LES MOUTONS DE LA DIASPORA ET LE MESSAGE AUDIO DE TATA MASSAMBA GUSTAVE DATANT DU 6 MARS 2019.

« « Dire la vérité est utile à celui à qui on la dit, mais désavantageux, à ceux qui la disent parce qu’ils se font haïr (Blaise Pascal). » »
La verité blesse mais le mensonge détruit .
Ne vis pas pour que ta présence se remarque, mais pour que ton absence se ressente disait le messager Bob MARLEY .
Trop tirer sur la corde rompt la corde , nous dis aussi monsieur tout le monde .

Peut-être-est- il temps de redéfinir le rôle d’une élite dans un pays, surtout, celle qui excelle dans les réseaux sociaux , dans le domaine politique ?

Il est à rappeler à l’élite congolaise qu ’ il est noble de faire la politique.
De toutes les élites qui s’expriment sur les réseaux sociaux, celle du Congo Brazzaville est la seule qui ait choisi la voie de diviser délibérément son peuple.
Sinon comment expliquer le déferlement du fameux message de reprises des hostilités dans la région du POOL , plus précisément à MINDOULI , à une vitesse que Michael FARADAY ne pouvait définir en son temps malgré son talent imaginatif.

Mais à quoi joue cette Elite de la diaspora, qu’on pourrait qualifier de pacotille, qui est toujours à la recherche d’une notoriété perdue depuis belle lurette ?
Laurent DZABA, Marie louise ABIA et compagnie , sont-ils réellement dans le combat de liberation du peuple congolais sous le joug du Sassouisme , ou juste des prestidigitateurs politiques en mal de reconnaissance , pour avoir pondu des navets à la suite de ce fake news, issu d’une incompréhension entre un parent d’élèves de MINDOULI et le chef d’établissement scolaire ayant entrainé l’intervention des forces publiques pour juguler ce malentendu…
Cette palabre, a entrainée des détonations qui ont rompu la quiétude des population locale trois mois à peine après la signature des accords de cessez-le feu des KINKALA en décembre 2018, entrainant de ce fait un trouble qui a conduit cet homme TATA MASSAMBA Gustave d’ interpeler la communauté nationale et internationale sur leur sort .

Comment- est- ce , des gens sensés par manque d’objet politique peuvent se servir d’un tel support audio phonique , pour exposer les Laris comme ils en ont l’habitude .

Avec un tel logiciel comportemental, comment le diable du Congo ne continuera -t- il pas à se frotter les mains en guise de réjouissance, face à l’engagement des hommes et femmes qui sont incapables d’apporter une véritable perspective historique sur notre époque ?

Les analyses, les entretiens, les ambitions de cette élite souffrent d’un déficit de décryptage d’un monde devenu de plus en plus complexe, et d’une incapacité d’explorer les nouveaux sens du caléidoscope politique.

La référence en communication politique ne s’improvise pas, elle s’accompagne d’ alliés fiables pour qu’elle ait un sens et un impact positif.

En définitif, il serait judicieux et sage , de toujours se renseigner sur la fiabilité, la pertinence , l’intérêt d’une information de cet ordre avant de se précipiter de la divulguer, la diffuser, la vulgariser, surtout pour des personnes qui pensent être investies d’une mission de restauration de la vérité et de propagation de la lumière, pour qu’à jamais l’obscurantisme ne puisse triompher.

Comprennent qui puisse !!!

Armand MANDZIONO ,LE NZOÏSTE.

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ROBERT POATY PANGOU PRIS LA MAIN DANS LE SAC.


On ne peut pas reprocher au soleil d’éclairer la nuit.

(Proverbe GEORGIEN).
De Blaise Pascal, nous avons appris , que dire la vérité est utile à celui à qui on la dit, mais désavantageux, à ceux qui la disent parce qu’ils se font haïr .
C’est une maladie naturelle à l’homme de croire qu’il possédé la verité , et enfin la vérité est si obscurcie en ces temps ,et le mensonge si établi qu’à moins d’aimer la vérité, on ne saurait la reconnaitre.
On peut voir trois principaux objets dans l’étude de la vérité : l’un, de la découvrir, quand on la cherche, de la démontrer, quand on la possède, le dernier, de la discerner d’avec le faux quand on l’examine.
C’est ce que nous allons faire suite aux propos malveillants tenus par le père du concept nauséabond de la scission du Congo qui relevé plus du pathos que du logos.
« « Mes Amis
, Nsimu, ni mayela. Jean Jacques Yhombi. C’est bien le fils d’un Premier Ministre qui demanda au Président Pascal LISSOUBA l’Ordre de faire rentrer les Chars dans Bacongo et Makelekele ? Alors il y aurait-il une différence entre Denis Christel SASSOU NGUESSO et Jean Jacques YHOMBI ?
Mais ayons un peu de mémoire !
PROPOS DE ROBERT POATY PANGOU. » »

