révolution en sigle EMPCR , où il rencontrera
dans la même promotion entre autre Edgar NGUESSO dit GAYA comme aimait l’appeler son beau-frère de Président feu Omar BONGO-ONDIMBA ,Fabrice MAKAYA-MATEVE ,à l’époque Fabrice MASSAMOUNA dit Fafa ,Bienvenu MABILE-MONO , et ce de 1980 jusqu’en juin 1987.

Apres son baccalauréat serie C obtenu en 1987 ,il est sélectionné pour suivre une formation qui durera une année à l’Ecole des Services de Santé
des Armées Françaises de l’Hôpital du Val-de-Grâce ,située dans le 14ème adt de Paris , d’où il sortira breveté en 1988, avec le grade d’aspirant .

Rentré au CONGO à l’issue de son sejour d’études , il dû attendre deux années durant son affectation et sa promotion , periode pendant laquelle il
Sombra dans l’alcool au point de frôler la mort en tentant de se suicider.

En 1991, il accedera enfin au grade de sous-lieutenant conformément aux textes et règlements en vigueur d’alors dans les FAC (Forces Armées
Congolaises ) ,mais toujours sans poste d’intendant des hôpitaux comme il le souhaitait etant donné que l’armée congolaise ne compte que  deux
centres de santé.

Cette même année 91 ,qui correspond au debut de la période de transition politique. au CONGO , isssue de de la CONFÉRENCE NATIONALE
SOUVERAINE, de la période heponyme ,coincide avec la rentrée au bercail de son compagnon d’arme et de promotion , à savoir l’autre neveu pré-
sidentiel le nommé Edgar NGUÈSSO(ELENGA AOUROU MBOWA).

C’est à partir de là que commencera leur association  de malfaiteurs  jusqu’à sa prise de fonction, a la tête de ce club en 2008 , tout ceci dans le
but principal de couvrir les ambitions du neveu de l’autre ,à la recherche d’une crédibilité aux yeux de son oncle de Président dans la course
effrénée vers la succession familiale.

La crise conjoncurelle artificielle qui secoue le CONGO dans sa transversalité ,va stopper nette, toute les activités qui encombraient l’agenda
malefique et malveillant de ses deux troubliants qui pour le premier , Rémy , commencait à ressentir dans ses entrailles les contrecoups de
cette entreprise commune, très destructrice et machiavélique , surtout qu’il pouvait se camoufler derrière ses différents trophées nationaux
et continentaux ,qui n’ont en rien changé, ni dans l’attractivité de la contrée, ni dans la promotion du football ,en particulier et du sport en général.

Plutôt que d’apporter des solutions durables à la renaissance de la capitale de l’Or Vert ,donc à toute la Vallée du Niari , la visibilité de l’AC LÉOPARDS
n’a été qu’un stratagème d’etourdissement , d’avilissement ,de contrôle,de surveillance de ces populations afin de maintenir la domination du pouvoir,
sur ces zones dont il refuse d’ accepter la différence et l’épanouissement privant du coup le CONGO tout entier d’une grande partie de ses richesses.

Ainsi soit-il.

Armand mandziono, Mwana Nzo, Le Nzoïste

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LA COMMISSION NATIONALE DU DIALOGUE: UNE INSTITUTION NEE EN PANNE ?

 

La divagation des émissaires venus de Brazzaville dans le but de rencontrer une diaspora constipée fait penser à un sacré disfonctionnement de l’institution dont le Ministre Martin MBERI  à la charge.

Monsieur le Ministre, faut-il croire sans trop faire travailler nos neurones que les délégations qui viennent rencontrer la diaspora sont sous votre contrôle ?
Permettez que je sois dubitatif et m’esseuler dans ma cage.

Trois tentatives dans la même semaine, mal ficelées et certainement mal intentionnées, obéissant toutes aux mêmes logiques surannées jamais remises à jour ont subi un retentissant échec.

1. Ne voyez-vous pas que vos émissaires dansent, si ce n’est plus vite que le rythme de votre musique, on dirait qu’ils entendent et exécutent une mélodie hors gamme jouée par un chef d’orchestre récessif ?
2. Ne voyez-vous pas que « les musiciens de l’orchestre dont vous êtes le chef » jouent en solo dans un même concert ?

