LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT SASSOU -NGUESSO .

Monsieur le président de la république,

C‘est avec un profond respect,révérence et grand respect que je me permets de m’adresser à votre haute bienveillance pour vous exposer la situation dégradante , indécente de la désacralisation de la fonction d’état par vos collaborateurs ainsi que celle de la jeunesse que vous avez appauvri sciemment en la privant d’éducation afin de mieux la manipuler et jeter l’opprobre à la sape qui est devenue un exutoire pour cette dernière.

Monsieur le président ,

Un homme qu’on ne peut persuader est un homme qui fait peur.

A entendre le narratif de la jeunesse congolaise vous êtes un saint mal entouré, un roi termite permettez- moi l’expression, appréciation pour ma part que je trouve très erronée , mais avec deux guerres successives je comprends le traumatisme de cette jeunesse brisée qui n’a plus de repère.

Il est temps que vous trouviez une solution à ce quiproquo comique , dont vous êtes le principal metteur en scène depuis plusieurs décades, puisque le choix de vos collaborateurs reléve bien de vous monsieur le président.

Après votre retour au pouvoir autoritaire je pense qu’il est du devoir du citoyen et du militant de la cause démocratique que j’incarne de porter à votre connaissance cette persistance et insoutenable désacralisation ,de la fonction d’état par vos collaborateurs , de cette perdition de la jeunesse que vous avez nourri d’espoir en déclarant l’année 2024 année de la jeunesse, mais hélas meurt de chagrin.

, Croyez-moi il ne s’agit pas d’une autopsie mais bel et bien d’une radiographie de la désacralisation de la fonction d’état par vos collaborateurs qui n’a jamais existé dans l’histoire de notre pays qui a pris essence sous votre règne .

Monsieur le président Pour votre gouverne , en s’appuyant sur les leçons de l’histoire de notre pays me référant aux années 70 marquées par l’avenement du PCT aux affaires publiques, début de votre éclosion politique dont le déclic fut votre accession le 10 mars 1975  à la fonction de ministre de la défense et de la sécurité, qui fit de vous le grand artisan de la déclaration du 12/12/1975 et qui marqua le début de votre accession au pinacle et ce jusqu’à ce jour.

Pour donner plus de contenu à mon propos, je me permets monsieur le président de rappeler quelques faits et anecdotes historiques, concrets , précis,non provocateur car l’ensemble de l’édifice politico -administrative ,militaire ,culturel et social dont vous

êtes l’héritier , le digne et fidèle continuateur s’est effondré sous vos yeux et  vos pieds alors que ,  vous aviez pris solennellement l’engagement d’y veiller contre toutes dérives ,mais malheureusement

vous en êtes devenu le premier pourfendeur .

Même si pour la jeunesse vous êtes perçu comme un saint , en vous trouvant mille et une excuses , monsieur le président

Permettez, que je puisse vous dire que cela est la conséquence du déficit d’éducation relative au mauvais partage des savoirs et des pouvoirs à cette pépinière, dont vous avez rompu les valeurs et traditions depuis les évenements tragiques de mars 1977 qui a coûté la vie au cardinal Emile Biayenda , au président Alponse Massambat -Débat ainsi qu’au camarade président commandant Marien Ngouabi votre frère et compagnon .

En tant que bon soldat formé sous le sceau de la dignité , de l’honneur et de la loyauté vous avez été incapable, monsieur le président de vous faire hara kiri pour le bien être de la nation , vous le soldat le plus gradé jusqu’à ce jours des forces armées congolaises, qui a frôlé la dignité de maréchal à l’occasion du forum national pour la paix de janvier 1998 marquant votre triomphalisme , vous avez préféré privilégier au grand dam vos intérêts égoïstes et personnels ,  pour le bien de votre clan au détriment des congolais qui ignorent la vraie nature des accords qui vous lient au Rwanda , et qui s’apparente a la NAKBA.

Ouvrant de facto la voie à votre condamnation populaire pour félonie et haute trahison.

En, usant de mon droit le plus élémentaire à la citoyenneté, je me permets monsieur le président de vous adressez , par avance mes vœux de félicité pour les fêtes du 13,14,15 Août ,marquant notre accession à la responsabilité pour laquelle vous êtes au commande depuis quarante années sur les soixante quatre .

Veuillez croire monsieur le président à l’expression de ma très respectueuse considération .

Armand Richard Mandziono

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La force résultante DE SASSOU-NGUESSO

En effet la médiocrité des gouvernants associées aux immuables de la diaspora dite militante font la force résultante DE SASSOU –NGUESSO.

depuis un certains moment l’incrédulité à atteint le summum dans le combat politique de la diaspora dite militante.