Oui monsieur, Robert POATY PANGOU votre adage est bien pertinent mais cela n’empêche pas de revisiter les faits et notre mémoire pour replacer les choses dans leurs contexte, afin d’édifier le public et d’établir les responsabilités respectives.
Il vrai que cela paraît très facile d’imputer à un fils les actes de son père, parce qu’il en a reçu un héritage, mais en matière de politique la loi est claire et indique , que chaque personne qui pose un acte doit en repondre individuellement.
Le Général YHOMBY –OPANGO a occupé des fonctions politiques dont il portera à jamais les responsabilités, mais cela ne devrait pas pour autant, enchaîner toute sa progéniture au point de la condamner par avance, surtout si elle n’a pas encore assumé une quelconque charge politique officielle.

L’éruption au-devant de la scène politico-médiatique de JJS YHOMBY-OPANGO , fusse-t-il fils de son père ne devait pas irriter notre conscience, alors que la teneur des idées qu’il véhicule est d’une pertinence évidente.

Sans lui donner un blanc-seing , il serait convenable d’accorder à sa démarche un bénéfice du doute, sans quoi la vie au Congo ne serait qu’un espace d’incantations chimériques propice à un désenchantement irrémédiable, il est vrai que le climat politique actuel au Congo , justifie ce genre d’inquiétudes, mais cela ne devait pas pour autant servir d’alibi à toutes formes de vindications et de négations
Oui monsieur, Robert POATY PANGOU on veut bien comprendre tes réticences, mais seulement pourriez-vous éclairer l’opinion sur vos réels capacités à conduire le Congo vers cette destination (scission ) ,qui finalement ne semble être qu’ une hérésie ,alors que toute l’énergie que vous y avez consacré , pourrait être inversement bénéfique à la reconstruction d’une utopie positive .
Cela fait au moins une décennie que ça dure et tout ce temps est suffisant pour se rendre compte de l’impasse dans laquelle vous vous engouffrez.
allant de l’avant !
Pout votre gouverne , les attaques des quartiers BACONGO ET MAKELEKELE en 92- 93,  qui sont condamnables en tout point, ont longtemps souffert d’un manque d’éclairage ,sur ses véritables auteurs , occasionnant du coup des spéculations de tout ordre jusqu’à l’aveuglement des esprits.
Ces faits , qui ont certes, étaient commis sous la responsabilité du gouvernement YHOMBY –OPANGO , et qui en a directement porter le chapeau , ont été rattrapé par le temps,  qui a fini par nous indiquer , que celles-ci ont été l’œuvre de la garde présidentielle de l’époque , dont le commandement était assuré par le Colonel Ferdinand MBAOU ,  qui avait agi sans l’autorisation expresse de sa hiérarchie et contrairement aux us et coutumes.
les archives existent et le debat est ouvert.

Armand MANDZIONO,LE NZOÏSTE.

 

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EN REPONSE A MONSIEUR ROBERT POATY PANGOU LE SECESSIONISTE.

Mes Amis

, Nsimu, ni mayela. Jean Jacques Yhombi. C’est bien le fils d’un Premier Ministre qui demanda au Président Pascal LISSOUBA l’Ordre de faire rentrer les Chars dans Bacongo et Makelekele ? Alors il y aurait-il une différence entre Denis Christel SASSOU NGUESSO et Jean Jacques YHOMBI ?

Mais ayons un peu de mémoire !

PROPOS DE ROBERT POATY PANGOU.

 

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FACE A L’AUTISME DES OPPOSITIONS JJS YHOMBY – OPANGO SERAIT-IL L’UNIFICATEUR DES OPPOSITIONS CONGOLAISES ?


La profondeur et la quintessence des propositions du président du RDD , demeurent jusqu’à ce jour des propositions farfelues aux yeux des deux factions de l’opposition : opposition constitutionnelle et opposition radicale.

Grande est la stupéfaction de l’observateur avisé des échéances présidentielles au Congo, lorsqu’on sait que tout à été essayé pour battre l’infatigable tricheur , mais rien ne marche sous le soleil jusqu’à présent, pour mettre hors-jeu l’homme qui dicte sa volonté au DIEU tout puissant.

Il est à relever que les deux oppositions constitutionnelle et radicale persistent dans leur turpitude caractérisée par leur égo surdimensionné, creuset de fraude électorale qui permet le maintien au pouvoir de Denis SASSOU NGUESSO sans aucune contestation.

L’attitude de ces deux oppositions ne semble pas favorable a l’appel d’une table ronde pour une autocritique, qui permettra de trouver l’alternative principale de l’opposition directement liée au changement radical auquel aspire depuis des années le peuple congolais.

En posant, clairement le problème de l’union de l’opposition et l’organisation d’une table ronde, autour de toutes propositions confondues de ses pairs de l’opposition Jean Jacques Serge Yhombi OPANGO prend la posture de l’unificateur qui a tant manqué à l’opposition congolaise, pour incontestablement la victoire des échéances présidentielles de 2021.