3. Acceptez-vous d’être témoins de la confiscation progressive des débats concernant la consultation entre une frange de la diaspora et les émissaires d’officines qui brillent par une éternelle médiocrité ?

« Quand on n’a plus rien à gagner, parce que pris par le coup de l’âge ou pour une autre raison, on a tout à faire gagner aux nouvelles générations »

A un certain âge, il y a des postes de responsabilité qui sont une aubaine parce qu’ils permettent à un homme politique de rattraper les erreurs de son parcours et se faire applaudir.

On peut très mal commencer, mal parcourir et très bien terminer en fin de compte.
A quoi riment ces missions des émissaires de Brazzaville qui viennent rencontrer une diaspora décousue, allergique à l’esprit de solidarité, phagocytée par des éruptions idéologiques et d’intérêt égoïste.

Une diaspora des enfants indignes, les petits sorciers de Paris, véritable relais des incompétents et démons de Brazzaville qui tiennent les services de renseignements de Brazzaville.

Monsieur le Secrétaire Permanent,  n’oubliez pas, qu’entre le culte de la personnalité, les erreurs grossières, le caprice, la perte du sens des propositions, le mauvais choix des interlocuteurs, il y a une pente glissante qui mène à l’échec de votre mission.

Comme par enchantement, tout le monde parle du dialogue mais personne ne s’étonne de l’absence remarquable du numéro 1 de l’institution en charge d’organiser ce dialogue. On a l’impression que ceux qui seraient les hommes de l’ombre sont mis dans la lumière et la Commission  National du Dialogue attendrait magistralement l’exercice de sa fonction d’accoucheur.
Quand l’institut couve un échec !

Jetez un coup d’œil rétrospectif sur notre histoire, vous vous en rendrez compte ; nous nous abstenons de juger prématurément votre institution mais on n’est pas loin d’un « Rêve Brisé ».

Dès lors qu’on tue un Juste qui pouvait incarner l’Espoir, Egalité, Tolérance, Solidarité, son deuil concerne tout le monde.
Sur quels critères vos émissaires viennent rencontrer des acteurs de la Diaspora ?

« Quand un Avocat met sa robe, c’est pour défendre une cause et quand un opposant affamé met son costume c’est pour pleurer disette »
La panne démocratique au Congo phagocyte toutes les institutions dont la vôtre, même les futures connaissent déjà leur sort.

Monsieur le Secrétaire Permanent,

Le MPAKASSA n’est pas un prophète du pessimisme, mais il est persuadé que votre institution court le risque d’embrasser fortement et profondément une impasse, et vous auriez une fois de plus gagner en échec alors, même que toutes les filles et tous les fils doivent regagner le « Nzô », la maison CONGO.
La classe politique usée est complètement dépassée, les hauts cadres et fonctionnaires ont déjà implosés, les pseudo- intellectuels se divisent dans une interminable logique de dialogue pendant que les populations et le pays dépérissent.

Où est votre intérêt ?

Rappelez- vous, que non seulement de l’impasse naissent des crises, mais aussi des cendres des précédents dialogues couvent  un feu, et ce n’est pas le carburant, et les gens formées pour raviver les braises qui manquent.

Caïde de MPAKASSA, Le Nzoïste

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SASSOU NGUESSO VERSUS LA DIASPORA : LES ORIGINES DU CONTENTIEUX

  Au regard des derniers développements politiques , sur la  rive droite du Pool- Malébo , il y a lieu de se demander ,d’ ou viendrait l’animosité , entre Denis SASSOU-NGUESSO  aux abois et sa Diaspora en totale perdition .

Essayer d’en  n énumérer , les unes après les autres, c’est écrire les mémoires d’un congolais de l’étranger dans les abysses de l’abîme de son existence  d’exilé , qui au départ n’en était pas un .

Néanmoins, nous nous intéressons aux relations transitives de la véritable sphère  politique congolaise, qui’ se définit comme suit ;mouvance présidentielle, pseudo opposition et une caisse de résonnance incarnée par la diaspora qui, en réalité devrait avoir d’autres exigences et contributions face au pouvoir de Denis SASSOU-NGUESSO.