Force est de constater les intellectuels jouer au joyeux luron, aux amuseurs, boute-en-train dans des projets chimériques écrivant quelques pages de gribouillis sur les réseaux sociaux surtout dans les plateformes de discussion watsapp refusant en lieu et place une réflexion illico presto sur la déliquescence du pays pendant que les derniers de la classe excellent dans des montages vidéos et des lives pour leur visibilité encensant les dirigeants médiocres du Congo, il y ‘a de quoi se poser la question suivante en quoi se résume finalement

LE COMBAT POLITIQUE DE LA DIASPORA dite militante ?

Est ce en faisant des lives pour féliciter des irresponsables d’ un système qu’on est censé combattre ,neutraliser ou encore se congratuler, se complimenter comme le fond les intellectuels sur leurs projets cauchemardesques juste pour marquer leur existence dans le combat politique alors qu’ils

ont tous échoué et ont du mal , à ’accepter honteusement leur défaite.

la diaspora dite militante marche sur la tête ,pense par les pieds, elle est hypocrite, Sournoise, haineuse elle représente l’axe du mal du combat du peuple parce qu’elle joue le rôle du relais de la médiocrité des irresponsables qui gouvernent le Congo ,en les représentants sur les réseaux sociaux.

Il est temps qu’on dise à cette diaspora dite militante ,qu’elle n’est autre que l’émanation putride de la médiocrité des gouvernants, qu’ils couvrent des lauriers alors ,qu’ils sont tous sans exception comptables de la paupérisation , du clientélisme imposé au peuple auquel , ils ont inculquer la peur.

Sans oublier ces ministres guignols qui s’humilient en répondant aux communications téléphoniques de n’importe quels renégats de la diaspora dite militante s’exprimant avec un français approximatif comme si c ‘était des questions orales du gouvernement au parlement à ces guignols de ministres je n’hésiterai pas de leur dire qu’il me rappelle l’époque de ya noki noki tikect eko foutama na Mboka monkonzi , il est impérieux de rappeler à ses ministres -guignols que leur jeux de rôle complice avec les amuseurs de la diaspora dite militante pour divertir le peuple est bien connu maintenant .

Le pays régresse pendant que le monde avance , le jeu des marionnettistes du pouvoir ,qui manipulent

ceux qui se prennent pour des leaders d’opinions dans la diaspora dite militante n’est plus à démontrer, pour preuve tous ces pseudos leaders ne peuvent pas se mettre ensemble .

Armand Mandziono butélézi Buntsindi bua vindumuna ba Ngungu wakala mu kuenda Nkukirika

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QUI POUR SAUVER LE SOLDAT MABANCKOU


QUI POUR SAUVER LE SOLDAT MABANCKOU ?
Au moment où le Congo est secoué par une grave crise sociale, économique et politique,
doublée d’un projet de cession de nos terres, les congolais de tout horizon sont en proie sur
la toile à une querelle sur la sape, tel un contre-feu allumé pour étouffer les vrais problèmes
du pays. L’historique de ce débat commence par une prise de parole de l’écrivain Alain
Mabanckou sur une plateforme tik-tok en ce mois de juillet 2024. Une prise de parole dans
laquelle il critique les sapeurs sous les angles sociaux, sociétal et économique. Il ne fallait pas
moins pour provoquer une levée de bouclier chez les adeptes de cette culture qui ont réagi,
suscitant à leur tour une contre réaction de ses partisans.
Cette avalanche de réactions et contre-réactions devient virale au point de constituer le sujet
de conversations des chaumières, des arrière-cours, voire des prises de position publique des
divers milieux dépassant les deux camps initiaux.
Dispute d’initiés
Certes, indexer de manière anonyme est le plus sûr moyen d’indexer tout le monde, du moins
ceux qui se sentent morveux et qui n’ont point tarder à se moucher. La cible a-t-elle montré
un excès de sensibilité ou bien celle-ci était-elle mal choisie ? Faille-t-il voir par la réaction que
la saillie a été trop forte ? En tout cas, bien que certains n’osent publiquement pas exprimer
leur opinion ou la taisent pour diverses raisons, beaucoup n’en pensent pas moins.
Malgré les éclaircissements apportés par le Ministère de la Sape, le gardien du Temple, tel
qu’aime se définir le Général Firenze qui en assure la charge, les querelleurs semblent ignorer
la genèse et la nature du mouvement “la Sape”.
En effet, la Sape est par essence un mouvement social de résistance et de contestation contre
l’ostracisme des régimes politiques du PCT, jadis parti unique et parti-État, à l’égard d’une
frange de la population congolaise dans les années 70-80. Ce mouvement a ses figures
emblématiques. Il s’est développé, alimenté par la crise sociale du pays et par une politique
ingrate persistante à l’égard d’une jeunesse désireuse de s’en sortir par tous les moyens,
même lorsque la motivation politique n’en constitue plus, peu ou prou, la raison
fondamentale. L’esprit de la sape a évolué. Jadis le sapeur était ce jeune fondamentalement
réfractaire à l’incurie politique des dirigeants et des pouvoirs publics. En ce début du
millénaire, le sapeur est singulièrement la personne exprimant, indépendamment de sa
condition sociale, le loisir de s’habiller avec élégance et de paraître avec exubérance. La
conscience politique tend à s’émousser dans ce milieu devenu cosmopolite.
L’amalgame
L’amalgame surgit lorsque les auteurs de la critique imposent une exigence entre vivre la sape
et posséder un quotient intellectuel ; ou encore l’exigence entre vivre la sape et posséder un
patrimoine socio-économique. Pire, l’amalgame est flagrant lorsque le sapeur est accusé
d’atrophier la jeunesse.
La réaction à cette critique épouse la même virulence et la même tonalité. Le jargon classique
des échanges houleux appelle cela “rendre coup pour coup”, là où la sagesse recommande la
compréhension réciproque et la fraternité.

