Les fermes de Tata Nzo

En général  pour détecter  l’ origine d’un mal il faut fouiller dans ces racines comme quoi ce que nous vivons au Congo à ses sources dans notre histoire .

Il n’est point d’événements qui ne puissent trouver d’explications en dehors de sa sphère vitale.  58 ans après l accession à la souveraineté , notre pays est assez riche d’événements  à caractère. politiques ,religieux, judicaire , familial.

pour ne pas se servir de cette boite à outils afin de  faire une meilleure exégèse de la situation actuelle . Aucun  événement ne se produit de façon spontanée, il est toujours le résulta d’un cumulus de facteurs auquel on prête très peu d’attention par fainéantise intellectuelle l’homo politicus congolais  est friand des évènements factuelle au point ou ses jugements sont statiques.

Les évènements que nous vivons aujourd’hui ,déclenchés par les différents rapports du FMI ne sont que l’arbre qui cache la forêt. cette appréciation peu paraître réducteur à l’entendement de certains.

En imaginant le Congo en situation d’une embellie financière, l’observateur avisé douterait de la capacité des congolais à remettre en cause le régime actuel d’autant plus que il n’y a rien de nouveau sous le soleil.

Comment comprendre que, depuis le retour de l’autre là les conditions humaines sociales , matérielles  des congolais ne font que se dégrader, les restrictions des droits et des libertés publiques avec, ce peuple ne s’est jamais rebeller contre l’ordre établi parce que l’argent coulait à flot ,  en général chacun  pouvait  y trouver son compte,   en s’adossant à une niche basée sur le clientélisme.

Pourquoi alors être surprit que, ce régime  n’entende pas les supplications d’un peuple en détresse qui a toujours accepter les caprices de son  prince tant que le lait et le miel coulaient  ,Force est de constater  qu’il ya eu tout ce temps une idylle du peuple avec sont prince, nonobstant, la détérioration des conditions générales de vie.

En observant l’ébullition actuelle on se croirait dans une arène  de fous qui s’ ignorent. qu’est ce qui à changer depuis ? Sinon  rien . Alors pourquoi se plaindre maintenant , puisque nous vivons dans  la braise et nous n’en brûlons pas .

N’est pas de la schizophrénie ?

En scrutant  bien l’actualité du moment , il est surprenant de constater  qu’ avec l’affaire Ntumi , qu’il y est des gens qui s’attendent à un troisième  round de négociations qui les remettrait  en selle, pour assouvir leur dessein politique.

Alors que , les racines du mal n’ont pas été dessoucher, là se trouve bien le paradoxe congolais.

Armand Mandziono Mwana Nzo, le Nzoïste.

 

À propos de la pétition Vous croyez que c’est en signant une simple pétition que sassou va partir !

Ah Pauvre Tougamani, pauvre Alexis, pauvre Mawawa…… Vous faites vraiment rire !! Bien des opportunités auraient dû être exploitées, vous aviez fait entrave, croyants devoir revendiquer l’exclusivité et le monopole de la pensée .des occasions manquées auraient pu mettre à mal le régime .

Vous avez fait les fieureux. Vous, voilà réduits à faire des pétitions sinon à ne plus exister qu’à coups de communiqués de presse. Quel dommage ! C’est malheureux. Vous êtes vous posés un instant, la question de savoir comment il ya eu tant de monde dans les rangs et que aujourd’hui tout ne soit réduit qu’à portion congrue !!! Je dois dire aussi que le ‘manifeste’ adressé au fmi par vous est une plaisanterie.

Car le fmi est banque fonctionnant selon une logique propre à toutes les banques, selon une orthodoxie qui fait fi de la politique. Ce n’est pas parce que le Congo est une dictature qu’elle ne lui prêtera pas , sinon la Russie de poutine n’aurait pas eu de crédits.?

Il faut vous rendre à la réalité. Car la banque en prêtant, attend un retour en investissement, car. Il s’agit d’un investissement. Elle tient donc compte de la solvabilité de l’emprunteur.la solvabilité actuelle du Congo est sujette à caution. Le moment où le Congo satisfera aux exigences du fmi, elle lui prêtera et passera outre les revendications politiques de . Parce que la banque est avant mercantile ie mue par le seul profit.