Malheureusement cette dernière catégorie,  est tombée dans le piège  des pseudo -opposants , qui ont réussi à  la détourner , de ce qui devrait être son vrai rôle : c’est à dire une force de propositions à l’instar de celle du RWANDA dirigé par  le dictateur éclairé  PAUL KAGAME .

Pour comprendre l’origine du mal , il est toujours impérieux de se plonger dans les méandres de l’histoire politique congolaise  .

Durant  son premier règne dictatorial , remontant aux mouvements de réajustement du  31 juillet 1968 d’obédience  , celle du socialisme scientifique , jusqu’ à l’avènement de la Conférence Nationale Souveraine de 1991 , et même avant cela, n’a jamais séjourné longtemps en dehors de son Congo natal.

Cet homme du vrai terroir avait toujours une certaine idée de ses compatriotes  qui venaient de l’hexagone et d’ailleurs, après avoir suivi un parcours d’études données .

Ce sentiment mitigé était teinté à la fois de crainte , de haine, d’admiration, de considération, de rejet …, sans pour autan que cela ne puisse l’éclairer sur le réel potentiel de cette catégorie social.

A la suite de son échec cuisant , à l »élection présidentielle de 1992, première expérience multipartiste au suffrage  universel direct, SASSOU NGUESSO va découvrir ce qu’il n’a jamais imaginé  et redouté  un  exil , dont on ne peu qualifier la nature, volontaire ou forcé, dans le pays qui regorge le plus grand contingent de ses concitoyens, qui d’ailleurs n’avaient pas pu être associé  à ce dit exercice électoral.

C’est pendant cette période à tout cassée qui aura  duré quatre années,  qu’il a commencé à percer les mystères cachés de la vie de cette composante de la population congolaise, Cette appréciation des hommes dans leur globalité s »est faite au fil des échanges entre le simple citoyen qu il était devenu et ses compatriotes de tous bords et  aux statuts diversifiés, composé à la fois des jeunes loups  révélés et l’ayant vilipendés pendant la C.N.S. d’une part et les autres néophytes dans ce monde, qui venaient s’ enquérir de son expérience et aussi, lui faire des propositions, d’autre part.

C’ est de ces moments là ,qu’est né , un sentiment entre lui et ses compatriotes ,dont la profondeur n’était connue que de lui même, d’autan plus que en fin politicien, il avait toujours donné   , cette impression de proximité, de complicité, d’empathie, de simplicité au point d’apparaître aux yeux de ceux- ci comme le seul homme capable , le recours ,  de corriger  les ratés de cette première  expérience de l’ère démocratique.

Juste avant son retour, au Congo marquant la fin de son exil, il tint une dernière rencontre, qu’ il n’  hésitât pas de qualifier de citoyenne, qui eut  lieu dans  le 14 eme arrondissement de Paris , à l’ex Hôtel Méridien Saint- jacques, au cours de laquelle un de ses propos  révélera , une première  cassure dans  la relation incestueuse entre les deux catégories.

Le fait: à la question de savoir , « Sil revenait au pouvoir, allait-il collaborer avec ses vieux briscards du PCT? « 

Il répondit: « … on a vu pendant la conférence Nationale des jeunes ayant très peu de choses dans le ventre, se livrer pour peu auprès des vieux… »

La messe etait dite à partir de là, bien  que ceci soit passé inaperçu pour le plus grand nombre dans l’auditoire ?

Quelques jours plus tard, le 17 Février 1997 l ‘homme s’envolera pour Brazzaville afin de mettre en pratique sa stratégie conçue et élaborée sur les bords de seine, la suite nous la connaissons.

Cette diaspora qui s était tant investie, attendit les fruits de son labeur qui n’arriveront  quasiment pas , sinon pour peu des gens mais  avec son lot de malheurs.

Se sentant perdue, cette diaspora se livrera par la suite, surtout après les échéances pseudo- électorales de  2002  , au leader le plus offrant ;  MATHIAS DZON.

Cette étape marquera  le début de la marche vers la perdition.