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En effet, il s’agit de part et d’autre de défendre deux fiertés qui en temps normal ne sont pas
antagoniques car l’une n’exclut pas l’autre. Malheureusement, compte tenu du contexte et la
formulation, ces deux fiertés se livrent une bataille rangée.
La fierté des sapeurs (être bien habillé) exprime un sentiment de satisfaction personnelle par
l’accoutrement. Ce sentiment est un élixir qui fait abstraction de la situation sociale de
l’intéressé. Nonobstant l’image extérieure du congolais, la communauté congolaise elle-
même ne s’y trompe pas sur cette fierté perçue comme une banalité sociale, à juste titre car
l’habit ne fait pas le moine, et l’être ne se définit pas par le paraître. Dans certaines sociétés,
c’est le savoir qui prime. Dans les sociétés matérialistes, c’est la richesse. Cette dualité
existentielle détermine parfois le respect dû à l’individu. C’est ce qu’on observe dans ce débat.
L’autre fierté est celle des pourfendeurs de la sape dont l’axiome semble être “je possède un
QI et un patrimoine, donc je suis”. Celle-ci place la réussite socio-économique devant pour
accompagner le paraître. Ou encore, l’attitude en public doit être en cohérence avec la
réussite. L’exigence de corréler la Sape à toute forme de réussite (sociale, intellectuelle, et
économique) est une intrusion qui violente l’estime individuelle d’un vaste milieu méconnu,
dès lors que l’indexation anonyme englobe indistinctement tout le monde. Ne point citer de
nom ne signifie nullement que personne n’est visée. Il y a des intérêts de classe. La classe des
sapeurs, stigmatisés incultes et dépourvus de patrimoine, s’est sentie visée et les plus illustres
n’ont pas tardé à réagir.
Mais entre ces deux fiertés, il existe une troisième voie. Celle de la conscientisation, la voie de
l’équilibre qui neutralise les passions, ne clive pas et ne porte pas de jugement blessant la
dignité, mais sonde la réalité profonde de l’existence.
Sur le fond
Peut-on réellement imputer aux sapeurs la responsabilité sur la jeunesse congolaise ?
La réponse est objectivement NON. La sape n’est pas une institution publique. Le jeune
congolais qui s’inspire d’un sapeur opère un choix individuel. La responsabilité de la jeunesse
est du ressort des pouvoirs publics dont le ministère de la jeunesse en assume la charge
institutionnelle. Comme tout phénomène culturel, la Sape impacte toutes les strates de la
société congolaise. Certains ont l’aisance de l’avouer, d’autres n’en font pas une condition
existentielle. En tout état de cause, l’observateur ordinaire sait distinguer une personne sous
influence ou non de la Sape.
Ensuite, reconnaissons que la Sape fait aussi parti de la distraction de la jeunesse congolaise.
Son ampleur préoccupe bon nombre de compatriotes sur la place qu’elle prend dans la
société. C’est pourquoi il est légitime de se demander si le Congo veut réellement éradiquer
le phénomène de la Sape, ou si le Congo souhaite éviter l’atrophie de sa jeunesse. Et comment
?
Tout d’abord, la démonstration n’est pas faite que la Sape est la cause d’une atrophie de la
jeunesse. La Sape apparaît plutôt comme un effet d’échappatoire à un mal-être social suivi
avec plus ou moins de réussite. L’atrophie est une diminution cellulaire ou organique sévère
pouvant aller à la dégénérescence. L’individu qui se lance dans la Sape fait preuve de volonté
d’émancipation sans forcément atrophier ses facultés cognitives. Le reproche peut être fondé