Par contre, si vous parvenez à une instabilité politique, institutionnelle , une paralysie totale telle que la banque craint de placer ses billes dans le pays avec un ratio capital-risque élevé, politiquement vous avez gagné.

Ce dont nous ne semblons pas être capables. Nous ne sommes que des petits joueurs !!!! Des moucherons, disposant de très peu d’aptitudes à organiser et mener efficacement des batailles. Nous sommes loin de pouvoir jouer les David contre goliath.la pétition en soi n’est une nouveauté, elle avait déjà été expérimenté dans les premiers heures de la lutte avec les Solange bounzoumou, en 98pour arrêter la guerre du pétrole , en vain.

Elle est plutôt une arme redoutable pour les démocraties avancées. Il suffit qu’un notable en France fasse l’objet d’une pétition pour qu’il ait des nuits blanches . Mais pas pour les dictatures d’Afrique qui plus est, celle du Congo qui n’en ont que cure de ces morceaux de papier !

Nous sommes victimes de nos propres fautes, entre le mandarinats de certains, entendu nombrilisme et la légèreté des autres, nous avons du chemin.

Il ya lieu de s’en remettre entre les mains de la providence pour espérer revivre le Congo d’autrefois où il suffisait d’afficher ses origines congolaises pour s’attirer l’admiration des autres. Une introspection de nos consciences est nécessaire pour espérer sortir du bourbier. À bons entendeurs, salut

. **massamba ciceron est un libre penseur.

 

 

  Savoir et comprendre les enjeux de la sphère politique congolaise doit être au , centre de l’esprit du souverain premier. Pour ne pas dire que le femme et la justice sont difficile à aimer dans un état qui n « a  pas de corps. Mais qui sont en réalité Mathias Dzon et Claudine Munari deux grandes figures politiques, qui ont rendu des bons et loyaux services à l’autre là inutiles de les énumérés.

Mais pourquoi leur dernière,  sortie politique suscite tant d’engouement ? C’est tout simplement, parce que les congolais détestent réfléchir, ils s’intéressent plus à la politique spectacle? dans la confusion totale d’une république de crapule.

Souvenons-nous de leurs passés respectifs ces vingt cinq dernières années et des résultats des politiques menées pendant ces années, dont les effets continuent à courir.

Mais a quoi jouent Mathias Dzon et Claudine Munari, si ce n’est pas deux réservistes de la majorité présidentielle, pour monter au créneau, lorsque le bateau tangue.

Cette attitude protectrice permet d’empêcher tout accès des nouvelles énergies d’émerger dans le combat politique de l’opposition congolaise.

Nul n’est censé ignorer que dans tout corps de métier on doit penser au renouvellement de génération or, dans le cas précis aucune nouvelle tête n’a pu émerger de leurs partis respectifs, bien pire comment expliquer lors des joutes électorales aucune autre candidature n’est présentée en dehors d’eux mêmes.

Ce qui prouve à suffisance qu’ils sont dans des stratégies individualistes car, pour postuler, il faut avoir de l’argent qui est le nerf de la guerre et pour avoir de l’argent, il faut avoir la signature dont ils sont   titulaires. en tant que cf de parti.

Curieusement ces partis sont dépourvus, des sections féministes et des jeunes pour mieux coller à l’image de la maison mère qui est le PCT qui, aujourd’hui elle même est essoufflé parce que depuis 2016, fonctionne au mépris de ces statuts, rejoignant ainsi ces échoppes politiques dirigées par ces pseudos leaders de l’opposition dont les partis n’ont jamais tenus des congrès de renouvellement des instances dirigeantes.

La banqueroute dont ils nous parlent n’est que la résultante des effets à consolider  des gouvernements  successifs, de ces vingt cinq dernières années, dans lesquels ils ont participé.

Comme quoi si fatwa il y devra ,s’appliquera à tous sans exception aucune.

Madame Munari qui, dernièrement a fait un clin d’œil à la diaspora, diaspora que connaît bien son colistier Mathias dzon pour y avoir entretenu des chapelles(Codicord,Congo ya sika,comité d’action  j en passe) et d’ailleurs qui ne fait plus signe de vie lorsque il s’y séjourne, n’ont jamais poser le problème de vote des congolais de l’étranger alors pourquoi s’adressent ils a des fantômes

Ces pauvres congolais qui n’ont plus que les réseaux sociaux, pour rappeler leur existence dans la citoyenneté congolaise souhaitent intégrer activement le jeux politique sur le terrain or, le fil conducteur entre la diaspora et les partis politiques  de l intérieurs demeurent inexistant.