Armand MANDZIONO ,Mwana Nzo, le Nzoîste

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2021 OU LE MANDAT DE LA MORT

 

La réflexion du nzoïste, c’est la force de l’opprimé. Le règne à vie de Denis Sassou Nguesso fut proclamé  par le premier Français de l’époque, en la personne du Président Jacques CHIRAC à Luanda Capitale de L’ANGOLA , le 18 Décembre 1998 en déclarant  ceci, que DENIS SASSOU NGUESSO est l’homme de la situation pour le CongoBrazzaville et la suite est connue de tout le monde, depuis  cette déclaration jusqu’à nos jours.

Nul n’est besoin de se  poser la question de savoir , est ce que l homme va  rempiler ou non  en 2021?

L’expérience de 2009  nous a tellement édifier sur la personne et la forme tentaculaire de son pouvoir, que d’aucun d’entre – nous n’arrivent pas  à cerner.

Depuis la fin de ses deux mandats réguliers de 2002 à2016 , le Congo Brazzaville est rentré dans le cycle du serpent. Cette étape se manifeste par une atrophie de la logique du système de gouvernance, déliquescence du tissu économique , détoriation des valeurs patriotiques, une disparition en cascade et récurrente des faiseurs du pouvoir,  le délaissement des besoins primaires du peuple, dépravation  aggravée  des mœurs ,destructions et vétustisité  de toutes les infrastructures qui ont fait les beaux jours du régime  Marxiste d’obédience socialiste depuis l’époque de Marien Ngouabi…

Après l’hécatombe et le coup  chaos, conséquences  d’un processus électoral désastreux et contesté  , dont les congolais subissent encore les soubresauts, il serait illusoire de s’imaginer et d’ imaginer, d’aborder l’échéance de 2021 tant que, le contentieux électoral en cours n’aurait pas trouver une issue consensuelle .

La conjoncture aussi bien nationale, qu’internationale à travers les différents signes et manifestations montrent bien que, plus qu’on  se rapproche de 2021 , les difficultés et les calamités iront crescendo.

Telle est la loi de la nature chaque chose à un début et une fin, tant que nous resterons avec les mêmes acteurs politiques , qui ont atteint leurs limites les difficultés du Congo iront crescendo.

Il ne faut pas s’en cacher , la classe politique des révolutionnaires doit favoriser les conditions d’une transition générationnelle afin, d’éviter un chambardement dont les conséquences seraient incommensurables, au risque de donner raison au propos prophétique du Général de division ,BÊNOIT MOUNDELE NGOLO dans son essai snopractique , intitulé

MEA MAXI MA CULPA , car sans cela toutes les manœuvres mêmes sufairefatoires ne pourraient , mettre à l’abri mêmes à l’abri ceux qui ont pensé , prendre toutes les dispositions les plus inimaginables pour pouvoir échapper à cette fin de règne, parce que c’est de ça qu’il s’agit .

Les exemples sont légions et lointains , mais nous devons nous souvenir de ce qui s’est passé récemment autour de nous.

Aucun dictateur , ne peut avoir le temps de préparer sa succession.

Armand MANDZIONO ,Mwana  Nzo, le Nzoïste

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DIALOGUE OU PAS DIALOGUE : LES DICTATEURS DE LA DIASPORA.

 

Il n’y a pas plus sourd , que celui qui ne veut pas écouter.

La politique est une affaire de compromis. La haine n’est pas du devenir de L’humanité en général ,et du Congo en particulier.
Diaspora ! « L’entrée en politique avec un crâne inconscient, ferait de vous  pire que ceux qui font l’objet d’incessantes et impitoyables critiques ».
Le dialogue n’est pas un procédé enclavé , l’objet étant  clairement défini comme un lieu de réparation de l’injustice à la hauteur de la justice des sages.

Les Congolais doivent-ils continuer à se mordre la queue autour des sujets qui regardent la nation toute entière ?

S’acharner sur  une personne pour guérir le mal du Congo, c’est se limiter à croire ,que cette dernière serait le dernier raisin de la grappe du mal que connait le Congo .

Or nous sommes en présence d’une situation, comme dans  un cas  de métastase, ou un système dans lequel, nous ne devons pas nous  le cacher , on  y trouve certains aboyeurs de la diaspora farouchement opposés au régime de Brazzaville.
Le Congo est un patrimoine commun et le dialogue devrait aussi , bien qu’ immatériel mais vivant , en être un qui engage tous les Congolais au-delà des convictions.