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lorsqu’au niveau sociétal, l’activisme vestimentaire isolé n’apporte rien à l’économie
nationale. Il peut dans certains cas entraîner une ruine économique individuelle. Mais cela ne
présume pas que tout sapeur est dépourvu d’ambition patrimoniale et de culture.
Objectivement, l’avenir d’une jeunesse n’est pas une équation reposant sur ce paramètre.
Ensuite, soulignons que le régime congolais post coup d’État est responsable de beaucoup
d’égarements de la jeunesse à laquelle il a conceptualisé et inculqué l’idéologie de la
SAPOLOGIE, bien différente du mouvement originel de la Sape. Ce régime réserve une place
prépondérante aux sapologues lors des cérémonies publiques devant un parterre d’officiels
du régime. Pour couronner le tout, il a un temps nommé un ministre de la sapologie. Chaque
année, il invite à Brazzaville des sapelogues venus de France pour festoyer. N’est-ce pas là la
responsabilité qualifiable d’opium pour atrophier la jeunesse !
Au lieu de ruser de contre-feu en projetant la responsabilité sur les sapeurs qui sont
historiquement des objecteurs de conscience, la critique devrait particulièrement cibler en
priorité l’État, en second les sapologues, des personnes instrumentalisées à dessein et
nourries au dogme du régime, puis les suiveurs inconscients.
Ces faits suffisent à démontrer que le Congo n’affiche aucune volonté d’éduquer sa jeunesse
dans les normes. Sans nier l’impact social du phénomène, mais cibler les sapeurs ou leur
imputer la faute apparaît un raccourci empreint de mauvaise foi et une formulation calculée
dans un but inavouable. Parce que l’inexemplarité des uns n’est pas une excuse sur la
conduite de soi. Autrement dit, le jeune qui imite ou s’identifie au sapeur doit assumer son
choix. L’imitation superficielle, par effet de mode, sans comprendre ni adhérer aux codes du
mouvement originel, est une dépense d’énergie inutile. La persistance de ce suivisme signifie
que les causes à l’origine du mouvement n’ont pas encore disparu. Et cette persistance des
causes a un coupable : l’État congolais.
Par ailleurs, au Congo, les atrophies sont multiples et multiformes. Certains les qualifient de
gangrène, d’autres les qualifient de contre-valeurs. À l’instar de la culture du détournement
des deniers publics gratifié par des promotions encore plus injustes (le cas du dévaliseur de la
CNSS nommé Directeur à un autre poste). À l’instar aussi des détournements considérés
comme des non-évènements (circuler il n’y a rien à voir), comme le sont les détournements
au Trésor Public, à l’Hôpital de Dolisie, à la FIGA, …
L’enseignement qu’on en tire est que “le Congo a du mal à établir la responsabilité”. Que ce
soit au niveau étatique ou du citoyen, la question de la responsabilité crée des clivages, utilise
les affinités profitables aux coupables qui s’y réfugient pour échapper aux sanctions.
Au sortir de la Conférence Nationale Souveraine, le Congo a raté le rendez-vous de la
moralisation de la vie publique. Il en paye le prix depuis lors et la facture n’a pas fini de
s’allonger.
Enfin, le régime de Brazzaville avait décrété l’année 2024 “l’année de la jeunesse”. Soit ! Au
moment de tirer les conclusions, d’ici peu décembre approche, voilà que le cynisme du
système oriente l’échec prévisible de la promesse “année de la jeunesse” vers un déversoir :
les sapeurs. Dans le jeu politique, l’auteur d’une pareille diversion est traité d’allié objectif du
régime.

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La rationalité voudrait que, pour résorber les multiples atrophies sociales au Congo, il faut
investir sur l’humain (l’éducation de la jeunesse) car l’humain est le premier capital d’une
société. Il faut impulser le travail par le soutien à l’entreprenariat. Aussi, il faut investir sur la
culture et sur la déontologie à tous les niveaux administratifs. Ces investissements sont du
ressort de l’État.
Quant à l’ordre intimé aux sapeurs de se taire, l’authentique sagesse Kongo déclare que “nkwa
mayela ka be o, we na buzoba ka be o, Lahuki mpe ka be o”. Traduction : que l’intelligent soit,
que l’idiot soit, que le fou aussi soit. Ailleurs, on dit que “il faut de tout pour faire un monde”.
Nous, nous ajoutons, toute opinion sensée a droit de cité.

À l’inverse, des propos du genre
“sapeur tu n’es rien”, relèvent du mépris caractérisé indigne d’un esprit évolué, dont
l’itinéraire emprunte aussi, selon les archives du Ministère de la Sape, les voies de la sape et
de l’exhibitionnisme.
En désespoir de cause, une image écornée.
Bien malin est celui qui dira si l’auteur osera répliquer publiquement aux salves des sapeurs.
Dans un élan qui semble indiquer “touche pas à mon pote”, ses partisans se sont mis en branle
pour sauver le soldat Mabanckou érigé en sommité de la réussite ou singulièrement de
l’intellectuel sans égal ni précédent au Congo.

Comme pour dire que son statut social l’érige
en homme intouchable. Chiche !
Le tableau d’honneur africain n’a nullement besoin de la reconnaissance paternaliste
occidentale et française.

En d’autres temps, en d’autres lieux, des figures présentées comme
des intellectuels totémiques par les officines françafricaines sont apparues par la suite être
des pourfendeurs de l’Afrique.
À chacun sa fierté.