Il est temps que les opposants se ressaisissent, car aucun d’entre eux ne pourra gagner ces échéances sans l’apport des autres .
C’est sans doute que la valeur d’un jugement dépend plus de la science que du nombre de juges.

Aujourd’hui donc, nous devons chercher d’abord s’il est quelqu’un au sein de l’opposition , qui soit compétent pour porter le flambeau du peuple, car l’enjeu de l’opposition et du régime au pouvoir est très important pour la survie des oubliés.

L’autocritique de l’opposition ne porte pas sur le combat en armes , mais , sur l’utilité d’une victoire pour le bien- être du peuple congolais.
Quand on délibère sur un remède pour les yeux et qu’on se demande, s’ils ont besoins d’un onguent ou non, est-ce sur le remède ou sur les yeux que porte la délibération ?
A vous de répondre.
De même, quand on se demande s’il faut mettre un fer à un cheval et à quel moment, n’est-ce pas le cheval, et non le frein, qui est l’objet de la recherche ?
A vous de repondre.
Ainsi, d’une manière générale, quand on discute en vue d’une fin, c’est la fin qui est l’objet de la discussion, et non le moyen, subordonné à cette fin.
Armand MANDZIONO, Le NZOÏSTE

 

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CONGO : PAYS DE DE LA DEMOCRATIE OU DE LA GERONTOCRATIE ?

On peut arriver au pouvoir par les armes et quitter le pouvoir le plus pacifiquement du monde.

Pour mille et une raison on peut aussi déroger aux principes du jeu démocratique afin de réajuster l’ordre des choses et bénéficier d’ un assentiment exceptionnellement extraordinaire d’un peuple, que l’on maintien la tête sous l’eau, quand toutes discussions et négociations ont échoué , envoyées aux calendes grecs par nos gouvernants avec la force des armes , au mépris de l’ordre établi sur fond d’une opposition de marionnettes, qui refusent même de s’asseoir entre elles : opposition constitutionnelle et opposition radicale pour établir une stratégie déterminante et marquer le penalty du souverain premier(le peuple) c’est-à-dire la victoire du peuple opprimé face à l’oppresseur et ses acolytes , ainsi se présente la situation dans l’arène politique au Congo avec une jeunesse dépravée , qui ne cesse de plébisciter la gérontocratie en lieu et place de la démocratie, dont le nombre est le premier facteur gagnant et l’alternance démocratique un autre facteur psychologique , pour apaiser le courroux du peuple désespéré au su et vu de la grande muette , face à la mauvaise gouvernance devenu le modus operandi de ceux qui gouvernent le Congo .

En effet ,une annonce par les grands médias internationaux vient d’être transformée, en grande victoire de la démocratie dans le monde en général et en Afrique en particulier , celle du respect de la constitution de son pays, par une déclaration devant le parlement de la côte d’ivoire , la non candidature aux prochaines échéances présidentielles , du president Alassane Dramane OUATTARA , ce qui peut être considéré comme un grand coup de Massu aux présidents Africains qui se maintiennent au pouvoir par la loi de la force et non par la force de la loi : comme en est le cas du president du Congo j’ai nommé Denis SASSOU Nguesso, qui use de tous les subterfuges , manœuvres dilatoires , pour justifier son rêve fou de president à vie et de sa succession clanique au règnes du Congo Brazzaville avec son peuple Bantou dont les us ne sont plus respectés par le Bantu qu’il est même au regard de son exercice du pouvoir qui n’est autre que les pratiques de la magie noire et de la magie blanche .

De JERRY RALWING du GHANA à PIERRE NKURU NZIZA du BURUNDI dernièrement et aujourd’hui avec le President Alassane Dramane WOUATARA, la bonne éthique commence à faire légion , pour ceux-là même  à qui la démocratie est un luxe dixit Jacques CH IRAC ancien de la Françafrique .

Il est incompréhensible, inadmissible, ubuesque, qu’ au Congo Brazzaville, un parti archaïque comme le PCT , a son actif une jeunesse bien défroquée, daigne nous imposé un candidat grabataire, tricheur, sans vergogne, diabolique etc…,

Qui n’a jamais respecté ne fusse que les statuts de son propre parti politique , ni de la constitution taillée à sa propre mesure .

D’ ou cette pertinente question qui sommes-nous au regard du reste du monde ?

Avec notre nombrilisme auréolé des discours belliqueux de Sassou Nguesso et son parti le PCT, parti corrompu des tueurs, qui veut faire croire à la face du monde entier, que malgré la nullité de Sassou dans tous les domaines ,qu’après lui c’est le chaos au Congo, d’où sa passion de la division et de la terre brûlée.

Armand MANDZIONO, Le Nzoïste.

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