Mais finalement à qui profite ce sauvons-nous nous mêmes de la majorité présidentielle ?

Armand Mandziono Mwana Nzo, le Nzoïste

Quelque soit la durée de la nuit le jour finit toujours par apparaître.

Nul n est censé ignorer que le mobile pour lequel Ntumi a fait l’objet d’une traque par les éléments de la force publique est la contestation des résultats des pseudos élections présidentielles du 20 mars 201  proclamée nuitamment le 5’Avril 2016, il sied de rappeler que celles-ci se déroulèrent, le lendemain de la date anniversaire d’un des candidats présupposé vainqueur par une certaine partie de l’opinion nationale; celui-là même qui aujourd hui croupît dans les geôles de la république  pour avoir refuser de reconnaître la victoire de l’autre là et appeler pour cela à la désobéissance civile .

Sur crime de lèse majesté a servi d’alibi à ce régime qui comme toujours ne se nourrit que du sang et des larmes des autres. Comble du ridicule et en mal d’inspiration ce régime dont l’exutoire est connu à trouver l’occasion de remettre en selle son poulain et partenaire de la paix l’incontournable révérend pasteur dont les enseignements sont contraires à la spiritualité Kongo d’où il prétend puiser ses sources.

De là à imaginer une communion entre le général Mokoko et le révérend pasteur Ntumi il n’ya qu’un pas à faire sinon comment imaginer avant le 4 avril Ntumi qui n’a jamais donner son point de vue sur la nature des résultats des élections devient l’homme à abattre  , tandis que celui qui a appeler à la désobéissance civile fait l’objet des dorlotements de la part du pouvoir et de ses alliés afin qu’il revienne à la raison.

Ce que l’on craignait arrivât finalement avec l’attaque des édifices publics de l’arrondissement 1 par un groupe de miliciens supposés etre à la solde du pasteur Ntumi, qui sont en réalité la soldatesque du régime de mpila à la tête de laquelle se trouvait un certain Hydevert Moagny député de sont état, les archives de télé Congo ne peuvent le contredire.

A partir de là tous les ingrédients étaient assemblés pour nous concoctés une bonne sauce politicienne dont les effet néfastes continus à courir. Point n’est besoin de rappeler les péripéties qui ont émaillé cette période qui ont mené le gouvernement à prendre des mesures conservatoires tel la dissolution du CNR et le mandat d’arrêt contre Ntumi et ses acolytes de l’intérieur et de l’extérieur du pays se trouvant en France aux Etats unis et au Canada.

Après des pressions et contestations de tout horizon cette rocambolesque affaire Ntumi qui entre temps etait nier par le tout puissance homme Dieu disant qu’il n’y avait pas de crise dans le pool connait un dénouement soudain avec le cessez le feu de décembre  2017 suivi quelque temps après de l amnistie du principal fugitif alors que cette affaire n’a jamais connu de dénouement judicaire.

Ou est alors, passé le contentieux électoral qui etait censé être le motif principal de la traque avec fracas de Ntumi voila encore une escroquerie politique sur laquelle l’opposition congolaise devrait rebondir pour relever les sempiternelles manipulations politiciennes qui caractérisent ce régime hideux, ne pas posé ce problème.

revient à cautionner la destruction humaine et matérielle qu’a connu cette partie du pays qui est le pool.

Ceux qui se réjouissent de la fin de ces d’hostilités, devaient avoir une exigence morale de demander la comparution de ntumi pour ce grief principal comme l’a toujours demandé le député Digne Elvis Okombi TSalissan   afin que la vérité puisse jaillir et les responsabilités établies, pour que nous rentrions dans notre histoire.

Armand Mandziono Mwana Nzo , le Nzoïste.

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Wa buka mwana ngana  lembo ni wo ka vutu ku songa

Ta vutuléno bio bi lembolo mu lutumu lua bantu

Ka bu layika kué miatélé mu bibuknku bikunku. Congo

Bala kéti mia zonza, Labakitula ba kuyu

Bonguéla mwana yi buidi.

Mfumu Gâta ngula bu nzonzi balombélé mu mona kia

Ku congo

Armand Mandziono Mwana Nzo, le nzoîtse