La satisfaction personnelle n’est pas une loi uniforme. Autrement dit,
chacun définit ses critères d’auto satisfaction et de réussite. En d’autres cieux, le fait de
posséder un pousse-pousse est déjà une réussite. La star qui laisse une garde-robe garnie
pense léguer un patrimoine vestimentaire de valeur. Précisons enfin que la reconnaissance
intellectuelle par l’Occident relève généralement, si ce n’est exclusivement, d’une stratégie
géopolitique qui d’une part encense ses allégeants ; et d’autre part, ne prime guère toute
littérature engagée. Il est difficile de croire qu’écrire des romans soit une littérature engagée.
Ce qui explique sans doute l’imputation d’un certain opportunisme politique mal dissimulé et
d’une opinion variable au gré des circonstances et des intérêts.
Pour conclure, disons que quand on cherche à établir la vérité par rapport à l’Histoire, on évite
la subjectivité au risque de fausser le débat et d’égarer les générations présentes et futures.

La sape au Congo a une origine politique.

Aucun miroir déformant ne pourra en changer la
véracité.

Les idoles de ce mouvement et ses victimes relèvent intrinsèquement de la
responsabilité du pouvoir politique. Point d’amalgame !
Fait à Paris, le 27 juillet 2024
NE-MPHUMU Madisu-Ma-Bimangu

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REMANIEMENT MINISTÉRIEL OU LE THÉÂTRE DE KOSA OLEKA.

La diaspora congolaise est devenue l’alliée sûr et la caisse de résonance des officines qui travaillent intensément avec beaucoup d’efforts, pour la survie et la passation du pouvoir inter- clanique .

Nul n’est sensé ignorer l’engouement et l’espoir qu’a suscité le bruit d’un remaniement ministériel au Congo /ville.

la diaspora mendiante vivant de chimères sur fond d’une dose de naïveté inqualifiable convaincue d’avoir un pied dans la mangeoire s’extasie déjà au point de laver Sassou-Nguesso , de tous ses péchés en jetant l’opprobre sur son entourage oubliant que le seul diable c’est bien lui .

Comment cette dernière n’arrive pas à déceler la stratégie de restructuration du pouvoir inter-familial et clanique instaurée par le manitou Sassou-Nguesso .

Que devient ce fameux remaniement tant attendu   de pied ferme par les éternels idiots de la diaspora.

Pauvre dias-(diable, diaspora) une question de changement fondamentale se pose au Congo , c’est le changement radical du système, souhaiter ou attendre un remaniement ministériel est synonyme d’adouber le chetan Sassou -Nguesso et son clan ad vitam æternam.

Who ’s who diaspora ?

Quel est ton vrai combat ?

En épargnant Sassou- Nguesso, le laver de tous ses péchés ainsi que souhaiter devenir un de ses ministres . Au détriment des bons et vrai patriotes que vous n’arrêtez pas de salir, de vilipender a travers vos audio et montages vidéos incongrus.qui prouvent  à suffisance votre incapacité notoire d’analyse à l’instar de Moïse qui délivra les Israélites après 400ans de servitudes des mains du pharaon.

C’est dommage que Votre distraction se termine toujours au cimentière de pantin

Vous n’êtes et vous n’avez jamais été dans le combat donc R.I.P.autrement dit reposez en paix.

Armand Mandziono Butélézi Butsindi Bua Butsiéleka Bua vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika

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INCRIMINISATION DES SAPEURS HAINE OU DISTRACTION DANS LA DIASPORA.

Depuis que le vrai faux débat sur la sape enflamme la toile, force est de constater visiblement des propos haineux de certains sapeurs à l’encontre de ceux qui ont la bravoure d’ apporter des réponses proportionnelles aux propos méprisants, dénigrants, dédaignants contre ce phénomène urbain parti de bacongo ,qui a pris une ampleur internationale suivez mon regard.

Chers compatriotes ,

le vieux sage Korobo Matsouaniste m’a toujours dit la valeur d’une personne se mesure au bonheur qu’elle fait aux autres dans la vie , même si vous n’aimez pas le zèbre, mais reconnaissez au moins qu’il court plus vite que les autres animaux.

Au lieu de perdre votre temps sur un débat futile qui OCCULTE même LE MAL que SASSOU- NGUESSO et ses complices font A LA DIASPORA et à l’ensemble des congolais.

Prenez donc, votre courage à deux mains  soyez lucides , pour terrasser le taureau par les cornes autrement dit ,posez les vraies problèmes ,qui ont fait du mal et continus à faire du mal ,empêchant même la diaspora congolaise à s’organiser .

1) la vente ou la sous gestion des biens sociaux immobiliers congolais en France par Sassou- Nguesso.

2) le manque de droit de vote des congolais de l’étranger qui réduit la diaspora au niveau d’une sous population.

En êtes vous conscient ou pas ?