Pourquoi certains congolais useraient-ils de la ruse dans ce genre de situation, sachant  que cela contribuerait à comprimer le Congo ?
Pourquoi une classe  politique donnée, ou un club d’amis , doit-il s’approprier la meilleure place au chevet d’un Congo malade, comme  nous le savons bien certains d’entre eux sont des vecteurs ayant conduit le Congo dans cet état morbide ?
Le Congo (patient) est  dans le coma, mais  tous les médecins qui se constituent dans l’ensemble de la diaspora s’accordent sur ce point, sauf une seule personne porte un  avis contraire  : Celui qui en a  la charge  .Cela veut dire que nous passerons et le Congo restera.

Tous les Congolais de la diaspora sont devenus des spécialistes de la politique, mais vous en conviendrez avec moi que si un seul s’essayait à vous en expliquer les contours et les détours ,  et qu’ à la fin  vous en  compreniez quelque chose , c’est qu’il vous a mal expliqué.

Donnez une lance à eau à un pyromane, est non seulement la meilleure offrande ,que les Congolais savent faire, mais aussi c’est ce qu’ils savent pratiquer comme  religion avec zèle. C’est la posture  préférée des partisans du bal des hypocrites.
La crise actuelle dans laquelle le Congo est plongée est une construction égoïste et barbare des politiciens  véreux.

Comment réussir un dialogue si la politique clanique est sous haute protection dont les avaliseurs sont certains aboyeurs de la diaspora ?
Ceux qui tiennent les manettes du Congo et leurs marionnettes qui se  trouvent aussi bien  dans la majorité présidentielle  que dans la pseudo opposition qui  , par ailleurs récusent  par méchanceté le dialogue, n n’échapperont pas aux conséquences de leurs prises de positions et seront rattrapés  par le cours de l’histoire .

Les divergences et les préjugés qui symbolisent la diaspora de France sur le dialogue qui ,d’ailleurs n’est qu’une parmi tant d’autres , contribuent à envoyer le Congo au pilori.

Certains compatriotes se cloisonnent et se lancent dans un combat dans lequel   , ils ne sont pas capables de s’ approprier les tenants et les aboutissants .

Si ces efforts déployés  dan ce combat ne sont pas  sincères, ils vont alors à vaut l’eau ; insister  dans ce sens serait nous immerger dans une vraie scène de diversion et l’on peut dire sans détour qu’ils sont complices.
Aucun Congolais seul ,ou un club d’activistes politiques, ne peut prétendre avoir sa place au panthéon des libérateurs du Congo.

C’est vrai que ,quand un prêcheur chevronné de la paix, devient un cynique et adepte invétéré de la loi du plus fort  et de la ruse, il n’y a qu’une seule chose qu’ il faut retenir  : Rester sur ses gardes et avoir la tête froide .

Autrement ,cela ne suffit pas pour autan d’ abandonner le combat.
Le Congolais a facilement diagnostiqué le mal dont souffre le Congo, mais il éprouve d’énormes difficultés à le guérir.

Combien d’Hommes Politiques compte la Diaspora ?
Combien d’Hommes d’Etat en puissance compte la Diaspora ?

Si le dialogue est le seul moyen pour sortir le pays de la situation que nous décrions tous , il faut donc  y aller.
Ce n’est pas en tournant le dos aux choses qu’on leur fera face.
Ce n’est pas en allant au dialogue que l’on sera obligatoirement encerclé.

Les chemins de la vie  sont faits  pour être arpentées dans le sens de la montée et de la descente.

Arrêtons de chercher à montrer pattes blanches dans la situation du Congo. Si ceux qui sont aux commandes du pays ont tort de l’avoir mis sous terre, nous aurons aussi tort de n’avoir jamais tenté de les en  empêcher.
Arrêtons d’apporter des pierres calcinées à l’édifice.

Diaspora ! Soyons  des femmes et des hommes ordinaires par qui sortiront des solutions extraordinaires.
Au-delà de l’appel à la tolérance et à la sollicitation d’une confiance renouvelée qui est de bon aloi, il faut qu’on soit en mesure de se remettre entièrement en question, et surtout de postuler pour une immuable promesse de changement.