 

Au lieu d’exceller à faire des montages vidéos et des lives sur les réseaux sociaux , qui font de vous les derniers de la classe pour cacher votre incapacité notoire de discerner le bon grain de l’ivraie, votre cécité politique qui vous fait  patauger dans une incohérence inouies dans vos propos.

quand arriverons- nous à saisir les enjeux on entend par enjeu, les questions fondamentales parce que elles sont à la croisée des chemins pouvant faire basculer le sort d’un peuple ou d’une catégorie sociale ,dans un sens ou dans l’autre pour illustration le changement climatique provoque des pluies diluviennes inonde les quartiers entiers c’ est donc un enjeu à proprement dit qui relève de la mauvaise urbanisation et ,si vous ne faites rien le désastre s’installe, tout comme la diaspora si vous ne construisez un pas un rapport de force vous n’existerai pas .

MAIS LE JOUR ou la diaspora exercera  le droit de vote ,le regard du pouvoir sur la diaspora changera.

Ce vote des congolais de l’étranger est un enjeu.

La diaspora doit exercer son droit de savoir sur les députés mêmes , pris individuellement .

Dés lors qu’ils se verront menacés Dans leur mandat ,ils concéderons à parler des sujets des congolais de l’étranger en occurrence ceux qui sont relatifs au bradage du patrimoine immobilier congolais en France tel que la maison des étudiants congolais la (MEC) et autres édifices ne pas se battre sur ces sujets c’est se condamnés soi même ,au lieu  de se disperser sur les réseaux  sociaux sur des sujets banals .

Au lieu de discuter du sexe des anges apprenez à discuter des sujets importants.

Armand Mandziono Butélézi Butsindi bua Vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika.

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SAPE: SASSOU- NGUESSO ET L’ÉNIGME DES VENTES DES ÉDIFICES SOCIAUX CONGOLAIS EN FRANCE (LA MEC, BOUSENGO,)

S I TU VEUX SOIGNER UNE MALADIE ATTAQUE TOI, A SON ORIGINE ET NON AUX MALADIES OPPORTUNISTES QUI EN DÉCOULENT.

PIKI KA YEKO NTOMBOKOLO STINGA

Sape Symbole de la résistance contre le communisme au Congo dans les années 80.

Le sapeur à la base est ce jeune de Bacongo, ayant un esprit libre et entreprenant.

Je voudrais ici demander à tous les détracteurs de ce mouvement ,qui aujourd’hui éclaté en plusieurs courants de venir me contredire.

En demandant aux sapeurs de se taire Alain Mabanckou, ouvre la boîte de pandore sur des questions devenues tabou ,soulève inconsciemment la question des ventes des biens immobiliers sociaux du peuple congolais en France par Sassou nguesso , dont la  maison des étudiants congolais(M.E.C.) qui se trouvait au 20 rue béranger dans le 3éme arrondissement et qui demeure l’emblème et le totem du pouvoir de l’abbé fulbert youlou ,en aide aux étudiants congolais en France .

Que seront- ils devenus nos grands intellectuels et cadres d’aujourd’hui en occurrence Mathias DZON ,Abel kouvouama, Marcel Abigna et bien d’autres qui ne sont plus de ce monde… ?

S’ ils n’étaient pas passés par la MEC ,qui deviendra dans les années 80 la plateforme d’accueil des aventuriers aidés par les étudiants eux -mêmes.

Ces jeunes congolais a l’abri des problèmes de logement en France,  à la recherche d’un eldorado vont avoir le loisir de lancer leur mouvement la sape.

L’évolution de cette partie de la jeunesse évoluant en France, commençaient à déranger sérieusement le pouvoir rouge de Denis SASSOU-Nguesso, lors de leurs vacances(retour) au Congo, parce qu’ils étaient devenus le porte étandard d’un capitalisme contraire au communisme débridé appliqué par ce dernier, d’ ou une fatwa fut lancée contre eux et   les jeunes qui les imitaient.

,Ils étaient considérés comme des délinquants juvéniles, quant à la gente féminine ont les appelaient ( évadés) c’est à dire prostituées .

En dépit de leurs réalisations ;achat des parcelles , créantion des commerces de proximité pour aider la famille restée au Congo , tout cela avaient emmener le guide des ténèbres; c’est à dire SASSOU-NGUESSO, à priver les sapeurs de la gratuité de logement qu’ils bénéficiaient à la MEC, à l’instar de la vente de terres du Congo au Rwanda,   qui est devenue une énigme .

D’aucuns disent que ces biens immobiliers sociaux n’ont jamais été vendus ,ils sont sous gestion au profit de monsieur Sassou – Nguesso, voilà maintenant prés de 40 ans.

Quelles versions acceptées ?

Pour ne pas dire à quel saint se vouer, dés lors aucune enquête parlementaire n’a jamais été diligentée, pour apporter la lumière sur ces crimes d’états, même sous  la parenthèse démocratique du règne de Lissouba, aucun parlementaire ne s’y est intéressé.

En effet , l’origine de l’éclatement du mouvement de la sape devenu culturel par la force des choses aujourd’hui  au Congo, tout comme dans la diaspora n’était qu’à la base un mouvement des jeunes de Brazzaville qui cherchaient à avoir un certain confort dans la vie par rapport la pauvreté criarde de leurs milieux d’origines confrontés à un pouvoir qui se disait communiste ,alors que  celui-ci n’était qu’ un enfumage ségrégationniste et ethnique , cela résigna nombre de jeune originaire de bacongo, de faire le choix de sortir du pays ,en gardant espoir qu’un jour ils trouveront place au soleil.

Cela remonte aux années 80 , alors si l’on veut traiter le problème de la sape, il faut repartir à ses origines et prendre en compte tout ces paramétres et l’on comprendra mieux les dégât collatéraux du pouvoir de Sasso-Nguesso , qui est le premier responsable de l’ atrophie de la jeunesse congolaise.

Qui, malicieusement en lieu et place de les envoyés au goulag ,comme Staline en Union Soviétique fait de la sape un exutoire.

Il en fît de l’apologie autrement dit de la récupération, pour mieux le récupérer il s’est mis au diapason , en s’habillant a leur manière ainsi  que ses ministres dont le tonitruant Alain AKOULA , Thierry Moungala, Hugues Ngolondélé et j’en passe.

Alors , que vient- on reproché au pauvres sapeurs ?  Alexandre Soljenitsyne écrivit l’archipel du goulag en contestation du régime soviétique ,les jeunes congolais ramenèrent la sape comme fanion en contestation du régime communiste congolais.

Ne pouvant arrêter ce mouvement irrésistible, le pouvoir en fit une récupération en leur offrant, une place de choix dans le cadre du défilé qui se tient les 15 août de chaque années au boulevard des grandes  armées .

Une véritable escroquerie morale , culturelle et politique.

Il fallait bien noyé les jeunes Laris, les ligotés avec leurs propres cordes pour les éloigner définitivement des revendications politiques et sociales.

Voilà le prisme de la psychologie de la sapologie selon le régime Sassou-Nguesso.

Il est temps que cet homme libère l’espace politique congolais.

Armand Mandziono Butélézi Butsidi bua Butsiéléka bua vindumuna ba Ngungu wa kala mu kuénda Nkukirika.

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ALAIN MABANCKOU L’ ÉTONNANT OBJECTEUR DE CONSCIENCE DE LA SAPE.

Franchement, c’est une grande misère que de n’avoir pas assez d’esprit pour bien parler ni assez de jugement pour se taire dixit le vieux sage korobo Matsouaniste.

Celui qui donne au pauvre n’éprouve pas la disette, mais celui qui ferme les yeux est chargé de malédictions.(proverbes 28-27)

Mais que s’est il passé dans la tête de l’écrivain sapeur objecteur de conscience Alain Mabanckou dont la sortie médiatique hasardeuse a heurté plus d’une conscience patriotique?

permettez qu’on vous rafraîchisse la mémoire en vous rappelant ce que vous n’ignorez pas  , Le contraire de la misère ce n’est la richesse c’est le partage et, le partage est l’un des codes des sapeurs partant de Bacongo à Paris.

En scrutant de fond en comble vos propos ,vous mettez l’accent sur l’investissement des sapeurs en France.

Vous démontrez par là votre sécheresse intellectuelle et votre méconnaissance de ce mouvement urbain né à bacongo, pour des raisons purement politique ostracisant les laris.

Les sapeurs ne se sont pas assignés un destin d’immigré traditionnel à l’image des population maghrébines et de l’Afrique de l’ouest.

En revanche ils viennent donc en France pour trouver un ascenseur social ,que le pouvoir de Brazzaville leur a toujours refusé  à travers l’accès aux crédits exclusivement réservés aux ouest -africain et aux libanais, au marché de travail ostracisé par le clientélisme politique et ethnique.

Ils se sont toujours donnés comme visé de se constituer un patrimoine matériel chez eux autrement dit au Congo, en utilisant les ressorts que leur offre l’immigration temporaire et spontanée ,en ayant toujours à l’esprit la perspective d’un retour au congo. Cette perspective explique les fondements de leurs vacances assidues au Congo .

Plusieurs tentatives de théorisation de ce mouvement ont pris pied en partant du sociologue Gandoulou  passant par Gilbert Goma dont vous même ,vous avez sponsorisé la présentation de son livre au GYPS votre café préféré au châtelet-les Hall oubliant que le fief de la sape est devenu château- rouge,tous cela ne sont que des représentations épistémologiques, l’approche funeste du pouvoir cherchant à enfermer cette jeunesse de bacongo dans un exercice de récupération politicienne et , à l’ enfermer dans un exutoire, pour la sortir de l’espace de revendication politique, en leur offrant futilement une tribune lors des défilés officiels.