« N’ACCUSEZ PAS LE PUITS  D’ETRE TROP PROFOND SI VOUS PRENEZ UNE CORDE TROP COURTE ».

Ceci dit, faites le bon choix de celles et ceux qui peuvent parler au nom de la diaspora, c’est pourquoi la consultation  serait  une initiative inévitable, prélude à la concertation nationale inclusive,  pour laquelle   Maitre MBERI Martin doit s’investir entièrement conformément aux lois et règlement  de la république   pour qu’il réussisse à sa mission.

N’ayons  pas peur des membres de la diaspora qui ont le talent de caméléon, car il faut savoir qu’en les mettant sur un tissus Ecossais, ils nous feront qu’ un bras d’honneur.
Caïde DE MPAKASSA Le Nzoîste.

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LE TEMPS DE LA CONTESTATION EST FINI : DES VENTOUSES DE LA DIASPORA .

« Il y ‘a un temps pour faire la guerre et un temps pour la paix et un autre pour rebâtir »
« … Il y a là un temps pour toute chose et pour toute œuvre »

La crise politique au Congo n’est pas conjoncturelle, elle  est structurelle. Nous ne le dirons jamais assez, le Congo va très très mal. C’est le diagnostic le plus évident que tous les Congolais peuvent établir.

Nul n’est besoin d’intelligence particulière pour le comprendre. Tout est en déliquescence.
C’est dans ce contexte qu’on a assisté il y’a quelques jours, en France, une tentative de rapprochement à laquelle le pouvoir de Brazzaville nous a habitué ces dernières décennies.

Il s’est agit , cette fois-ci de la volonté de dialoguer avec les Congolais de France. C’est dans ce cadre que certains (parmi) de nos compatriotes sur la place de Paris ont été appelés, suscitant d’ailleurs moult réactions que ce soit au Congo , en France ,   en  Belgique,  au Canada et aux  Etats Unis .

A la différence de ces dernières années, nous avons pu constater l’implication du chef de l’Etat, qui a tenu personnellement  à rencontrer ses concitoyens. Ce qui n’a pas été rendu possible par le saccage de l’ambassade au matin de ladite rencontre.

Ecran de fumée ? ou réelle volonté de dialogue ?

Les Républicains, les Patriotes que nous sommes , saisissons cette occasion pour prendre au  jeu  le Président de la République. Cette approche a eu le mérite, au moins, de distinguer un grand nombre de Congolais désireux de s’inviter et de s’investir dans le développement socio-économique et politique du pays,  pour cela  les conditions doivent s’y prêter.

Le constat d’échec patent des politiques publiques  mises en  œuvrent  par le régime actuel  , nous emmène  à prendre nos responsabilités en acceptant  la main tendue enveloppée de velours, afin de sortir le pays du bourbier dans lequel il se trouve.

C’est dans cette optique  que  des concitoyens  s’engagent humblement d’ apporter  leur modeste contribution aux débats qui en découleront  .
Cette démarche nécessiterait au préalable de la part du Conseil National du Dialogue sous la houlette de son Secrétaire  Permanent , en la personne de M’BERRI Martin  , l’urgence de l’ouverture d’une consultation globale.

.Aujourd’hui, le fait que le Congo se trouve à la croisée des chemins , il serait souhaitable et impérieux , que cette occasion qui pointe à l’horizon soit un moment d’engagement et d’introspections pour qu’en fin toutes les filles et fils de notre pays trouvent là l’occasion d’exprimer leur attachement à cet idéal de reconstruction et de réparations de  tous les ratés des politiques publiques antérieures, car en se défaussant  nous serons tous perdants .

Aucun de nous, n’a le droit de se dérober s’il aime son pays. La diaspora n’est pas un organe à partir duquel un homme peut  se lever comme leader pour imposer une ligne de conduite à qui que ce soit, en proclamant tout et avec une véhémence inouïe  » que celui qui va  au dialogue est un mendiant, un traître, un vendu, une taupe… »

Le Congo est notre patrimoine commun, le seul. Nous devrons nous mettre à son  à son chevet, tous ensemble et en communion sans  préalable aucune.
L’heure n’est pas à la recherche des coupables, la responsabilité des uns et des autres est de facto établie.