Le but est donc d’enfermer le jeune Lari dans l’égarement absolu et total .

Il est du devoir de l’intellectuel avisé que vous êtes, que de déceler les malices d’un pouvoir pernicieux et pervers au lieu de vous attaquer au maillon le plus faible de notre communauté .

Il serait plutôt de bon aloi que vous créez un pont entre la misère et l’espoir, au lieu de prendre une posture de lâcheté face au vrai mal qui

mine la société congolaise et qui à un nom ,celui de monsieur Denis Sassou-Nguesso et ses acolytes.

Armand Mandziono ButéléziButsindi bua Butsiéleka bua Vindumunu ba Ngungu wa kala mu kuenda kunkirika.

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L’INJUSTE COMBAT DES SINGES DE LA DIASPORA ,UNE HISTOIRE DE LA TRAHISON DE L’UNITÉ.

Aux affirmations sans preuves ,gratuites, arbitraires, préjugés ainsi qu’aux suspicions infondées,à la manipulation des barons du pouvoir, qui profitent et exploitent la faiblesse des agités de la diaspora dite militante , qui ont trahi le combat par leur faiblesse , complaisance et grande naïveté ,en faisant usage des termes tels que;le linge sale se lave en famille ,signe d’une trahison et d’un double langage politique, que par un dessein forcé de trahir « une certaine qualité de gentillesse est toujours signe de faiblesse » , la diaspora militante patauge dans un monde imaginaire, des rêveries solitaires.

IL est temps que cela s’arrête.

Que Les agités de la soi -disant diaspora militante prennent leur courage à deux mains , pour élaborer ensemble un mémorandum de décrispation de la situation politique , qui les oppose au pouvoir de Brazzaville, qu’ils devront adresser au président de la république Denis Sassou-Nguesso pour plaider leur cause , au lieu d’être victime du syndrome du premier villageois, qui arrive en ville et qui ne veut pas voir d’ autres villageois venir grossir les rangs , tel le ministre Thierry Moungalla qui s’est fait patron de la manipulation de la diaspora dite militante  sur les réseaux sociaux ,en-dehors de ses attributs et cela sans merci  d’un sectarisme grégaire .

Tous les pseudos leaders tristement célèbre sur le net sont ses proies, qu’il utilise, pour enfumer le peuple qui à toujours compté sur l’apport de la diaspora pour en découdre avec Sassou-Nguesso.

le régime de Brazzaville continu à tirer les marrons du feu ,pour preuve il a  réussi à faire comme dans les contes de la brousse et de la forêt, à attacher la queue de la baleine à celle de l’éléphant pour les opposer, au grand éclat du lièvre en la personne du ministre Thierry Moungala le malicieux  ;la symbolique du combat d’Evrad Nangho et Rostel Bakwua restera un combat anthologique sur les manipulations auxquelles s’exposent la diaspora.

Les stratégies ou manœuvres dilatoires pour divertir le peuple sont au beau fixe parce que ayant des relais sûr dans la diaspora.

Aujourd’hui aucun patriote sérieux ne peut plus douter de la trahison de cette diaspora dite militante et, je suis mieux placé de mettre toute cette vermine devant un fait accompli , mais les congolais aimant  protéger les calomniateurs, je ne ménagerai pas de de citer les noms de ces singes de la planète X, qui se dissimulent dans l’apparence de l’activisme politique , à qui on a offert l’occasion de s-être introduit dans la vie de beaucoup des patriotes sérieux.

Ah ! pauvre Congo prévenir la trahison , débusquer le faux ami , le jaloux parent, le traître avant qu’il

inocule son venin est une opération aussi complexe que de nettoyer l’anus d’une hyène disait Ahmadou Kourouma.

Dans un pays en guerre ,on peu trahir pour sauver sa peau cela se comprendrait  par contre les singes de la diaspora trahissent par pur intérêt vénal et égocentrisme .

Le combat politique de la diaspora est mort dans l’œuf Massamba Ciceron avait raison  , il ne reste que des vociférations ; ce n’est pas Benjamain Toungamani, Raphael Goma, Alexis Miayoukou, Magloire Noél NDOMBA, Simon pierre Moussounda , John bénith NZABA, Nicodème Nganga, Tiassé Massengo, Fernand eugéne Loubélo, Ouabari Marriotti, Adrien Houabaloukou ,Samba dia KOUMBI,Marcel Makomé,

Willy Ognami , Jerôme Itoua Okongo… Qui me diront le contraire après nous avoir servi de la tambouille étymologiquement ça veut dire une sauce médiocre de très mauvaise qualité.

Le combat politique de la diaspora est bien mort.

Comme vous avez tous prit l’habitude de dire, j‘ai dit ,moi je vous dit que je n’ai pas dit

Armand Mandziono Butélezi Butsindi bua butsiéleka bua Vindumunu ba Ngungu wa kala mu kuenda Nkukirika.

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