Ce n’est pas une conjecture. Le Congo est en danger et cela ne peut plus durer.

La seule question qui vaille est  : Sommes-nous capables de relever le défi ?

Ceux qui répondront par l’affirmative seront emmené dans tous les cas à formuler des pistes de réflexions, des propositions concrètes, chacun dans son domaine d’expertise.

Les autres devront tout simplement se taire à défaut d’émettre des propositions, des idées utiles pour l’ensemble des Congolais qui souffrent énormément.
Nous devrons être sincères  sur un point, nous ne serons jamais d’accord sur tout. La preuve en est que sur l’éventualité d’un dialogue, il y a des pour et des contre.

Ce qui nous intéresse ici c’est ceux qui sont contre. Pour la grande majorité, c’est la méfiance qui les rebute et pour la minorité qui reste ,que ce soit ceux qui sont au Congo ou dans l’hexagone, c’est la peur de perdre quelques avantages.

La volonté dont il est question aujourd’hui, est la même que celle de Tony Gilbert MOUDILOU   avait souhaité en son temps, il s’était même d’ailleurs proclamé Premier Ministre en Exil pour apporter sa voix et son expérience.
Qu’allons-nous faire pour sortir le pays de la misère parce qu’il est clair que ceux qui  ont  la charge des destinées du Congo ne peuvent plus rien offrir si ce n’est l’ouverture.

Il faut maintenant arrêter avec ce « nonisme » enfantin que nous servent les pseudos politiques en panne d’idées sur la place de Paris.
Il ne s’agit pas de nos petites personnes, il s’agit du peuple.

Rappelons-le, qu’il s’agit ici du grand peuple Bantou qui se trouve au Congo. Que les activistes politiques a l’instar de : MAPINGOU  Marc, NITOU  Roland, Alexis MIAYOUKOU, TOUNGAMANI Benjamin, NDOBA Magloire MADEDE Charles ,MAWAWA KIESSE , OKONGO ITOUA, N’TSILA Francis, OUABARI, KOUKEBENE,MALECKAT, SATHOUD,MOUSOUNDA,MASSENGO TIASSE,MARION MOUANDZIBA ,Fernand NDALLA et son MPC,RICHARD BEAUDRY EHOULOUNG, BEAUDRY NKOUNKOU,COLONEL LONGUI, CICERON MASSAMBA,ADRIEN HOUABALOUKOU,SADIO MOREL KANTE, MABILEMONO,SAMBA DIA KOUMBI ,FERDINAND MBAOU,MBIKI DE NANITELAMIO,RAPHAEL GOMA,SANELLIE  ET ZOIA TAMBA-TAMBA ,HERVE MAHIKA,GUY MAFIMBA , Gertrude MALAOULA, Claude BERRI ,Jean Noel MABIALA, Clarisse AKOULA, Bernard PONGUI, ARISTIDE MOBEBISSI ,LE President  KARANDA, Marie Louise ABIA et consort ,s’illustrent dorénavant par une force de proposition qualitative nécessaire au développement du pays.

Qu’ils s’illustrent (s’ils ont en la capacité) par des stratégies viables à moins qu’ils soient là pour endormir les bonnes gens. Le combat contre les biens mal acquis ne sert à rien tant que le pouvoir, le vrai : les régies financières, la justice, l’armée, la police, les syndicats, même l’opposition politique resteront mono -ethniques.
Nous devons créer des synergies avec nos compatriotes se trouvant au pays, eux aussi ont leurs contributions à apporter, ils ont des idées pour améliorer nos politiques.

Le Congo ressemble aujourd’hui à un bateau sans gouvernail. Nul programme existant ne peut tenir et apporter satisfaction tant les acteurs ne sont pas à la hauteur des enjeux de cette ère de verseau bien amorcée.

Le biorythme du pays ne permet plus, à l’heure actuelle, quelque largesse que ce soit à tel ou tel clan. Notre République requiert des gens de confiance et de convictions profondes. Elle a besoin de retrouver, sinon recréer un magistère capable de nous emmener vers des cimes de notre histoire.

ARMAND MANDZIONO , Mwana Nzo, le Nzoïste.

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